(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en février 2013, après quoi, en moins de trois mois, toutes mes maladies, y compris la leucémie, ont disparu.

Peur d'être converti

Quand je rencontre des gens, je leur dis que le « Falun Dafa est bon. » La police a essayé de m'arrêter deux fois, a fouillé ma maison et menacé ma famille et m'a demandé de me rendre.

Après un certain temps, j'ai eu peur de rentrer à la maison, au cas où la police attendait pour m'arrêter. Deux autres pratiquants de notre région ont été arrêtés pendant cette période pour avoir distribué des documents d'information sur Dafa.

Je voulais les aider d'une certaine manière, mais je ne savais pas quoi faire. Après avoir réfléchi, je me suis rendu au centre de détention du canton pour clarifier les faits concernant le Falun Dafa.

Sur le chemin vers le centre de détention, je récitais continuellement :

« Si tu as peur

elle t'attrapera

Quand les pensées sont droites

La perversité s'écroule

Ceux qui cultivent et pratiquent

sont remplis de la Loi

En émettant la pensée droite

les diables pourris explosent

Divinités dans ce monde

validez la Loi »

(« Qu'y a-t-il à craindre », Hong Ying II)

Ma pensée droite est devenue plus forte au moment où je suis entré dans le centre de détention. Quand j'ai rencontré les responsables, j'ai commencé par leur parler de la pratique et de la persécution.

Une personne a dit : « Veuillez partir ou nous serons convertis par vous. » Je les ai rassurés en leur disant que je n'étais pas là pour les convertir, mais pour leur faire savoir que de bonnes personnes étaient persécutées et que Dafa était bon.

Mon expérience au centre de détention m'a aidé à comprendre que si nous avons une pensée droite, le Maître nous protégera. Par conséquent, la clarification de la vérité n'est pas difficile, car le danger est une illusion et la peur ne devrait pas exister.

J'ai partagé ma compréhension avec d'autres pratiquants et j'ai suggéré que nous nous rendions au poste de police pour clarifier les faits aux policiers, car nous avions rencontré des interférences lorsque nous avions parlé à des gens ou lorsque nous avions distribué des documents.

Trois d'entre nous sommes allés au poste de police et avons parlé aux policiers au sujet de Dafa et de la persécution. Nos actions justes ont ému tout le monde. Nous n'avons pas été arrêtés et certains ont dit : « Le Falun Gong est si merveilleux, pourquoi ne pratiquez-vous pas à la maison ? Cela nous sera égal. »

« Votre compassion ne suffit pas, vous devriez étudier plus fort ! »

Un autre pratiquant et moi-même avons décidé de nous rendre au poste de police du canton pour clarifier la vérité.

Nous avons d'abord parlé à quelques personnes chargées de la Division de la sécurité intérieure. La conversation a bien fonctionné, alors j'étais un peu excité et j'ai crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

Ma voix a effrayé tout le monde. Quelqu'un a tout de suite réagi en criant : « Qui ose dire cela ici ? Envoyons-le en prison pendant au moins 10 à 15 jours ! »

Peu de temps après, des policiers de la Division de la sécurité intérieure, le personnel du Bureau 610 et le secrétaire adjoint du comité du Parti communiste chinois (CCP) du village sont arrivés et nous nous sommes tous assis dans la salle de conférence.

Quelqu'un a commencé à poser des questions pendant que le secrétaire adjoint prenais des notes. J'ai profité de cette occasion pour leur parler de mon expérience personnelle de la pratique. Ils ont écouté sans m'interrompre.

Soucieux qu'ils puissent ne pas être en accord avec moi, j'ai commencé à parler plus fort. Une personne a dit : « Vous parlez trop fort, cela m'a fait peur. Votre compassion ne suffit pas, vous devriez étudier plus fort. »

J'ai été surpris par ce commentaire. Le Maître ne me donnait-il pas un indice ? J'ai répondu : « Merci pour votre bon conseil. J'étudierai plus fort. »

Tout le monde est parti, à l'exception du secrétaire adjoint. Il m'a demandé s'il pouvait me reconduire chez moi. Je l'ai remercié pour sa gentille offre et lui ai dit que je n'allais pas encore rentrer à la maison.

Traduit de l'anglais au Canada