(Minghui.org) Depuis que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa en 1999, de nombreux policiers ont participé à cette persécution. Malgré l’environnement répressif, les pratiquants de Dafa n’ont cessé de parler, avec persistance, de la persécution. En conséquence, de plus en plus de policiers et de responsables de haut rang s’éveillent à la vérité. Beaucoup protègent et aident les pratiquants.

Au fil des ans, j’ai clarifié la vérité aux policiers de ma région. Je leur ai dit ce qu’est réellement le Falun Dafa et pourquoi le PCC persécute des pratiquants innocents. La plupart d’entre eux ont dit qu’ils avaient une mauvaise compréhension du Dafa et ont promis de ne plus persécuter les pratiquants. Certains chefs de police qui ont aidé des pratiquants ont reçu des bénédictions pour leurs bonnes actions.

Un chef de police aide à libérer des pratiquants arrêtés

Les pratiquants ont déployé beaucoup d’efforts pour expliquer les faits auprès des responsables des systèmes politiques et juridiques. Un pratiquant a envoyé une lettre de clarification de la vérité au chef Li, le chef du Département de police du district. La lettre détaillait trois crimes majeurs commis par Jiang Zemin, l’ancien dirigeant du PCC. Par exemple, Jiang a signé un traité perfide pour vendre une parcelle de terre nationale à la Russie. Jiang et sa famille ont aussi pris l’initiative de promouvoir la corruption et la prostitution, ce qui a contribué au déclin de la moralité. Le régime de Jiang a ensuite lancé la persécution du Falun Dafa par jalousie, entraînant la mort de milliers de pratiquants.

Le chef Li a été ému par la lettre. Il est venu chez moi et m’a dit : « J’ai été vraiment surpris par ce que vous avez révélé dans cette lettre. Je n’aurais jamais pensé que les faits tourneraient ainsi. » À partir de ce moment-là, il n’a plus participé à la persécution.

Une pratiquante d’un district voisin a déménagé dans ma région il y a quelques années pour éviter le harcèlement répété et une éventuelle arrestation. En 2017, la police de sa ville natale l’a localisée et a mis à sac son domicile avant de la ramener dans son district. Alors que cette pratiquante était placée en détention, elle m’a envoyé un texto. J’ai approché le chef Li, en espérant qu’il aiderait à la faire libérer. Il a accepté sans hésiter.

Le chef Li a demandé à un de ses policiers de se rendre dans la ville natale de la pratiquante et de la ramener dans notre district. Le policier s’est rendu au Département de la police et il a dit : « Cette pratiquante vit maintenant dans notre district, nous devons donc nous occuper de son cas. Veuillez nous la remettre. Le chef Li l’a ordonné. » Par hasard, le chef Li avait été le chef adjoint du Département de police de ce district, donc tous les policiers le connaissaient. Ils ont accepté de remettre la pratiquante sous la garde des policiers de mon district.

Un nouveau chef de la Division de la sécurité intérieure voulait obtenir une promotion en persécutant les pratiquants. Il a élaboré un plan pour arrêter certains pratiquants, mais cet effort a été arrêté par le chef Li.

Les directeurs de police aident les pratiquants.

Le chef Ye était le chef de la Division de la sécurité intérieure de mon district. Après être entré en fonction, il a activement persécuté les pratiquants. Peu de temps après, il a eu une étrange maladie. Il avait des douleurs dans les mains et les pieds et avait l’étrange sentiment que ses symptômes étaient liés à ses actions. Après l’échec de toutes sortes de traitements médicaux, il est venu à ma clinique. Je lui ai dit que ses symptômes étaient une punition pour avoir persécuté les pratiquants, et que ce n’est qu’en cessant de persécuter Dafa qu’il pourrait guérir. Il m’a écouté et a cessé de participer à la persécution. Ye s’est rapidement rétabli. Il a ensuite postulé pour un poste dans un autre département qui n’était pas impliqué dans la persécution.

Le directeur Hao du Département de police de la ville souffrait d’infertilité masculine, pour laquelle il n’avait pas pu trouver de remède. Il a cherché à se faire soigner dans de nombreux grands hôpitaux, sa famille était très inquiète. Après avoir appris la guérison du chef Ye, il m’a contacté pour savoir si je pouvais l’aider. Je lui ai dit : « Votre maladie est une punition pour votre participation à la persécution du Falun Dafa. Seuls notre Maître et Dafa peuvent vous sauver, mais vous devez démissionner du PCC et cesser de persécuter Dafa. Sinon, il n’y a rien que je puisse faire. »

Le directeur Hao a dit : « Vous devez encore croire en la science. » J’ai répondu : « L’hôpital a-t-il guéri votre maladie ? Qiao Shi, l’ancien président du Congrès national du peuple, a fait une fois une enquête nationale sur le Falun Dafa. Il a constaté que de nombreuses maladies que les hôpitaux ne pouvaient pas traiter ont été guéries après que les gens ont commencé à pratiquer Dafa. Et, récemment, de nombreuses personnes sont devenues indemnes de maladie après avoir répété sincèrement la phrase : “Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.” Puisque vous avez participé à la persécution, vous devez, en plus de réciter ces phrases de bon augure, démissionner du Parti et ne plus persécuter les pratiquants. » Il y a réfléchi un moment et a accepté.

Après avoir cessé de participer à la persécution, sa femme est tombée enceinte en deux mois et a donné naissance à un garçon en bonne santé. Le directeur Hao a donc pu concevoir un enfant plus tard dans sa vie et il m’en a été très reconnaissant. Je lui ai dit : « Remerciez plutôt Maître Li et Dafa. À l’avenir, vous devriez faire plus de bonnes actions pour Dafa. »

Le directeur Hao a plus tard amené à ma clinique un grand nombre de ses collègues, amis et camarades de classe dans le système politique et juridique en dehors de la ville. La plupart d’entre eux étaient prêts à démissionner du Parti après avoir appris la vérité. Une fois, il a fait venir trois directeurs de département de police des provinces voisines, et ils ont tous démissionné du Parti.

Le directeur Hao a aussi pris le risque de libérer des pratiquants à de nombreuses reprises. À une occasion, six pratiquants ont été arrêtés alors qu’ils étudiaient le Fa ensemble. Ce jour-là, un ami du directeur Hao est venu par hasard dans ma clinique. Je lui ai demandé de raconter l’incident au directeur Hao. Cette nuit-là, Hao m’a appelé et m’a demandé : « Mon ami m’a dit qu’il vous a rendu visite aujourd’hui. Combien de jours de médicaments lui avez-vous donnés ? » Je savais qu’il demandait combien de compagnons de cultivation avaient été arrêtés, car mon téléphone était surveillé. J’ai répondu : « Six ». Il s’est exclamé : « Très bien, cela peut guérir ! » Peu de temps après, les six pratiquants ont été libérés.

Un cas de châtiment karmique

Il y a dix ans, le chef de police de ma ville natale a détenu une pratiquante dans un hôpital psychiatrique pour l’inciter à renoncer à sa croyance. Il a aussi tenté de faire fermer ma clinique en annulant injustement l’enregistrement de mon ménage.

J’ai demandé justice au directeur Hao qui a ensuite démis le chef de service de ses fonctions. Quelques jours plus tard, ce policier a causé un décès dans un accident de voiture alors qu’il conduisait en état d’ivresse et il a été condamné à cinq ans de prison. La révocation et le châtiment de ce policier se sont rapidement répandus dans tout le système de sécurité publique du district. Beaucoup de gens ont dit que c’était probablement le résultat d’une rétribution karmique pour sa persécution des pratiquants.

Il y a sept ans, une pratiquante a été arrêtée après avoir posé des autocollants de clarification de la vérité dans un district voisin. Après avoir appris cela, j’ai demandé au chef Ye de l’aider à la secourir. C’était proche d’un jour férié en octobre et les procédures de libération ne pouvaient pas être traitées. Je lui ai donc demandé de faire de son mieux pour la secourir, car la pratiquante risquait de mourir sous la torture. Il a accepté, et la pratiquante a été libérée le 30 septembre.

Un an plus tard, avant le 19e Congrès du PCC, le Bureau 610 de mon district a exhorté le district voisin à envoyer cette pratiquante en prison. Quand la pratiquante a été inculpée, j’ai demandé l’aide du directeur Hao. Il était hésitant, car demander à un autre district de libérer une pratiquante n’était pas une chose facile à faire. Je l’ai encouragé : « N’oubliez pas comment vous avez retrouvé la santé. Le Maître et Dafa nous ont donné tant de bénédictions. »

Il a accepté d’aider, mais il ne savait pas comment procéder. Je lui ai alors donné une brochure que j’avais téléchargée sur le site Web de Minghui, concernant les lois qui détaillent en quoi la persécution est illégale.

Quelques jours plus tard, le directeur Hao s’est rendu dans ce district pour évaluer leur travail. Lors de la réunion, le chef du tribunal lui a posé des questions sur le cas de cette pratiquante. Hao a répondu : « Ce cas semble avoir le problème des aveux extorqués par la torture. Selon les règlements publiés par la Commission centrale des affaires politiques et juridiques, les aveux obtenus par la torture ne peuvent être utilisés. De plus, le Département de la presse et des publications a levé l’interdiction des publications sur le Falun Dafa. Dafa ne figure pas non plus dans la liste des quatorze sectes identifiées par le Bureau central et le ministère de la Sécurité publique. Je suggère que nous traitions cette affaire avec prudence. »

Après la réunion, le tribunal a renvoyé l’affaire au parquet, qui l’a renvoyée au Département de la police. L’affaire a ensuite été classée.

Quelques jours plus tard, un fonctionnaire du Bureau 610 du district s’est présenté chez moi, furieux, en disant : « Inutile de vous dire que nous savons que cette chose est votre œuvre. Nous ne vous avons pas causé d’ennuis, mais pourquoi vous préoccupez-vous des affaires des autres pratiquants ? »

J’ai répondu calmement : « Nous sommes un seul corps. Vous me persécutez aussi en persécutant d’autres pratiquants. Je continuerai à aider les pratiquants lorsqu’ils sont en difficulté. »

Le directeur Hao a été béni grâce à l’aide qu’il a apportée aux pratiquants. Le système de sécurité publique et de droit de notre ville a subi plusieurs restructurations. De nombreux directeurs, directeurs adjoints, secrétaires et secrétaires adjoints sont tombés. Hao est non seulement resté à son poste, mais il a récemment été promu. Son fils est bien élevé, en bonne santé et intelligent.

Alors que les pratiquants de Falun Dafa continuent de clarifier la vérité, le monde reconnaît de plus en plus la beauté de Dafa, ainsi que la nature perverse du PCC. Au fur et à mesure que de plus en plus de fonctionnaires ont une compréhension correcte du Falun Dafa, la persécution deviendra insoutenable et finira par se désintégrer.

Traduit de l’anglais