(Minghui.org)

Ma vie renouvelée

En novembre 1995, alors que mon fils était en dernière année d'école primaire, on m'a diagnostiqué une hernie discale cervicale. J'étais quasiment paralysée et au fond d'un lit à l'hôpital.

Pendant cette période, j'étais incapable de m'occuper de mon fils, donc ma famille entière souffrait aussi avec moi. Simplement être en vie était douloureux.

J'ai rencontré une pratiquante de Falun Dafa à l'hôpital, en octobre 1996, et elle m'a présenté Dafa. Par son intermédiaire, j'ai acheté le livre Zhuan Falun. Même si j'étais incapable de m'asseoir et que j'avais du mal à lire, j'ai réussi à finir le livre et j'ai trouvé que c'était génial. En lisant, ma santé a commencé à s'améliorer. J'ai été capable de m'asseoir, de me lever et finalement de marcher.

Deux mois plus tard, je suis allée à une conférence de partage d'expériences du Falun Dafa avec le cou dans une minerve. J'ai écouté le partage des autres pratiquants et j'ai ressenti la beauté de Dafa. J'ai gagné en assurance et j'ai décidé de quitter l'hôpital et de rentrer chez moi. Après l'avoir fait, courant janvier 1997, j'ai commencé à me rendre au site d'exercices tous les jours.

Un jour de janvier, j'ai fait une sieste et j'ai vu le Maître assis sur une grande et belle fleur de lotus. Il s'est levé et a marché vers moi en souriant. J'étais tellement émue. Quand je me suis réveillée, j'ai promis au Maître que je cultiverais avec diligence pour atteindre la plénitude parfaite. Le lendemain, j'étais complètement rétablie. J'ai enlevé la minerve que je portais en permanence.

J'ai repris le travail fin mars 1997. Mes collègues ont été très étonnés de me voir et ont pensé que mon rétablissement était tout simplement miraculeux. Après avoir entendu comment Dafa m'avait secourue, deux d'entre eux ont aussi commencé à pratiquer.

Une meilleur personne

Avant de commencer à pratiquer Dafa, j'avais une très mauvaise relation avec ma belle-mère. Elle était très proche de mon mari et n'appréciait pas le fait qu'il soit le mari de quelqu'un d'autre. Je devais faire toutes les tâches ménagères, pourtant elle m'insultait quand même tout le temps. Je lui en voulais vraiment.

Dafa m'a appris à être compatissante avec tout le monde. J'ai commencé à la comprendre et j'ai vraiment pu être gentille avec elle. Je me suis occupée d'elle pendant huit ans, dans la maladie et dans la santé, jusqu'à sa mort.

J'étais employée dans une puissante agence gouvernementale. Nous avions beaucoup d'argent « noir » et d'autres branches nous donnaient souvent des cadeaux. J'en étais heureuse avant de pratiquer Dafa. Mais je n'ai plus rien pris par la suite.

Je me suis souvenue que le Maître a dit :

« …il y a le principe suivant : qui ne perd pas n’obtient pas, pour gagner on doit perdre. » (Zhuan Falun)

J'ai pris ces gains personnels avec légèreté et mon esprit est devenu plus droit. En même temps, ma santé s'est de plus en plus améliorée.

Après le début de la persécution du Falun Dafa en 1999, j'étais vraiment triste. Je me suis éveillée à l'idée que je devais dire aux gens la vérité sur la pratique. Au travail, j'ai imprimé quelques brochures à distribuer. Quand mon superviseur l'a découvert, il ne m'a pas signalée. Il savait que j'étais devenue une meilleure personne après avoir pratiqué Dafa et que j'avais travaillé dur sans aucune plainte.

Sauver les gens

En tant que disciple de la période de la rectification de Fa, je dois bien faire les trois choses. Et l'une de ces choses est de sauver les gens en leur disant la vérité à propos du Falun Dafa. Alors je distribuais toujours des documents de Dafa sur le chemin pour me rendre au travail ou chez moi et j'en parlais également avec les gens.

En 2008, lorsque mon mari a eu un accident vasculaire cérébral, j'ai dû rester à la maison et m'occuper de lui. J'étais inquiète de savoir comment sauver les gens dans cette situation. Rapidement, un pratiquant m'a demandé si je pouvais installer un site de production de documents pour clarifier la vérité chez moi. J'ai réalisé que c'était l'arrangement du Maître et j'ai immédiatement accepté.

J'ai acheté l'équipement et commencé à produire des documents pour les pratiquants de ma région. Même si j'avais une certaine connaissance des ordinateurs grâce au travail, j'ai quand même rencontré de nombreuses difficultés techniques en cours de route. Cependant, avec l'aide du Maître, j'ai toujours été en capacité de les résoudre.

J'étais très occupée pendant cette période : étudier le Fa, faire les exercices, émettre la pensée droite, imprimer des documents, acheter les fournitures, faire le ménage, cuisiner et prendre soin de mon mari. Parfois, j'ai même oublié de manger.

Je sentais que le Maître était toujours avec moi. Pendant les Jeux Olympiques de Pékin, en 2008, le blocus Internet était sévère. Tous les vendredis soirs, quand je téléchargeais des documents de Dafa sur Internet, le Maître m'aidait à accéder à Internet entre deux heures et trois heures du matin jusqu'à ce que je finisse de télécharger. Je me suis éveillée au fait que le Maître prendra soin de tout si nous faisons les choses avec droiture. Nous avons pu produire des documents et les distribuer aux pratiquants.

Après que mon mari soit décédé, plusieurs autres pratiquants ont commencé à fabriquer des documents de Dafa chez eux aussi. J'ai eu à nouveau plus de temps pour aller raconter aux gens les faits sur Dafa. Une fois, des panneaux d'affichage qui diffamaient Dafa ont été installés dans une rue de notre ville. Ils étaient à environ un mètre de distance et couraient sur près de quatre cents mètres. Je savais que je ne devais pas les laisser empoisonner l'esprit des gens. Je suis sortie une nuit et je les ai abattus.

Plus tard, j'ai recueilli les informations de contact de tout le personnel qui travaillait au poste de police et dans les comités résidentiels de ce quartier et je leur ai envoyé des lettres contenant des informations factuelles concernant Dafa.

En novembre 2016, un pratiquant m'a demandé d'aider à imprimer les calendriers de bureau de Dafa et m'a apporté une imprimante, parce que la mienne ne faisait pas d'exemplaires de très bonne qualité. Mais nous ne pouvions pas produire tous les calendriers à temps avec une seule imprimante, alors j'ai quand même essayé d'utiliser ma propre imprimante.

Un miracle s'est produit : mon imprimante a commencé à faire des exemplaires qui étaient d'assez bonne qualité et nous avons terminé la totalité des cinq mille calendriers de bureau à temps. Tous les pratiquants locaux ont travaillé ensemble, les ont distribués et leur impact a été vraiment positif. J'ai sincèrement remercié le Maître pour son aide.

Traduit de l'anglais en France