(Minghui.org) L'éducation focalisée sur les examens en Chine a mis une pression énorme sur les écoles, les enseignants, les parents et les élèves. Les enfants se sentent déprimés, les parents se sentent impuissants et les enseignants doivent travailler très dur pour répondre aux besoins exigeants et en constante évolution. C'est le cas dans les écoles secondaires de deuxième cycle, les écoles secondaires de premier cycle ou les écoles primaires.

Comme ma femme et moi avons été arrêtés illégalement par le régime communiste pour notre pratique du Falun Dafa, ma fille n'a pas eu une vie familiale normale quand elle était petite. Il y a même eu des interférences à la maternelle. Par conséquent, elle était désavantagée lorsqu'elle a commencé à fréquenter l'école et ne réussissait donc pas aussi bien que les autres élèves. Un enseignant a même commenté dans un cahier aux parents : « Je me demande quel jardin d'enfants elle a fréquenté ! »

Traiter avec le système scolaire des gens ordinaires en Chine

Le travail scolaire a commencé à être plus difficile en troisième année (ndt : à l'école primaire), car il était nécessaire de préparer les élèves à l'école secondaire de premier cycle. Les enseignants exigeaient que de plus en plus de devoirs soient faits. Ma fille était un peu lente et elle n'arrivait à terminer ses devoirs tous les soirs que très tard. En conséquence, il ne lui restait presque plus de temps pour étudier les enseignements du Maître. Nous espérions pouvoir étudier le Fa avec notre fille tous les jours.

Le Maître a dit :

« Vous avez tous un travail dans cette société humaine ordinaire et vous avez des activités sociales – vous êtes tous en contact avec des gens ordinaires et avec la société humaine ordinaire. En conséquence, tu es marqué par ce qui t'entoure, ainsi ce que tu vois et entends, tout a à voir avec les choses des gens ordinaires, ce qui va interférer avec ton xiulian. Donc il est bon pour chacun de souvent apprendre le Fa ensemble et d'utiliser cette bassine d'eau limpide pour te nettoyer. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de l'Est des États-Unis »)

L'endoctrinement en Chine commence dès qu'un enfant innocent entre à l'école. Beaucoup de textes dans les manuels scolaires sont des mensonges, comme l'histoire de Qiu Shaoyun, qui serait resté immobile lorsqu'il a été frappé par une bombe incendiaire pour ne pas exposer leur position à l'ennemi, ou celle de Huang Jiguang, qui a été salué comme un héros parce qu'il s'était lancé contre une mitrailleuse pendant la guerre de Corée. Certains textes diffament le Falun Dafa, comme la fausse histoire des auto-immolations sur la place Tiananmen orchestrée par le régime communiste.

Ma fille faisait les choses lentement. Si elle étudiait d'abord le Fa, elle n'était pas capable de finir ses devoirs, ce qui lui apportait régulièrement les critiques de son professeur. Je suis allé expliquer à son professeur à plusieurs reprises, et à la fin j'ai écrit une garantie, disant qu'en tant que parents, nous prendrions l'entière responsabilité du travail scolaire de notre fille, qu'elle ait obtenu de bonnes ou de mauvaises notes. Avec cette garantie, le directeur d'école a cessé de forcer ma fille à faire ses devoirs accablants.

Lorsque le moment est venu pour elle de passer à l'école secondaire de premier cycle, son école a organisé un examen blanc pour voir si les élèves se débrouillaient bien. Les notes n'ont pas été révélées aux élèves, qui ont ensuite été placés dans différentes classes, en fonction de leurs résultats. Ma fille a été placée dans la classe des élèves les plus performants.

Les élèves de cette classe ont reçu du travail supplémentaire dès le premier jour et étaient gardés à l'école jusqu'à 20 h. Les parents devaient envoyer le dîner à l'école. Après être rentrés chez eux le soir, ils devaient faire plus de devoirs jusqu'à très tard.

L'importance de l'étude quotidienne du Fa

Nous étions très inquiets. Nous craignions que si notre fille n'avait pas le temps d'étudier le Fa, elle puisse s'éloigner du Fa. Toute sa vie semblait à l'époque centrée sur les examens. Nous sommes allés voir son directeur d'école et lui avons demandé de permettre à notre fille de ne pas assister aux cours après l'école.

Bien que les cours obligatoires après l'école soient interdits par le bureau de l'éducation, chaque école impose aux élèves d'augmenter la réputation de l'école. Le directeur de l'école a dit que si ma fille arrêtait de suivre les cours après l'école, elle devrait aller dans une autre classe, ce que nous ne voulions pas qu'elle fasse. En fin de compte, nous avons écrit une autre garantie, déclarant que nous serions entièrement responsables si notre fille ne parvenait pas à passer à l'école secondaire de deuxième cycle.

Afin de suivre le planning d'enseignement, de nombreuses nouvelles leçons étaient enseignées dans les cours après l'école. Ainsi, ma fille devait faire son propre autoapprentissage ou demander à ses camarades de classe de lui donner les leçons manquantes. Même si ses notes n'étaient pas aussi bonnes, elle était beaucoup plus heureuse que ses camarades de classe, car elle n'était plus exposée au stress.

Avant les examens de mi-session, on a fortement conseillé à tous les élèves de suivre une thérapie psychologique, à l'exception de ma fille, car tout le monde pouvait voir qu'elle était dans un très bon état psychologique.

Seize élèves de son école ont été admis à l'école intermédiaire no 1, la meilleure de la région. Même si ma fille n'était pas l'une d'entre elles, elle s'est rendue à l'école qu'elle voulait fréquenter - une autre école réputée dans notre région. Son directeur nous a dit avec regret : « Votre fille est assez bonne pour aller à l'école no 1, mais vous n'avez pas fait assez attention à son travail scolaire. »

Je n'ai eu aucun regret. Dans la classe de ma fille, elle était la seule à ne pas avoir besoin de porter de lunettes et la seule qui avait le dos droit et un bon état mental.

La vie à l'école secondaire de 2e cycle était encore plus intense. Notre fille était demi-pensionnaire pour pouvoir étudier le Fa avec nous tous les jours.

Ma fille était devenue plus mature et avait ses propres aspirations. Elle a décidé d'aller à l'université la mieux adaptée à la matière qu'elle avait choisie.

Je n'ai pas cessé de l'encourager sans trop d'attente, car je connaissais la barre d'admission très élevée. Beaucoup d'élèves s’entraînaient aux examens d'entrée à de multiples reprises et échouaient quand même. Cependant, ma fille était pleine de confiance et elle étudiait très fort. Elle a perdu du poids, mais peu importe à quel point elle était occupée, elle n'a jamais arrêté d'étudier le Fa.

L'étude du Fa l'a aidée mentalement et physiquement. Elle a même remporté la première place à la course de 3000 mètres dans la compétition sportive de son école. Elle m'a dit que pendant qu'elle courait, elle n'arrêtait pas de réciter « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », et plus elle courait, plus elle était détendue, et elle a même été capable de sprinter au cours des cent derniers mètres.

Avec le Fa dans le cœur, ma fille a maintenu un état d'esprit très sain et positif. Elle tenait toujours compte des autres en premier et s'entendait très bien avec tout le monde autour d'elle. Elle n'a jamais dépensé d'argent de façon imprudente et nous n'avons jamais eu à nous inquiéter pour elle.

Le pouvoir de Dafa : Apprendre les matières nécessaires à l'admission à l'université choisie

La tactique des devoirs excessifs est courante en Chine pour la préparation aux examens d'entrée dans l'enseignement supérieur. Même si ma fille n'avait jamais fait beaucoup de devoirs à la maison ni assisté aux cours après l'école, son professeur a dit qu'elle avait une très bonne qualité d'éveil et qu'elle était capable d'apprendre très facilement ce qui était enseigné. Bien qu'elle n'ait pas fait autant d'exercices, elle a été capable d'atteindre une très bonne efficacité d'apprentissage avec moins d'efforts. Lorsque les résultats des examens d'entrée dans l'enseignement supérieur ont été publiés, ma fille a été heureuse d'apprendre qu'elle avait été admise dans l'université de son choix comme elle le souhaitait.

En fait, ma fille n'est pas aussi intelligente que beaucoup d'autres jeunes de son âge, la différence est que ma fille a le Fa dans son cœur et qu'elle suit le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Contrairement à la plupart des jeunes filles, elle n'a pas connu de phase rebelle et s'est toujours très bien entendue avec nous. Elle a aimé ses études universitaires et a atteint ses objectifs.

En tant que parents, nous en avons aussi beaucoup profité, parce que nous n'avons jamais eu à nous inquiéter si notre fille allait s'égarer et attraper les maux de la société. C'est un tel plaisir de la voir grandir avec le Fa comme guide et de la voir devenir une jeune femme heureuse et brillante.

Le Maître a dit :

« Trois mots de vérité

Un principe simple, des mots clairs

Bénédictions abondantes pour l'homme ordinaire qui le connaît en surface

Vision claire comme dans un miroir pour le fonctionnaire qui le connaît superficiellement »

(« Le voyage de Dafa », Hong Yin II)

Traduit de l'anglais au Canada