(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître et compagnons de cultivation !

Je suis une étudiante à l'université et pratiquante de Falun Dafa qui est arrivée à Séoul, en Corée du Sud, il y a quatre ans.

Initiée à Dafa à un jeune âge

Au début du printemps de 1998, mon oncle a présenté le Falun Dafa à mes parents. Dafa est devenu une partie intégrante de ma vie. Je n'avais que trois ans à l'époque. Les scènes où j'étudiais le Fa avec des pratiquants adultes sont encore vivantes dans mon esprit.

Malheureusement, l'environnement de cultivation et pratique a changé peu de temps après que nous sommes devenus des pratiquants, le Falun Dafa ayant été interdit l'année suivante. Ma famille a enduré beaucoup de difficultés en sensibilisant les gens à la persécution.

Le Maître nous a toujours protégés. J'ai distribué des dépliants avec des pratiquants adultes la nuit et je me suis rendu sur la place Tiananmen à Pékin pour demander le droit de pratiquer Dafa. Chaque fois, nous sommes rentrés chez nous en toute sécurité, grâce à la protection du Maître. Je pouvais toujours sentir la protection du Maître en grandissant. Le Maître m'a protégée de l'influence des conditions dépravées de la société, je pouvais sentir la paix et le bonheur de l'esprit en m'assimilant au Fa.

Faire face au démon du sommeil

Je suis arrivée en Corée en juillet 2014 et j'ai continué ma cultivation et pratique dans Dafa. Quand je suis allée pour la première fois sur le site de pratique, j'étais au bord des larmes. L'intérieur du site de pratique était lumineux et spacieux. Le portrait du Maître accroché au centre du mur émettait de la lumière. À ce moment-là, j'étais vraiment heureuse et mon cœur était entouré d'une énergie chaleureuse. Pendant la lecture du Zhuan Falun avec les pratiquants, le visage de chacun était si paisible.

Quand je suis arrivée à Séoul pour la première fois et que j'étudiais le Fa, je subissais des interférences. En raison de la somnolence, je manquais le moment d'étudier le Fa, ou je m'endormais pendant l'étude du Fa. Il m'a fallu beaucoup d'efforts pour surmonter cette tribulation.

Un groupe de pratiquants a décidé de se réunir à 9 h pour étudier le Fa. J'ai émis une forte pensée droite et j'ai réglé plusieurs alarmes avant d'aller au lit pour m'assurer que je me réveillerais. Mais, quand je me suis réveillée, il était plus de 9 h. J'étais tellement en colère et angoissée que j'ai voulu m'allonger, pleurer et ne pas me lever. Puis, par mon œil céleste, je me suis vue allongée sur le sol de béton et j'ai entendu le Maître dire : « Lève-toi ! » Au début, je n'avais pas réalisé ce qui se passait, mais ensuite je me suis éveillée au fait que le Maître m'aidait.

Le Maître a dit :

« Dans votre Xiulian c’est un comportement typique, lorsque vous n’avez pas bien fait une chose, après cela vous ne faites que regretter, vous ne savez pas la refaire en recommençant à zéro. Si vous regrettez trop, c’est encore un attachement. Après avoir commis une erreur, examinez où se trouve cette erreur, une fois appris, la prochaine fois faites le bien, recommencez à zéro. Une fois tombés par terre vous restez toujours là à plat ventre, (le public rit) mais ça ne va pas si vous ne vous relevez pas. » (Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi de l’Ouest des États-Unis au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 (Deuxième partie))

Je me suis levée et j'ai couru vers le site d'étude collective du Fa. Dès lors, chaque fois que je me sentais somnolente pendant l'étude du Fa, je croisais les jambes pour m'asseoir dans la position du lotus ou je me levais. En regardant à l'intérieur de moi, j'ai réalisé que la plupart du temps, quand j'avais une mauvaise idée, le démon du sommeil me faisait somnoler ou m'endormir.

Quand je ne m'endormais pas pendant l'étude du Fa, je me sentais enthousiaste, mais peu après je sentais ma tête lourde et endormie. J'ai essayé de me débarrasser de toutes les pensées dérangeantes en me concentrant sur le Fa et ma volonté s'est renforcée. J'ai gardé un cœur stable et pur pour suivre le rythme de l'étude du Fa tous les jours, peu importe son efficacité. Puis, j'ai découvert que j'avais surmonté l'état de somnolence lorsque j'étudiais le Fa.

Participer à la promotion de Shen Yun

J'ai participé à la promotion Shen Yun 2015 pour la première fois fin 2014. Le coordonnateur a dit aux jeunes pratiquants sur le site de pratique principal de mémoriser le contenu de la présentation promotionnelle de Shen Yun.

Le coordonnateur m'a suggéré de promouvoir Shen Yun dans les écoles de langue chinoise. J'ai pensé que la tâche serait trop difficile et j'ai donc refusé de relever le défi. Mais comme je ne voulais pas décevoir le coordonnateur, j'ai décidé de mémoriser l'information promotionnelle.

Après l'étude collective du Fa de la semaine suivante, le coordinateur nous a testés en nous demandant de réciter ce que nous avions mémorisé avant de sortir pour promouvoir Shen Yun. J'étais tellement gênée, parce que je ne pouvais pas bien parler devant la foule. Quand c'était mon tour, j'étais si nerveuse que j'avais du mal à m'en souvenir. J'étais tellement gênée que j'ai commencé à pleurer. Je m'attendais à être critiquée, mais tout le monde a souri et m'a encouragée à réessayer. Avec l'aide des pratiquants, j'ai retrouvé mon courage et ma confiance. Je peux faire mieux depuis. J'ai fait la promotion de Shen Yun en chinois auprès d'étudiants coréens qui étudient le chinois dans des écoles de langue.

Chaque fois que j'en avais l'occasion, je parlais de Shen Yun à mes professeurs et à mes camarades de classe à mon université. Il y avait une fois une classe dont le thème principal était les « Festivals. » Le professeur a interrogé les étudiants sur les festivals qu'ils connaissaient bien. J'en ai profité pour promouvoir Shen Yun. Les étudiants ont adoré et n'arrêtaient pas de dire : « Ouah ! » Le professeur a dit : « C'est vraiment beau. J'aimerais voir le spectacle. »

Je ne compte plus sur les autres pour promouvoir Shen Yun. Lorsque je distribuais des brochures de Shen Yun sur la rue principale, un pratiquant coréen a eu une urgence et a dû partir. Ma confiance a disparu — il y avait des rues inconnues et des étrangers. Je me sentais gênée et effrayée, parce que je ne parlais pas bien le coréen. Puis, j'ai réalisé que c'était l'occasion d'abandonner l'attachement à compter sur les autres, puisque la cultivation et pratique dépend de moi — je dois marcher sur mon propre chemin. Il n'y a rien de tel que de compter sur les autres dans la cultivation et pratique. Dès que j'ai reconnu cet attachement, j'ai émis la pensée droite et j'ai senti que le Maître était avec moi. Je n'avais plus peur.

Quand Shen Yun est venu en Corée pour jouer, j'ai regardé le spectacle pour la première fois. Mon visage était couvert de larmes pendant la première moitié du spectacle. Je ne savais pas pourquoi, mais au fond de mon cœur, j'étais touchée et reconnaissante. C'est exactement ce que le Maître a dit :

« Peu importe dans quel coin du monde on vit, en voyant cette culture et ce qu’elle contient, les gens sentent tous une connexion avec elle, comme s’ils l’avaient déjà personnellement connue, ou s'ils avaient été là. Chacun a ce sentiment. » (Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa)

Clarifier la vérité à l'université

Tout au long de ma vie universitaire, j'ai suivi le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance et j'ai clarifié la vérité aux professeurs et amis. J'ai utilisé mon expérience pour dire la vérité. J'ai fait le lien entre mes devoirs de classe ou mes travaux écrits et la vérité sur Dafa à l'aide de différents points de vue. Lorsque le sujet portait sur les droits de l'homme, je parlais de l'oppression des droits de l'homme par le Parti communiste chinois (PCC) à l'encontre du Falun Dafa. Quand le sujet était l'histoire, je parlais de la façon dont le Parti communiste chinois a été créé et que des millions de personnes sont mortes pendant ses mouvements politiques. Au cours d'art, je parlais de Shen Yun sous l'angle de l'art pur. Quand des gens que je connaissais avaient des problèmes personnels, je leur parlais de Dafa en leur parlant de la persécution que j'avais subie quand j'étais enfant en Chine.

Lorsque j'ai suivi un cours d'introduction à la littérature chinoise le semestre dernier, j'étais d'abord en faveur du style d'enseignement du professeur, mais je me suis alors rendu compte qu'il faisait l'éloge du Parti communiste et j'étais surprise et contrariée. Pourquoi louait-il le Parti communiste pour avoir détruit la culture chinoise alors qu'il connaît si bien l'histoire et la littérature chinoises ? De plus, j'étais contrariée par l'impact qu'il pourrait avoir sur ses étudiants.

Je ne me sentais pas calme et j'étais, en fait, en colère. Je me suis demandé pourquoi j'étais en colère. Je savais que je devais protéger le Fa et ne pas avoir autant de pensées négatives. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai découvert que j'avais encore l'attachement à la sentimentalité.

Le Maître a dit :

« Vouloir faire quelque chose, ne pas vouloir faire quelque chose, être content, ne pas être content, aimer, détester, tout sans exception dans toute la société humaine provient des émotions. » (Zhuan Falun)

Quand les idées du professeur étaient conformes aux miennes, je le respectais et l'admirais, mais quand elles ne l'étaient pas, j'étais en colère et déçue. Je me suis rendu compte que je devais abandonner cette émotion d'amour et de haine et être miséricordieuse, parce que le professeur n'était pas un pratiquant.

Après être arrivée à cette conclusion, j'ai cherché un moyen de lui parler objectivement. À la fin du cours, je me suis approché de lui et je lui ai fait part de mes pensées. Il était très favorable à mon point de vue.

Après notre discussion, chaque fois qu'un sujet lié au communisme était abordé, le professeur commençait par critiquer le Parti communiste d'une manière humoristique et réfléchie. Et au fur et à mesure que les pratiquants continuaient à s'élever sur leur chemin de cultivation et pratique, le professeur renouvelait chaque jour son point de vue en classe. C'est une chance pour les étudiants, que le professeur ait fait le bon choix.

Clarifier la vérité sur les sites touristiques

Quand j'ai participé pour la première fois à la clarification de la vérité sur un site touristique, les gens m'insultaient. J'ai souvent pleuré et j'ai dû passer beaucoup de tests de xinxing. Je ne savais pas comment répondre à toutes sortes de questions. Ainsi, j'ai appris et mémorisé des informations sur la clarification de la vérité au sujet du Falun Dafa sur le site Internet de Minghui. J'ai aussi fait équipe avec un autre pratiquant qui réussissait bien à clarifier la vérité et j'ai beaucoup appris.

Une fois, j'ai dit la vérité à quatre hommes d'âge mûr qui ressemblaient à des membres du Parti. Mais ils m'ont insultée et ont eu un regard méprisant. Quand j'ai ajouté quelques mots de ressentiment et de colère, ils étaient encore plus agités et chantaient haut et fort la chanson du Parti communiste chinois tout en m'entourant. Leurs visages étaient noirs et rouges, et ils avaient un regard maléfique. J'avais si peur. Après mon retour à la maison, j'ai pleuré et pleuré. Je n'ai jamais été aussi maltraitée de toute ma vie. De plus, je ne pouvais rien faire quand ils insultaient le précieux Dafa. Après avoir pensé à la scène pendant un moment, j'étais en larmes, mais je n'ai pas perdu ma confiance pour clarifier la vérité, pensant que c'était une tribulation que je devais surmonter.

Le Maître a dit :

« Je vous ai dit auparavant que la Bienveillance n’est pas quelque chose que l’on peut feindre, ni un état que l’on peut maintenir superficiellement. La Bienveillance vient véritablement de l’intérieur, on peut l’obtenir et l’incarner seulement par la cultivation. Lorsque vous êtes face à des êtres, dès que vous ouvrez la bouche et qu’émerge votre pensée, elle peut désintégrer les éléments mauvais et les choses mauvaises qui empoisonnent les gens de ce monde et qui existent dans leur esprit. De cette façon, les gens vont arriver à comprendre et vous pourrez les sauver. Si vous n’avez pas la force puissante de la Bienveillance authentique à l’œuvre, vous n’arriverez pas à les désintégrer et lorsque vous clarifiez la vérité, vous n’aurez aucun effet. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi de la région ouest des Etats-Unis en 2004 », Enseignement de Fa dans les conférences (V))

Cet incident m'a poussée à cultiver la compassion. Quand j'étais insultée, je m'assurais de ne pas avoir un regard rancunier et j'essayais de garder l'esprit tranquille. Quand je traitais les gens ordinaires avec miséricorde, le nombre de conflits diminuait lentement.

Pendant un moment, les gens m'ont demandé : « Comment peux-tu faire une chose pareille à un si jeune âge ? » Bien sûr, je n'étais pas émue puisque je savais ce qu'est Dafa, qui je suis et ce que je faisais. Mais, j'ai réalisé que j'avais besoin de regarder à l'intérieur quand on me l'a dit à plusieurs reprises.

J'ai trouvé que j'étais très attaché à l'idée d'être jeune. Beaucoup de pratiquants qui clarifiaient la vérité étaient âgés et peu étaient aussi jeunes que moi. J'ai découvert une conception que puisque j'étais encore jeune, je devrais être pardonnée si je n'étais pas diligente dans la cultivation et pratique. J'ai aussi pensé que je pouvais surmonter les difficultés sans être aussi stricte que les personnes plus âgées.

Après avoir réfléchi à cette pensée, je me suis rendu compte que je considérais le Maître comme une figure paternelle. Tout comme les parents pardonnent toujours le mauvais comportement de leur enfant, je pensais que le Maître me pardonnerait. J'examinais la question avec la sentimentalité humaine. J'ai réalisé que Dafa enseigne la compassion, mais qu'il a des exigences strictes — il n'y a pas de sentimentalité. Depuis, peu de gens m'ont traitée comme une enfant, mais m'ont dit : « Ouah, une jeune qui pratique le Falun Dafa ! »

Nous clarifions la vérité à côté d'un feu de circulation. La plupart des gens qui s'arrêtent au feu de circulation regardent le tableau d'affichage de Dafa, mais ils partent dès que le feu devient vert. Ainsi, il m'arrivait souvent de manquer l'occasion de les faire démissionner du PCC parce que le feu de circulation changeait soudainement. Puis je suis devenue impatiente, parce que j'avais peur que les gens partent sans entendre la vérité. Je me suis rendu compte que je devais regarder à l'intérieur, et j'ai trouvé que je m'inquiétais parce que je pourrais retarder leur voyage en les retenant trop longtemps pour leur dire la vérité et leur faire manquer le feu vert. Ils attendent la vérité depuis tant d'années. En quoi est-ce grave s'ils ratent un feu de circulation ? Quand j'ai remis mes idées en place, les gens ne vérifiaient plus les feux de circulation. Ils m'écoutaient quand je leur demandais de rater un feu de circulation, car ce que j'avais à leur dire était important.

Une fois, deux jolies jeunes femmes se tenaient devant le tableau du Falun Dafa et la table où nous avions laissé les dépliants. Quand je leur ai demandé si elles avaient besoin d'aide, l'une d'elles m'a demandé ce que c'était en chinois. Je leur ai souri et leur ai dit la vérité. Elle a écouté attentivement et a été si émue qu'elle a dit à son amie : « Elle est si gentille ! J'ai envie d'en entendre plus. » J'ai été touchée de savoir qu'elle ressentait la gentillesse d'une pratiquante. Quand j'ai fini de parler, son amie m'a dit : « Au début, je pensais que vous étiez un peu anti-gouvernement, mais une fois que j'ai appris la vérité, je vois que vous êtes vraiment patriotique. Je pense que vous faites quelque chose de vraiment important et que vous êtes tous de bonnes personnes. J'appuie votre croyance. Continuez comme ça ! »

Le Maître a dit :

« Au moment où je suis né, beaucoup de divinités sont descendues en me suivant. Il y en a eu tous les ans à partir de ce moment-là, les divinités ne cessaient de descendre. Au moment où je transmettais le Fa, les divinités sont arrivées comme des flocons de neige. Elles étaient aussi nombreuses. Si je calcule leur âge, depuis ma transmission du Fa jusqu’à présent, parmi les jeunes aux alentours de vingt-cinq ans, il y en a vraiment encore beaucoup qui n’ont pas été sauvés, ils étaient tous des divinités, ils sont descendus sur cette Terre, dispersés dans les différentes régions du monde... » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2016 »)

Peu de temps après la publication de cette conférence, un jeune Coréen a signé une pétition contre Jiang Zemin. Après cela, il a regardé très attentivement le dépliant qui disait : « Le Falun Gong a été présenté pour la première fois à Changchun en 1992 par Maître Li Hongzhi. » Il avait l'air très enthousiaste après avoir lu ça. Il a dit : « 1992, je suis né en 1992, et j'ai 25 ans cette année ! » À ce moment-là, j'étais trop surprise pour dire quelque chose, mais je sentais qu'il était ému.

Sentir le caractère sacré de Dafa

Quand j'ai été diligente dans l'étude du Fa et que j'ai passé une tribulation, j'ai ressenti quelque chose d'étrange pendant quelques jours. Je sentais mes pieds marcher sur le sol, mais comme si je n'étais pas du tout dans cet espace. Quand j'ai vu pour la première fois un touriste chinois entrer et sortir du village de Hanok, j'ai eu le sentiment très fort que les touristes chinois étaient sacrés et de grands rois avant de descendre dans le monde. Leurs dizaines de millions d'années d'attente n'étaient que pour ce dépliant, apparemment si simple. Les disciples de Dafa ont la responsabilité de les éveiller. C'est aussi le dernier espoir qu'ils attendent.

Pendant mes années de cultivation et pratique à l'étranger, le Maître m'a donné ce qui est plus grand et plus sacré, et il a renouvelé ma vie. Quand je me rappelais les années de ma cultivation et pratique, la chose la plus importante était de me rappeler clairement qu'en toutes circonstances : « Je suis une pratiquante et une disciple de Dafa. » Si je n'oublie pas d'être une disciple de Dafa, une grande partie du Fa du Maître me viendra constamment à l'esprit et m'aidera à surmonter les difficultés.

Merci Maître, merci compagnons de cultivation !

(Présenté lors du Fahui d'Asie 2018)

Traduit de l'anglais au Canada