(Minghui.org)

Un mendiant demande des documents de Dafa

Je suis sortie avec deux autres pratiquants de Falun Dafa pour parler de Dafa aux gens durant une chaude journée du mois d'août. Nous avons vu un homme qui se tenait là seul, alors l'un d'entre nous est allé lui parler. Il paraissait très pauvre.

J'ai continué à émettre la pensée droite durant toute la conversation, afin d'éliminer toute interférence venant des forces anciennes susceptibles d’empêcher cet homme d'être sauvé. J'ai aussi demandé au Maître de nous renforcer.

Puis je me suis approchée de l’homme et lui ai parlé : « Saviez-vous que le Falun Dafa est le Fa de Bouddha, et que le ciel est en train d'éliminer le Parti communiste chinois (PCC) ? Démissionner du Parti vous permettra de jouir d’un brillant avenir. »

L'homme m’a regardée avec dédain et a dit : « Je ne crois en rien ni personne. La seule chose que j'aime c'est l'argent. Si vous me donnez tout votre argent alors je vous écouterai ! »

En voyant cette vie précieuse devant moi, j'étais remplie de compassion. Je n’éprouvais aucun mépris.

Je lui ai dit : « Vous n'êtes pas le seul à penser ça. Tout le monde aime l'argent ! Cependant, Confucius a dit : “Un homme devrait gagner de l'argent de façon appropriée.” La raison pour laquelle nous nous rencontrons aujourd'hui est pour que puissiez entendre la vérité au sujet du Falun Dafa, et pour vous sauver. Trouvez-vous correct de gagner votre vie en me demandant de vous donner de l'argent ? Bien que je puisse vous dire que vous êtes une bonne personne, serait-il juste de me prendre de l'argent même si je vous le donnais ? »

Je pouvais sentir que le Maître me renforçait, pendant que mes compagnons de cultivation émettaient la pensée droite. Alors j'ai expliqué à cet homme le principe d'être une bonne personne, et que pour gagner il fallait perdre.

L'homme était visiblement embarrassé et baissait la tête à mesure que je lui parlais. « C'est vrai », a-t-il dit. « Si j'accepte votre argent aujourd'hui, ne devrai-je pas le rembourser dans le futur ? »

Je lui ai expliqué ce qu'était le Falun Dafa, et pourquoi le ciel allait éliminer le PCC. Il écoutait très attentivement et a dit qu'il avait rejoint les Jeunes Pionniers. Lorsque je lui ai expliqué l'importance de s’affranchir des organisations affiliées au PCC, il a accepté de démissionner.

L'un des pratiquants lui a donné un dépliant de Falun Dafa. Il a demandé s'il pouvait avoir quelques exemplaires supplémentaires afin que ses amis puissent aussi apprendre la vérité. Nous lui avons dit que les documents étaient destinés à sauver les gens, et qu'il ne devait pas les jeter. Il nous a promis de ne pas faire cela.

Un ancien camarade de classe démissionne du Parti

L'un de mes anciens camarades de classe est un riche directeur de banque à la retraite. La première fois que je lui ai parlé du Falun Dafa, je lui ai demandé de démissionner du PCC, ce qui lui assurerait un brillant avenir. Cependant, il refusait de me croire, et n'a accepté aucun des documents liés à Dafa que je lui tendais.

La deuxième fois que je l'ai vu, c'était lors du mariage d'un ami. Je n'ai pas eu la chance de lui parler parce que nous étions séparés par quelques tables. Lorsqu'il s’est rendu compte que je voulais lui parler, il a fait un geste signifiant qu'il ne souhaitait pas que je l’approche.

La troisième fois que je l'ai vu, il marchait dans la rue. Je l'ai interpellé : « Je ne veux rien te demander. Je veux juste que tu saches la vérité afin que tu puisses éviter les désastres à venir ! »

Il m’a regardé et a répondu : « J'ai travaillé dur pour faire partie du PCC, alors économise ta respiration, parce que je ne quitterai pas le PCC même si ce que tu me dirais était vrai ! Et je ne le regretterai pas non plus ! »

J'ai répondu : « C'est une tragédie qu’un être soit incapable de distinguer le bien du mal. L’opportunité d'entendre la vérité n’est pas quelque chose qu’on puisse regretter ! »

Je lui ai tendu deux dépliants de Dafa et lui ai dit de les lire sans à priori. « Ne sacrifie-pas inconsciemment ta vie pour le Parti. »

Il a dit qu'il les lirait.

La prochaine fois que je l'ai vu, c'était lors d'une fête organisée par le camarade de classe de mon mari. Mon mari devait travailler cette nuit-là, alors j'y suis allée à sa place. Lorsque j'ai regardé autour de ma table, j'ai remarqué que mon ancien camarade de classe était assis en face de moi.

J'ai aidé deux personnes qui étaient assises à ma gauche et à ma droite à se retirer du Parti. Puis j'ai demandé au Maître d'arranger une opportunité pour me permettre de sauver mon ancien camarade de classe. Lorsque l'événement a pris fin, il s'est approché ce moi avec un grand sourire et m’a serré la main.

J'ai soudain réalisé que c'était l'opportunité que le Maître avait arrangée pour moi. Je lui ai dit très sérieusement : « Chaque fois que je pense au fait que tu n'as pas quitté le PCC, je m'inquiète beaucoup pour toi. C'est comme si je ne t'avais pas suffisamment bien expliqué les faits ou que je n'avais pas rempli ma responsabilité envers toi. »

Il a répondu avec joie : « Écoute, je ne veux pas que tu t'inquiètes pour moi. Aide-moi à démissionner s'il te plaît. Je vais le faire sous mon vrai nom. »

Il faisait soleil dehors lorsque j'ai quitté la fête, et l'air était très frais. J'ai joint mes mains devant ma poitrine pour remercier le Maître d'avoir sauvé la vie de cet être !

Traduit de l'anglais en Europe