(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître, bonjour compagnons de cultivation

Retrouver Dafa et renouer avec mon affinité prédestinée sacrée

J'ai obtenu le Fa en Chine continentale en 2010. Ma famille a commencé à cultiver dès 1993. J'étais jeune et je ne comprenais pas le sens de la cultivation. J'ai trouvé que faire les exercices était trop douloureux et j'ai donc choisi de ne pas pratiquer. J'ai manqué cette opportunité.

Il m'a fallu seize ans avant de reprendre le Zhuan Falun. En le lisant, j'ai senti que ce que je cherchais avait toujours été près de moi.

Le Maître a dit :

« C’est comme une prise électrique – branchez-la et l’électricité passe. » (« Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa, Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de Washington DC 2011 », Enseignement de Fa dans les conférences XI)

Pour me guider, je lisais avant de nombreux romans classiques et des livres d'histoire de l'Orient et de l'Occident. Ils ne m'ont pas changée mais ont agi comme un costume extérieur. Quand j'ai eu fini de lire le Zhuan Falun, j'ai réalisé qu'il répondait à toutes mes questions. Les principes de Dafa m'ont profondément touchée et ont réveillé mon vrai moi qui avait été enterré. Je savais que Dafa pouvait me changer de l'intérieur, alors j'ai commencé à cultiver.

Peu de temps après, j'ai fait un rêve qui me disait que ma famille et moi étions descendus couche après couche de l'univers, depuis le ciel jusqu'à la terre. C'était comme la scène d'ouverture dans Shen Yun où les divinités suivaient le Maître jusqu'à la terre. Quand je me suis réveillée de mon rêve, j'étais émerveillée. C'était l'encouragement du Maître pour moi en tant que nouvelle disciple et cela a approfondi ma croyance et ma persévérance dans la cultivation.

Se joindre aux médias dans le cadre d'une entente bienveillante

Avant de quitter la Chine, j'ai lu une conférence du Maître : « Enseignement de la Loi lors d'une réunion de The Epoch Times ». J'ai pensé que ce serait l'idéal si je pouvais me joindre aux médias à plein temps et aussi en vivre. Rétrospectivement, cette pensée était pure. Elle n'était pas née d'un fort attachement à rechercher. Quand je suis arrivée à l'étranger pour mes études, j'ai rencontré une pratiquante du même âge que moi qui travaillait pour Epoch Times. C'était agréable de parler avec elle et nous étions très proches. Elle me demandait un coup de main chaque fois que les médias avaient besoin de bénévoles et je l'aidais volontiers.

La coordinatrice des médias a appris à bien me connaître et a offert de m'embaucher à temps plein après mes études. J'ai refusé en raison de difficultés financières. Lorsque j'étais sur le point d'obtenir mon diplôme, la coordinatrice m'a demandé de l'aide pour un projet à court terme. Comme je n'avais pas commencé ma recherche d'emploi, j'ai accepté sans hésitation.

Les médias sont un projet des pratiquants de Dafa qui a besoin du soutien des jeunes pratiquants. Après cela, la coordinatrice m'a de nouveau demandé de rester et j'ai dit oui. Mais les choses ne s'en sont pas arrêtées là, car j'ai vécu beaucoup d'interférences. J'ai regretté ma décision en raison de la situation financière et j'étais un peu inquiète au sujet des relations interpersonnelles entre les membres de l'équipe des médias. J'ai hésité et j'ai dit à la coordinatrice que je ne resterais que quelques mois. Elle m'a dit que l'entreprise avait besoin de personnel permanent et elle m'a donné un mois pour me décider.

Au cours de ce mois, mon esprit penchait d'un côté puis de l'autre. J'avais besoin de réfléchir aux réalités de gagner ma vie, mais j'avais aussi besoin de réfléchir à ma responsabilité dans ce projet de Dafa. C'était le dernier jour du mois. Le matin, alors que j'étudiais le Fa, je me suis éveillée à quelque chose dans le Fa et cela m'a aidée à prendre ma décision. Je ne me souviens pas quelle conférence m'a inspirée, mais je me souviens qu'il était clair que le Maître suggérait que je devais rester. Dans les années qui ont suivi, la question de savoir si rester était la bonne décision n'a cessé de se poser, surtout quand je traversais des tribulations de xinxing.

Chaque fois que des difficultés surgissaient, j'avais envie de partir. Le test le plus important a eu lieu l'année dernière. Je ne voyais aucun espoir dans le fait de continuer. Ces dernières années, survivre avec le salaire de base m'était difficile et je n'arrêtais pas de penser à changer d'emploi. Peu après, j'ai participé à la conférence mondiale des médias. Après l'arrivée du Maître, j'ai eu l'impression d'avoir vécu une consécration rituelle après avoir écouté Sa conférence.

Le Maître a dit :

« Chacun de vous dans les médias est en train de marcher sur son propre chemin de xiulian. Cette chose que tu es en train de faire est justement ton chemin de xiulian. C’est sûr et certain. Quel que soit ton rôle dans ce média, quel que soit le travail qui t’est confié, c’est cela ton chemin de xiulian. » (« Fahui de NTD et Epoch Times 2018 »)

C'est alors que j'ai réalisé que mon travail dans les médias est le chemin de cultivation que le Maître a arrangé pour moi. Chaque fois que j'avais hésité, il y avait toujours eu des facteurs qui m'avaient empêchée de démissionner. J'avais toujours pensé à ce que je voulais faire, mais je ne m'étais jamais éveillée à ce dont le Maître avait besoin. Après tout ce va-et-vient, j'ai su que je resterais avec Epoch Times.

Cultiver petit à petit dans les médias

Ma cultivation ne fait plus qu'un avec le projet média. Tous les conflits et toutes les difficultés auxquels j'ai été confrontée concernaient mon xinxing. Par exemple, une de mes collègues n'avait pas suivi la procédure normale d'exploitation, ce qui m'avait créé des retards. J'étais responsable d'un autre projet à l'époque. Cela avait épuisé beaucoup de mon énergie, ce qui avait augmenté mon stress. Je n'avais pas maîtrisé mon xinxing et j'avais attaqué verbalement cette pratiquante. J'avais élevé la voix et je l'avais blâmée.

Par la suite, j'ai compris que c'était de ma faute si j'étais en colère à propos de cette affaire insignifiante. J'avais laissé cette pensée à un niveau superficiel en me contentant de constater une lacune et je n'avais pas vraiment regardé à l'intérieur. Le lendemain, j'ai eu le corps endolori et je me suis sentie épuisée comme si je m'étais battue. Je me suis rendu compte que j'avais une grande lacune dans la cultivation, ce qui avait poussé les forces anciennes à profiter de moi. J'ai réalisé que je devais sérieusement regarder à l'intérieur.

À première vue, j'ai trouvé que j'étais combative et que je n'étais pas tolérante face aux problèmes. Derrière la combativité, j'ai découvert que c'était l'intolérance et le rejet des pensées ou des comportements qui étaient en désaccord avec mes propres conceptions. En creusant davantage, j'ai découvert que défendre mes idées et mes croyances était un mécanisme d'autodéfense. Si je suivais mes propres idées, rien n'allait devenir incontrôlable et mon rendement au travail serait assuré. Si je m'éloignais de ma zone de confort, les choses allaient peut-être mal tourner et affecter ma performance.

Je me protégeais pour ne pas être réprimandée et blâmée par les autres. Je travaillais dur au travail pour éviter les commentaires négatifs plutôt que par sens des responsabilités. Mon côté égoïste ne voulait entendre que des commentaires positifs et de bonnes nouvelles. La combativité se manifestait pour défendre mon égoïsme et soutenir mon ego. Tout ce qui allait à l'encontre de l'ego était considéré comme mauvais, j'étais en désaccord et je résistais. Cette mentalité de ne pas vouloir être critiquée et de ne vouloir entendre que de bonnes paroles était étroitement liée à la rancœur. Chaque fois que les choses allaient contre ma volonté, je me plaignais et la haine et la rancœur faisaient surface.

À ce moment-là, le Maître m'a encore éveillée au fait que les épreuves de xinxing que j'avais eues auparavant étaient toutes enracinées dans la combativité et la rancœur. Je n'avais pas vraiment ou fermement cultivé depuis si longtemps et je n'arrivais pas à regarder à l'intérieur chaque fois que des conflits surgissaient. J'avais mis l'accent sur qui a raison qui a tort et ma première pensée était toujours de trouver comment les autres m'avaient fait du tort. Tout en blâmant les autres, je m'imposais d'être tolérante et indulgente. Ce n'était pas une vraie cultivation et cela avait permis à mon côté démoniaque de grandir sans contrainte. J'ai eu de nombreux tests similaires et ça s'est accumulé jusqu'à ce que je ne puisse plus le supporter. Chaque fois que je trouvais quelque chose de peu satisfaisant, je me sentais en colère. C'était comme une bombe parce que je n'avais pas repoussé mon côté démoniaque.

Le Maître a dit :

« Quand on fait face à des conflits, qu’on ait raison ou tort, on réfléchit sur soi-même : ai-je mal fait quelque part dans cette affaire ? Y a-t-il vraiment quelque chose qui ne va pas chez moi ? Vous tous êtes en train de réfléchir ainsi, cherchant d’abord à l'intérieur de vous-mêmes et réfléchissant aux problèmes. Celui qui n'est pas comme ça n'est pas un véritable pratiquant de Dafa. » (« Qu’est-ce qu’un disciple de Dafa ? », Enseignement de Fa dans les conférences XI)

En relisant cette conférence, je me suis éveillée au fait que le fondement de la cultivation est de regarder à l'intérieur. Chaque fois qu'il y a un conflit, il doit y avoir quelque chose à améliorer. Les pratiquants n'ont pas besoin de se disputer pour savoir qui a raison ou tort. Nous devons changer cette première pensée superficielle qui consiste à juger qui a raison ou qui a tort.

En y repensant, j'ai réalisé que j'avais manqué de nombreuses occasions de cultivation. Beaucoup de conflits semblaient petits, je les ai pris à la légère et je ne me suis cultivée que superficiellement. Les occasions de m'élever et de vraiment me cultiver sont passées sans que je les détecte, sous prétexte d'avoir un emploi du temps chargé.

Pendant longtemps, j'avais pris l'habitude d'accomplir des tâches et je me sentais épuisée mentalement et physiquement. C'était parce que je ne cultivais pas vraiment. Après avoir vraiment regardé à l'intérieur, j'ai pris conscience des conceptions qui entraient en conflit avec les miennes. Je me rappelais régulièrement que c'était un autre test. Parfois, je me débrouillais très bien, le Maître fortifiait ma pensée droite et les êtres pervers qui m'influençaient devenaient de plus en plus faibles. Parfois, des conflits surgissaient soudain lorsque ma conscience principale était faible. Le faux moi fait de conceptions réapparaissait et l'état combatif refaisait surface. Après m'être calmée, je réalisais que ces êtres pervers essayaient de revenir.

En creusant davantage, j'ai découvert que les conceptions acquises et le karma constitué d'un faux moi avaient entouré mon corps et formé l'égoïsme. Au cours d'interactions bien spécifiques, j'avais fait preuve d'égoïsme en pensant que toutes mes idées étaient correctes et justifiées. Je considérais les autres comme inférieurs. Je me voyais comme la personne la plus expérimentée qu'il fallait écouter. Ces êtres pervers se sont formés il y a longtemps et je ne pouvais pas les éliminer tous en même temps ; ce n'était pas que dès que j'avais trouvé la substance, elle allait disparaître. J'avais aussi à changer mon comportement. J'avais besoin de prêter attention à chaque petit conflit et d'émettre continuellement la pensée droite pour les nier. Ainsi, quand je n'avais pas bien fait, je n'étais pas contrariée ; j'essayais plutôt de mieux faire la fois suivante. J'ai réalisé que tout cela faisait partie de la cultivation.

Se débarrasser de l'attachement à se valider soi-même

Au cours de mes deux premières années dans les médias, je ne savais pas comment cultiver et j'étais coincée dans le fait d'accomplir des tâches. Je voulais bien faire mon travail et appliquer ce que j'avais appris à l'école. Je faisais les choses en fonction de mes préférences et de mon enthousiasme au lieu de m'installer et de faire le travail avec régularité. Peu à peu, j'ai constaté que mes résultats étaient souvent contraires aux attentes.

Pour une raison quelconque, les tâches considérées comme faciles dans la société ordinaire étaient vraiment difficiles à accomplir dans notre équipe. J'ai vu différents niveaux d'interférences, internes et externes. À l'interne, j'ai constaté que même si je faisais mon travail de façon responsable, c'était dans le but de prouver ma valeur personnelle. Je me suis rendu compte que j'avais cet attachement depuis longtemps et j'ai essayé de m'en débarrasser, mais je n'avais fait qu'effleurer la surface.

Parfois, je trouvais des excuses égoïstes pour l'attachement afin qu'il ne soit pas éliminé. Par exemple, je me voyais comme une personne qui s'appropriait son travail et qui mettait tout son cœur dans le projet. Cependant, la moitié de mon cœur était occupé à me valider moi-même. Si ce projet réussissait, il serait en partie attribuable à mon travail. J'aimais bien y penser parce que cela ajoutait de la valeur à mon existence. Quand le projet n'allait pas sans heurts, je m'énervais et devenais malheureuse. Je sentais que mes efforts étaient vains.

Je faisais des choses en m'accrochant à l'attachement aux résultats, à la performance et à la renommée. J'ai essayé de creuser plus profondément pour découvrir la racine de ces attachements si forts. Ces attachements se sont développés et s'étaient accumulés depuis ma naissance. Depuis mon enfance, j'avais de bonnes notes à l'école et on m'avait toujours accordé des bourses d'études.

Dans la société ordinaire, j'étais une personne diligente et travailleuse. Cela avait permis à mon faux moi de grandir et il n'arrêtait pas de me dire que j'étais capable et que je valais quelque chose. Influencée par la mentalité du PCC pendant de nombreuses années, j'ai été combative et je ne voulais accepter que des commentaires positifs. Cette compétition pour avoir raison est aussi égoïste.

J'avais également un fort attachement à réussir dans les médias. Étape par étape pendant ma cultivation, les circonstances que le Maître a arrangées m'ont fait prendre conscience que l'égoïsme était vraiment petit. Sans Dafa, je ne serais rien du tout et je ne pourrais rien faire. Une fois, je faisais le deuxième exercice à la maison quand le Maître m'a montré le sens profond derrière :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du Maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Je ne pouvais pas m'arrêter de pleurer parce que je ne connaissais pas ma place auparavant. Le Maître a tout fait et ma réussite n'était vraiment rien. À ce moment-là, j'ai vraiment senti que j'avais eu tort et je n'ai pas arrêté de m'excuser auprès du Maître, lui disant que je savais que j'avais tort. Cette année, quand je suis allée à New York pour assister à la conférence de Fa, l'enseignement du Maître m'a encore éveillée :

« Je voudrais demander au Maître, quand est-ce que les disciples de Dafa de la jeune génération pourront prendre la suite et assumer la responsabilité du travail de Minghui comme nous l'avons fait à l'époque ?

Le Maître : Il semblerait que les jeunes sont tous un peu ambitieux, ils ont du mal à se poser. En tant que disciple de Dafa, quand tu fais quelque chose, fais-le bien et solidement, tu es un pratiquant. » (« Enseignement du Fa au Fahui de New York 2019 »)

Les mots « Il semblerait que les jeunes sont tous un peu ambitieux » ont parlé à mon cœur. Cela parlait clairement de moi et le Maître m'a éveillée au fait que je devais m'élever.

Le Maître a dit :

« Puisque c’est le xiulian, si vous le comprenez vraiment, vous vous arracherez la possibilité d’y entrer, mais personne ne peut voir leur vertu majestueuse, personne ne peut le voir, ils travaillent en silence. » (« Enseignement du Fa à Washington DC 2018 »)

J'ai compris que je devais abandonner mon ego lorsque je participe à un projet médiatique. Quand je me sentais vraiment humble, je trouvais que la rancœur que j'avais depuis très longtemps envers les autres pratiquants était réduite à presque rien et le Maître enlevait les mauvaises substances. En me débarrassant de ces attachements à me valider et à chercher la célébrité, le Maître m'a montré comment voir les choses du point de vue de la rectification du Fa et je n'étais plus tributaire de la cultivation personnelle.

Pendant la cultivation dans la rectification du Fa, chacune de nos pensées détermine si d'innombrables êtres pourront être sauvés. Si nous n'arrivons pas à voir ces attachements du point de vue de la rectification du Fa, nous serons coincés dans le piège tendu par les forces anciennes, tournant en rond et luttant pour notre cultivation personnelle. Nous devons enraciner notre cultivation, nous concentrer sur nos pensées quotidiennes et éliminer le faux soi. Nous devons croire fermement que les attachements ne sont pas nous-mêmes. Quelles que soient les conceptions ou les pensées acquises que les forces anciennes nous imposent, nous ne devrions accepter aucune d'elles. Chaque fois que je m'accrochais à cette pensée et que j'utilisais ma ferme pensée droite pour la nier, le Maître m'aidait à me débarrasser des mauvaises substances et je pouvais sentir l'attachement s'affaiblir progressivement.

Cultiver chaque pensée est enraciné dans l'étude et les exercices du Fa. Depuis le début de l'année dernière, je fais les exercices le matin au bureau avec deux autres pratiquants. Ce processus est une lutte continuelle contre l'attachement au confort et à la paresse. Lentement, j'ai ressenti l'avantage de faire les exercices et d'étudier le Fa en groupe et ce n'est que lorsque je l'ai expérimenté seule que j'en ai connu les merveilles.

Au début de cette année, les médias ont connu une certaine restructuration. Les pratiquants responsables du soutien en arrière-plan ont fait silencieusement beaucoup de choses pour créer un environnement permettant à un plus grand nombre de personnes de participer aux exercices du matin, y compris préparer le petit-déjeuner. Les pratiquants qui y ont participé se sont encouragés les uns les autres et cela a créé un environnement où nous nous sommes comparés et encouragés les uns les autres dans la cultivation. J'ai eu la chance de faire partie de cet environnement accessible d'étude et d'exercices.

Je voudrais remercier les pratiquants qui ont donné généreusement et je remercie le Maître pour ses arrangements miséricordieux et son salut. Dans le temps limité qu'il me reste à cultiver, j'aimerais vraiment cultiver fermement et vigoureusement tout en faisant les trois choses et chérir le temps prolongé que le Maître nous a donné en supportant une douleur indescriptible. L'environnement détendu à l'étranger semble relâché, mais ce n'est pas simple et tout est arrangé dans le but de sauver les êtres.

Je voudrais remercier le Maître pour son salut miséricordieux !

(Présenté à la conférence de Fa 2019 au Canada)

Traduit de l'anglais au Canada