(Minghui.org) Plus de 10 étudiants de l’université de Rochester, dans le Michigan, se sont récemment réunis dans un parc de Troy, le matin du 2 avril, pour apprendre quelque chose de nouveau. Plusieurs semaines auparavant, ils avaient entendu parler du Falun Dafa dans le cadre d’un cours sur les religions du monde et souhaitaient en savoir plus.

« Les exercices de méditation sont vraiment bons », a dit un étudiant. « Ils ont soulagé le stress et élevé mon esprit. »

Malgré ses énormes bienfaits, le Parti communiste chinois (PCC) persécute cette pratique depuis 1999. Lorsque les étudiants ont été informés de ces violations des droits de l’homme, l’un d’entre eux a dit : « Je veux absolument savoir ce qui se passe en Chine. »

Le 2 avril 2022, des étudiants de l’université de Rochester assistent à une présentation du Falun Dafa dans un parc local.

Les étudiants apprennent les mouvements des exercices.

Séance de questions et réponses

« Mon expérience la plus mémorable »

Le professeur Keith Huey enseigne les religions du monde depuis près de vingt ans, et il organise des séjours d’études à l’étranger dans différentes parties du monde. Lors d’un voyage en Europe, lui et ses étudiants ont vu des pratiquants de Falun Dafa dans de nombreuses villes, notamment à Vienne, Prague et Berlin.

« Nous sommes restés à Vienne et j’ai demandé aux étudiants de visiter et d’explorer les lieux proches de la zone. Certains ont vu des pratiquants de Falun Dafa en train de méditer à Prague et les ont rejoints. C’était fascinant », se souvient-il.

Une autre fois, lui et sa famille sont partis en vacances en Europe. « À la porte de Brandebourg à Berlin, nous avons vu des centaines de pratiquants qui organisaient un défilé. Ils étaient venus de différents pays d’Europe dans un seul but : sensibiliser le public à la persécution des pratiquants de Falun Dafa en Chine », a-t-il expliqué. « Cela a été mon expérience la plus mémorable. »

Une partie du programme d’études

Depuis lors, le professeur Huey a inclus le Falun Dafa dans les sujets qu’il enseigne. En 2006, il a commencé à inviter des pratiquants locaux dans sa salle de classe pour partager des informations avec ses étudiants sur ce qu’est le Falun Gong, sur la répression en Chine et les efforts des pratiquants pour s’opposer à la persécution.

Un pratiquant (à gauche, debout) parle du Falun Dafa à des étudiants le 22 février 2022.

Des pratiquants présentent le cinquième exercice, la méditation.

Le professeur Huey et ses étudiants ont appris les exercices le 22 février 2022.

« J’ai fait des recherches à ce sujet. Les pratiquants de Falun Dafa partagent leur expérience personnelle de leur pratique et fournissent des informations qui ne peuvent être obtenues ailleurs », a dit le professeur Huey. Il a été surpris d’apprendre que les pratiquants locaux ont participé à diverses activités dans la communauté depuis plus de vingt ans, et que des événements similaires se produisent dans d’autres régions du monde. « J’aime cette idée, car elle permet de relier des personnes du monde entier et de partager quelque chose d’important », a-t-il ajouté.

Une énergie pure

Monica Luklmski, originaire de Pologne, a déclaré avoir trouvé la pratique incroyable. « Les mouvements doux sont relaxants. C’est ce que j’ai ressenti en regardant la démo – je pense que beaucoup d’autres étudiants ont la même impression », a-t-elle poursuivi. « Lorsque j’ai essayé moi-même, je me suis sentie très à l’aise et pleine d’énergie. C’est quelque chose que j’attendais depuis longtemps. »

Monica Luklmski a dit qu’elle trouvait que le Falun Dafa était incroyable.

Henry Horton III a dit qu’il aimait aussi cette pratique. « Cela demande un certain effort pour faire les exercices. Mais je pouvais ressentir une énergie forte et pure. »

Il a estimé que c’est une honte qu’une pratique aussi merveilleuse soit persécutée en Chine. « Le communisme est horrible. Le travail forcé et le lavage de cerveau ne devraient exister nulle part dans le monde. J’espère que cela va changer, car les gens là-bas (en Chine) ont aussi besoin de connaître la vérité. J’ai vraiment de la peine pour les pratiquants, car ils ont tellement souffert pour leur croyance. Je pense que davantage de personnes doivent savoir ce qui se passe », a-t-il dit.

Le professeur Huey est d’accord : « Les faits sont étonnants et ils ne disparaîtront pas facilement. »

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Traduit de l’anglais