(Minghui.org) Mme Ma Fengju se sent encore très faible et a de la difficulté à respirer, deux mois après avoir été frappée au visage et battue par la police.

Mme Ma, une habitante du canton de Qingyuan, dans la province du Liaoning, a été arrêtée le 25 septembre 2019, pour avoir diffusé des informations sur le Falun Gong, une discipline spirituelle persécutée par le régime communiste chinois depuis 1999.

En interrogeant Mme Ma au poste de police de Yaozhan, deux policiers lui ont donné l'ordre de fournir ses empreintes digitales et l'ont frappée au visage et à la tête des dizaines de fois lorsqu'elle a refusé d'obtempérer.

Mme Ma a été envoyée au centre de détention de Fushun le lendemain. Un gardien l'a giflée pendant l'examen physique requis. Plus tard, elle a commencé à présenter de l'hypertension, un mal de tête, des vertiges et de fréquents vomissements. Les gardes ont refusé de la libérer et ont continué à la maltraiter, y compris en lui limitant l'usage des toilettes.

Sa sœur cadette s'est récemment rendue au poste de police pour demander sa libération, mais le chef de la police lui a crié après et l'a harcelée.

Voir aussi :

Une femme souffre de maux de tête, de malaise cardiaque et d'hypertension artérielle après avoir été giflée par la police

Traduit de l’anglais