(Minghui.org) Après que le gouvernement a promis de traiter toutes les plaintes en accord avec la loi, j’ai déposé une plainte pénale en utilisant mon vrai nom contre Jiang Zemin, l’ancien chef du Parti communiste chinois, pour sa violente persécution du Falun Gong et de ses pratiquants.

Comment j’ai traité les menaces du gouvernement

Peu après avoir déposé une plainte pénale contre Jiang Zemin, un membre des autorités du bourg est venu me voir et a demandé : « Avez-vous envoyé quelque chose au Parquet suprême ? » J’ai répondu : « Jiang Zemin a mis en scène l’incident des auto-immolations à Tiananmen, ce qui a incité à la haine parmi le peuple chinois envers le Falun Gong. » Il m’a interrompu et a demandé : « Comment savez-vous cela ? »

J’ai répondu en lui expliquant l’histoire entière derrière l’incident des auto-immolations, depuis la bouteille en plastique de Sprite aux cheveux de Wang Jindong n’ayant pas pris feu, de la capacité de Siying à s’exprimer et à chanter juste après sa trachéotomie aux analyses par des organisations internationales confirmant que la vidéo des auto-immolations était une fraude délibérée.

J’ai continué en disant : « Au cours des vingt dernières années depuis l’arrivée de Jiang au pouvoir, les critères moraux du pays se sont rapidement détériorés. » Il écoutait calmement et est parti après avoir entendu ce que j’avais à dire.

Plus tard, les autorités du bourg ont contacté mon fils ainé et l’ont menacé : « Si votre mère continue à pratiquer le Falun Gong, votre plus jeune frère pourrait ne plus avoir d’emploi. » Ils ont aussi demandé à mon fils ainé de m’amener auprès des autorités du bourg.

Mon plus jeune fils m’a dit : « Maman, tant que tu peux rester en bonne santé, tu devrais continuer à pratiquer le Falun Gong. Je peux survivre, même si je travaille comme ouvrier ordinaire. Je sais que tu es dans l’authenticité. Si tu cesses de pratiquer le Falun Gong et que ta santé décline, ce ne sera pas bon pour toi. Ne te préoccupe pas de moi. » En entendant cela, j’ai été très heureuse de ses pensées droites et de sa volonté de soutenir les disciples de Dafa et de s’opposer à la perversité.

Clarifier les faits aux autorités du bourg

Le matin suivant, après avoir brulé de l’encens et demandé l’aide du Maître, je me suis rendue de mon propre chef au gouvernement du bourg, en maintenant une pensée droite. Le bureau n’était pas encore ouvert, j’ai donc émis la pensée droite et demandé intérieurement l’aide du Maître. On m’a demandé peu après : « Qui cherchez-vous ? » J’ai donné mon nom et déclaré que j’aimerais parler au secrétaire local. L’homme a répondu : « Suivez-moi ! »

Je l’ai suivi en haut des escaliers. Aussitôt, il a fait monter sept à huit personnes qui m’ont demandé de les suivre dans une salle de réunion. Ils ont fermé la porte et l’atmosphère est devenue un peu tendue. Il semblait être en colère lorsqu’il a confirmé mon nom. Puis il a demandé : « Il parait que vous pratiquez le Falun Gong ? » J’ai répondu : « Oui. »

À ce moment, je n’avais aucune peur, mais j’étais remplie de pensées droites. J’étais déterminée à ne pas leur permettre de prononcer des paroles perverses. La situation invitait une disciple de Dafa à clarifier les faits. Toutes les personnes dans la pièce devaient écouter et apprendre la bonté de Dafa. J’étais consciente de la présence du Maître à mes côtés.

Puis, je me suis exprimée paisiblement : « J’étais auparavant très malade. Si je n’avais pas commencé à pratiquer le Falun Gong, je serais morte et nous ne nous serions pas rencontrés aujourd’hui. » Tous les regards étaient fixés sur moi. Puis, j’ai continué : « Mes parents m’ont donné un corps physique, mais c’est mon Maître qui m’a donné une seconde vie, avec une très bonne santé ! Je souffrais de sténose mitrale, une grave maladie cardiaque. Parfois, mon cœur battait plusieurs fois d’affilée, puis s’arrêtait. Je suais alors anormalement et perdais conscience. Cela est arrivé plus d’une fois.


« Je souffrais aussi de pyélonéphrite glomérulaire, ce qui entrainait de l’urémie. J’avais des calculs rénaux et du sang dans mes urines. Je souffrais d’arthrite rhumatoïde et ne pouvais toucher l’eau froide ni en été ni en hiver. J’avais aussi une atrophie cérébelleuse, des calculs biliaires et autres maladies. Chez moi, j’avais toutes sortes de médicaments pour traiter ces maladies. Je suis allée dans de nombreux grands hôpitaux. Vous pouvez aller à l’hôpital municipal vous enquérir de ma situation. Les médecins conventionnels et les praticiens de médecine traditionnelle chinoise savent que toutes ces maladies sont sans issue ! J’étais en proie à la douleur et attendais de mourir. »

Ils écoutaient sans un mot. J’ai continué : « En 1998, une femme m’a présenté le Falun Gong. On m’a dit que le Falun Gong était merveilleux pour guérir les maladies. La femme m’a apporté un ensemble des cassettes d’enseignements du Fa du Maître et m’a appris les exercices de Falun Gong. Après trois jours de pratique des exercices, j’ai pu diminuer mes médicaments d’un tiers. Après dix jours, je n’avais besoin que de la moitié des médicaments que je prenais jusque-là. Depuis le début de ma pratique du Falun Gong, ma santé s’est améliorée de jour en jour. J’ai cessé de prendre tous les médicaments deux semaines après avoir commencé. Après deux mois, j’ai pu goûter l’état d’être libre de toute maladie. J’étais capable de manger, de dormir et de marcher facilement et je pouvais faire le travail d’une journée entière sans la moindre fatigue. Je pouvais porter un sac de près de cinquante kilos et pouvais laver les vêtements et la vaisselle dans l’eau froide par temps glacial. Maître Li, le fondateur du Falun Gong, ne m’a pas demandé un sou mais m’a offert une si bonne santé. Alors que ma santé s’améliorait, j’ai pu aider mes amis et mes voisins. Vous pouvez leur demander si je vous dis la vérité ou non. »

Alors que je finissais de parler, je pouvais les voir se détendre. Néanmoins, le secrétaire m’a demandé de signer un document. Je lui ai dit : « Ma seconde vie m’a été donnée par Maître Li. Si je ne pratique plus le Falun Gong, je ne vivrai plus très longtemps. Mon Maître m’a sauvé la vie et m’a enseigné à devenir une bonne personne en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Un si bon Maître et une si bonne école de cultivation ! Comment pourrais-je dire qu’ils ne sont pas bons ? Je ne signerai pas ! »

Voyant ma fermeté, le secrétaire a déclaré : « D’accord, maintenant, vous pouvez rentrer chez vous. » Après être retournée chez moi, j’ai réfléchi au processus entier. J’ai pensé : « J’ai eu le désir de leur dire la vérité, alors le Maître m’a permis de le faire en douceur. Le Maître a arrangé que je clarifie les faits aux autorités du bourg ! Le Maître m’aide et prend toujours soin de moi. »

Depuis, mes fils et moi n’avons jamais été harcelés par le gouvernement et j’ai pu bien faire les trois choses. Un autre point que je dois mentionner est que je suis sexagénaire et n’ai pas d’instruction. Je voulais tout simplement étudier le Fa, aussi ai-je demandé au Maître de m’aider. Maintenant, je peux lire, non seulement le Zhuan Falun, mais tous les enseignements du Fa du Maître, à quelques exceptions près.

Je n’ai aucune compétence particulière ni instruction, seulement un cœur à croire en le Maître et le Fa et à être reconnaissante envers le Maître.

Traduit de l’anglais en Europe