(Minghui.org) Peu après que le gouvernement français a levé l’ordre de confinement pour lutter contre la pandémie de COVID-19 partie de Wuhan, en Chine, les pratiquants de Falun Dafa (également appelé Falun Gong) sont retournés sur le parvis des droits de l'homme, à Paris pour informer les gens à propos du Falun Dafa et de la persécution.

Le 28 juin 2020, ils ont déployé leurs panneaux rendant compte de la pratique et de la persécution en Chine et présenté les exercices au son d’une paisible musique. Interagissant avec promeneurs et touristes, ils les ont informés sur la situation du Falun Gong en Chine, notamment sur le prélèvement forcé d’organes validé par l'État, sur des pratiquants de leur vivant.

Pendant que plusieurs pratiquants présentaient les exercices, d'autres distribuaient des tracts et parlaient avec les passants. De nombreuses personnes ont signé la pétition appelant à mettre fin à la persécution et au prélèvement d'organes.

Lecture des panneaux d'affichage et discussion avec les pratiquants de Falun Dafa sur le parvis des droits de l'homme à Paris, le 28 juin 2020

Signer une pétition demandant la fin de la persécution et des prélèvements forcés d'organes

Les pratiquants parlent avec les touristes.

Des touristes signent la pétition et s’informent sur la persécution en discutant avec les pratiquants.

Lounes et sa sœur cadette Ines sont des étudiantes qui visitaient Paris. Après avoir signé la pétition, Ines a déclaré : « Ces pratiquants en Chine sont des êtres humains. C’est vraiment effrayant qu’on prélève leurs organes. Dans un pays normal, les organes sont donnés volontairement. Comment un gouvernement peut-il prendre les organes d'une personne sans son consentement ? »

Elony Sofene, qui travaille dans un hôpital, son fils et sa fille ont signé la pétition. Elle a déclaré que chacun devrait avoir la liberté de croyance. « Que des riches se rendent en Chine pour acheter des organes humains en permettant que d’autres personnes soient tuées pour cela - c'est un crime contre l'humanité. Nous ne pouvons pas laisser une telle chose continuer. »

Deux touristes de Dallas, Texas, ont manifesté un grand intérêt pour le Falun Gong et ont longuement discuté avec un pratiquant. Ils ont également signé la pétition appelant à la fin de la persécution ajoutant qu'ils allaient continuer à prêter attention à la persécution une fois rentrés chez eux.

Une dame du Maroc, qui rendait visite à un parent à Paris, a rencontré un pratiquant dans le bus et après avoir discuté avec lui a décidé d'apprendre les exercices. Elle l’a suivi sur l’Esplanade et a appris les exercices. Puis elle a signé une pétition et pris des documents de présentation supplémentaires.

Jérémy Agut, un chauffeur de bus, s’est inquiété que l'intelligence artificielle et la « reconnaissance faciale » largement mises en œuvre en Chine ne privent davantage les gens de leur liberté. « Je souhaite que les Chinois bénéficient de davantage de liberté », a-t-il dit. « Je m’oppose au contrôle (par le Parti communiste chinois) des gens en utilisant de tels moyens. Nos gouvernements devraient se ranger du côté des droits de l'homme, au lieu d'être soumis aux intérêts économiques en ignorant la liberté du peuple chinois. Je me tiens aux côtés de tous ceux qui sont persécutés et torturés. »

Fabrice Riou, employé dans un magasin, était attristé par le fait que les Chinois n'aient pas la liberté de croyance et de religion. Il a déclaré : « La richesse c'est bien, mais la liberté est ce que nous voulons. Le Parti communiste est l'entité la plus nuisible au monde. »

Traduit de l'anglais