(Minghui.org) La famille est le fondement de notre société. Elle apporte aux gens soutien, encouragement et amour. Plus important encore, c'est un endroit sur lequel nous pouvons compter et un refuge lorsque nous tombons.

Cependant, en raison de sa nature anti-humaine et anti-tradition, le communisme veut détruire les valeurs de la famille. Engels, un des fondateurs du communisme, a déclaré qu'il éliminerait la propriété privée et la famille.

Le Manifeste du Parti communiste admet ouvertement : « Abolition de la famille ! Même les plus radicaux s'enflamment à cette proposition infâme des communistes. »

Le communisme qualifie également la relation entre parents et enfants dans la structure traditionnelle de parents exploitant leurs enfants. Il prétend mettre fin à cette exploitation pour justifier sa destruction de la famille. « Nous accusez-vous de vouloir arrêter l'exploitation des enfants par leurs parents ? Pour ce crime, nous plaidons coupables. »

Tout au long de l'histoire, le Parti communiste chinois (PCC) a commis d'innombrables crimes en essayant de détruire la structure familiale et les valeurs de la famille. Voici quelques histoires.

Récit d’un missionnaire belge

Raymond J. de Jaegher était un missionnaire belge qui a prêché en Chine de 1930 à 1949. Il a écrit le livre L’Ennemi à l’intérieur : Un témoignage oculaire de la conquête de la Chine par le communisme.

Son livre raconte une histoire à propos de Meng Shulan, une épouse de 25 ans dans un village de la province du Hebei, dans le nord de la Chine. Meng était une femme vive et ambitieuse. Le PCC a vu son potentiel et a voulu faire d'elle un leader féminin fort pour le Parti.

Un employé du PCC l'a donc approchée, la flattant d'être belle et capable. Puis il a semé la zizanie entre elle et son mari, ainsi que sa famille. « Pourquoi gaspilles-tu ta vie et tes talents pour ces gens têtus ? Ils ne se sont jamais souciés de toi. Tu ne devrais pas être comme ces gens vieux jeu du village. Tu n'es pas aussi stupide qu'eux. Tu as du talent ! Tu peux être une femme leader dans la nouvelle Chine ! »

Petit à petit, cet ouvrier du PCC a instillé des « sentiments révolutionnaires communistes » dans le cœur de Meng. Il a critiqué le « mariage féodal » et « l'amour bourgeois » et a promis de faire d'elle une figure importante de la révolution mondiale. Meng a été attirée par cette promesse et a pris ce membre du personnel du PCC comme son amant communiste idéal. Elle a quitté sa famille et a rejoint le PCC. Elle est devenue la présidente de l'Association des femmes de trois cantons.

« Naturellement, elle devait abandonner son premier mari et sa famille. Elle les a dénoncés devant les autorités du PCC et les a vus être punis sous l'accusation de “contre-révolution” – c'est la meilleure excuse pour punir les gens sans aucune accusation solide. »

Dans le récit du père Jaegher, le PCC a publié un dépliant interne sur les « Questions concernant l'amour et le mariage ». Il définissait les priorités des personnes pour choisir leur conjoint : « La jeunesse communiste doit d'abord prêter attention au point de vue politique correct (de l'autre partie), puis à (son) éducation, son caractère, sa santé et son apparence. »

Le PCC a également promu l'égalité de l'homme et de la femme, la liberté de mariage et l'idée que « la révolution l'emporte sur tout ». Cela a conduit à de nombreux divorces en Chine, ce qui était plutôt rare avant cette époque. Une ville côtière de la province du Jiangsu a enregistré à elle seule 931 divorces au cours de la première année du règne du PCC. La condition pour divorcer était très simple : il suffisait de « prouver » que l'autre partie était contre-révolutionnaire ou incapable de suivre l'idéologie révolutionnaire.

La femme d'un haut responsable du PCC a proclamé : « Pour un membre communiste, la vie de couple est secondaire. La vie politique est la plus importante. »

Un révolutionnaire véreux et ses trois épouses

Le professeur Yu Jianrong, de l'Institut du développement rural de l'Académie chinoise des sciences sociales, a écrit un article sur son père.

Son père s'est enfoncé dans le jeu à l'âge de 15 ans. Il a perdu tous ses biens et a dû voler pour survivre. Le chef du village l’a quand même marié à une mendiante, par bonté. Le couple a ensuite eu Yu.

Le père de Yu n'arrêtait pas de voler. Une fois, il a été attaché après avoir été attrapé pour avoir volé dans la maison du chef du village. Après avoir été libéré, il s'est vengé en brûlant la maison du chef du village. Dans ses mémoires, il décrit ce crime comme un acte « héroïque » de « rejet de la répression du propriétaire ».

Le père de Yu a fui le village. Il a rejoint les forces révolutionnaires de la guérilla. Après que le PCC a pris le pouvoir, il est devenu le chef de la police du canton. Il est retourné au village et a exécuté le chef du village.

La mère de Yu s'est rendue en ville pour le chercher, mais elle l'a trouvé assis près d'une belle jeune femme, Gao, pour du « travail d’étude ». Ses gardes ont traîné la mère de Yu dehors. « Tu as dit que tu étais la femme de notre chef. Comment se fait-il que notre chef soit si en colère quand il te voit ? Prétendre faussement être la femme de notre chef est un crime ! » La mère de Yu a eu peur et est partie. Elle a ainsi perdu son mari.

Le père de Yu a épousé Gao et a eu deux enfants. Gao était née dans une famille riche, mais avait abandonné sa famille pour rejoindre le PCC.

Le père de Yu et Gao ont ensuite été arrêtés lors d'une lutte pour le pouvoir au sein du PCC pendant la Révolution culturelle. Le père de Yu a avoué rapidement pour éviter la torture, mais pas Gao. Elle s'est accrochée à son rêve communiste et a cru que le PCC l'innocenterait plus tard. Puis ses bourreaux lui ont montré la lettre de repentance et la lettre de divorce de son mari. Le moral de Gao s'est effondré et elle s'est noyée quelques jours plus tard.

Après la Révolution culturelle, le père de Yu est devenu secrétaire du Parti de la ville (le chef du Parti responsable de la ville). Il a pris une fille de 26 ans plus jeune que lui comme troisième épouse.

Alors qu'il était sur le point de prendre sa retraite, il a demandé au Parti de s'occuper de ses deux enfants issus de son mariage avec Gao. Son fils aîné est devenu vice-maire exécutif et son fils cadet est devenu multimillionnaire.

Mères révolutionnaires

Li Rui était le secrétaire de l'ancien chef suprême du PCC, Mao Tsé-toung. Li était une rare figure connue du PCC qui, d'une manière ou d'une autre, gardait sa conscience et honorait la vérité. Il a même critiqué certains méfaits du PCC et a été puni par le Parti.

La fille de Li, Li Nanyang, a écrit dans son livre sur sa mère Fan : « Tout ce qu'elle disait et faisait tournait autour de la politique. Si vous aviez une opinion différente de la sienne, elle estimait que vous aviez une pensée bourgeoise. Elle essayait de vous ramener dans les rangs du prolétariat. Si vous ne l'écoutiez pas, alors vous étiez en désaccord avec elle et elle vous dénonçait à la branche du Parti de votre unité de travail pour qu'elle vous aide. »

Dans le récit de Nanyang, pendant la campagne politique du Parti dans les années 1940, Fan a rapporté au PCC les « mauvaises choses » que son mari de l'époque, Li Rui, avait dites. Li a été puni. Fan a transmis la punition à leurs enfants à la maison, les grondant, les forçant à se tenir debout et ne leur permettant pas de dormir.

Pendant la Révolution culturelle dans les années 1960, Fan a de nouveau dénoncé Li Rui aux autorités, pour se protéger d'être impliquée.

Yang Mo était un auteur célèbre en Chine qui a écrit le roman rouge Chant de la jeunesse. Son fils a dit qu'elle avait une grave déficience : elle croyait que le travail de la révolution était la priorité numéro un et que ses enfants, qu'elle considérait comme une affaire privée, étaient secondaires voire un fardeau. Son concept de « fardeau » pourrait s'être développé pendant la guerre. Elle et de nombreux soldats communistes se cachaient souvent dans des tunnels souterrains pour échapper aux soldats japonais.

Pour éviter d'être découvertes, les mères « révolutionnaires » couvraient le visage de leurs bébés pour les empêcher de faire du bruit ; cela a entraîné la mort de nombreux bébés. Yang a attribué toutes ces tragédies au PCC et à son idéologie.

La vague de remplacement des épouses

L'empereur Guangwu de la dynastie Han (5 av. J.-C. – 57 apr. J.-C.) a un jour demandé à un haut fonctionnaire Song Hong : « J'ai entendu un dicton selon lequel les gens changent d'amis lorsqu'ils montent en grade et changent de femme lorsqu'ils ont plus d'argent. Est-ce la norme ? »

Song a répondu : « J'ai entendu dire que les amis qui nous ont soutenus dans les moments difficiles ne doivent jamais être oubliés, et que la femme qui nous a accompagnés dans les moments difficiles ne doit jamais être abandonnée. »

Ce point de vue vient de la culture traditionnelle chinoise.

Toutefois, le PCC a orchestré un mouvement de « remplacement des épouses » après sa victoire dans la guerre civile, pour récompenser ses fonctionnaires et ses officiers militaires.

Des centaines de milliers de fonctionnaires du PCC, depuis le gouvernement central jusqu'au niveau des communes, ont remplacé leurs épouses par ordre de rang : les hauts fonctionnaires ont trouvé leurs nouvelles épouses en premier, puis les jeunes fonctionnaires. Il était courant pour les fonctionnaires quinquagénaires d'épouser une jeune fille de vingt ans. Si la mariée s'enfuyait, ils envoyaient leur personnel la chercher partout pour la ramener.

Puis la Cour suprême a émis une ordonnance visant à simplifier la procédure de divorce des fonctionnaires : le divorce ne nécessite pas l'accord de l'épouse, et tout ce que le fonctionnaire doit faire est d'envoyer la lettre de divorce à sa femme.

Conclusion

Le PCC a abandonné les valeurs familiales traditionnelles en remplaçant la relation entre le mari et la femme par une relation entre « camarades révolutionnaires », en remplaçant l'affection familiale par le « lien de classe » et en remplaçant la nature humaine par la nature du Parti.

Comme la ligne du Parti est placée au-dessus de tout, le mari et la femme doivent rapporter au Parti les « mauvaises pensées » de l'autre, et les parents et les enfants doivent se dénoncer mutuellement.

Parallèlement, il autorise et soutient ses fonctionnaires – membres loyaux du PCC – à remplacer leurs conjoints à volonté.

Le but du Parti communiste est de détruire nos valeurs familiales et notre humanité.

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Traduit de l'anglais