(Minghui.org) Bonjour, Maître ! Bonjour, chers compagnons de cultivation !

Avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa à Changchun, en Chine, en juillet 1994, j’étais un passionné de qi gong. Je cherchais une méthode de cultivation qui me montrerait comment élever mon xinxing. Après avoir lu le livre Falun Gong, écrit par le Maître, j’ai été profondément attiré par les principes dont il parlait et j’ai senti que c’était ce que je cherchais depuis toujours. J’ai commencé à pratiquer. J’ai lu et mémorisé le Fa. J’ai également suivi les conseils du livre et j’ai pris le renom et le gain personnel avec légèreté et avec indifférence. Parmi les intellectuels, les promotions et les augmentations de salaire sont très recherchées. J’ai laissé ces occasions aux autres. Comme mes collègues savaient que je pratiquais le Falun Dafa, ils voulaient collaborer avec moi.

En juillet 1999 (lorsque la persécution a commencé), je pratiquais depuis cinq ans. Ma détermination à pratiquer était inébranlable. Nous avons participé à une manifestation pacifique auprès du gouvernement provincial du 20 au 23 juillet 1999. Le 26 juillet, toute notre famille s’est rendue à Pékin, prévoyant de participer à un appel en faveur de Dafa. Comme je connaissais les différents mouvements politiques du PCC, je savais ce qui pouvait arriver. Mon épouse a dit à nos enfants qu’ils devaient continuer à pratiquer quoi qu’il arrive. J’ai écrit le poème suivant :

20 juillet

Le mal révèle sa férocité

Les disciples se rendent à la capitale

Sachant qu’il pourrait s’agir d’un voyage sans retour

Cette vie est née pour le Fa

J’ai réalisé plus tard que le Maître nous avait déjà poussés à nos positions les plus élevées. Mon épouse et moi sommes allés à Pékin pour la troisième fois pour faire appel. La veille, nous avons fini d’afficher les documents de clarification de la vérité que nous avions apportés. Après avoir remis un lecteur MP3 chargé d’enregistrements de clarification de la vérité à un homme au grand cœur à Pékin, nous nous sommes bien habillés et nous nous sommes rendus sur la place Tiananmen. Arrivés sur place, nous avons remarqué un groupe de policiers en civil. Nous avons demandé à un policier armé ce qui se passait. Il nous a répondu qu’ils étaient là pour arrêter les pratiquants de Falun Dafa. Lorsque nous lui avons demandé pourquoi, il a répondu : « Ils veulent s’emparer du pouvoir. » Nous avons demandé : « Ont-ils des armes ? Ont-ils des avions et des canons ? » Il a répondu : « Non. » Nous lui avons alors demandé comment ils pouvaient prendre le pouvoir. Il a répondu : « C’est ce que les chefs ont dit. »

Ma femme lui a parlé et a appris qu’il avait également arrêté des pratiquants. Nous avons continué à lui expliquer la vérité et lui avons conseillé de faire preuve de compassion. Finalement, il a promis de ne plus arrêter les pratiquants. Ce jeune homme innocent et naïf avait été trompé par le Parti communiste chinois (PCC) qui le poussait à commettre des crimes.

Après le 20 juillet 1999, nous sommes allés au nouveau village de Laoshan pour distribuer des documents d’information sur le Falun Dafa et nous avons vu une banderole calomniant Dafa. La banderole était accrochée horizontalement à un mur le long de la route. De nombreux véhicules et piétons pouvaient la voir en passant devant. Nous ne pouvions pas la laisser continuer à empoisonner les gens. Nous avons émis la pensée droite et demandé de l’aide au Maître. La pluie n’a pas tardé à tomber. Nous avons détaché la banderole. Merci, Maître ! J’ai écrit le poème suivant :

Rectifier Laoshan

Dans le nouveau village, une banderole diabolique était accrochée

Avec des mots si venimeux, chantés de façon abjecte

Les disciples émettent la pensée droite

Les diables ont été éradiqués

Dans la nuit claire, une pluie soudaine s’est déversée

La protection du Maître, j’en suis certain

Ensemble, les disciples se sont avancés

Et, avec des ciseaux, ont mis la banderole diabolique en lambeaux

Les témoins, debout, consternés et silencieux

Éliminée, l’emprise du mal a cédé

La droiture est là, intacte

Au village de Laoshan, la vérité de Dafa est nourrie

Nous nous sommes rendus à plusieurs reprises dans des universités pour distribuer des documents de clarification de la vérité. Il s’agissait principalement des Neuf commentaires sur le Parti communiste et de brochures. Lorsque nous sommes rentrés par le même chemin, nous avons remarqué que les gens les lisaient.

Nous saisissons toutes les occasions de clarifier la vérité. Même si nous devions sans cesse nous déplacer, nous avons parlé de la persécution à tous ceux que nous pouvions. Les habitants ont réagi positivement, et certains ont déclaré qu’ils n’autoriseraient pas leurs enfants à rejoindre les organisations pour la jeunesse du Parti communiste.

En octobre 2009, un groupe de personnes, dont des agents de police et des fonctionnaires du bureau administratif du quartier, sont venus chez nous deux fois le matin et le soir. Nous savions que sous la protection du Maître, nous pourrions surmonter ce défi. Avec l’aide de nos compagnons de cultivation, nous avons réussi à partir.

Lorsque j’ai regardé à l’intérieur, j’ai vu mon attachement à l’enthousiasme, à l’action et ma mentalité de rechercher le confort.

Lorsque nous sommes retournés à Changchun, j’ai réalisé que le Maître nous avait permis de revenir pour que nous puissions sauver les gens là-bas. Nous avons rendu visite à d’anciens camarades de classe, amis et professeurs. Nous leur avons expliqué la vérité et les avons aidés à démissionner du PCC. Un de mes camarades de classe de l’époque du lycée occupait une position élevée dans sa ville. Il croyait au marxisme. J’ai commencé par lui expliquer que Marx était un sataniste et que son athéisme trompait les gens. Puis j’ai continué en lui parlant de la persécution par le PCC des personnes qui croient en Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il a fallu tout un après-midi pour réveiller sa conscience et ses bonnes pensées. Finalement, je l’ai aidé, ainsi que son épouse, à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

San Francisco

Nous sommes arrivés à San Francisco en juin 2012, et nous étions là lorsque des individus ont attaqué des pratiquants de Falun Dafa dans le quartier chinois. Le lendemain, nous sommes allés à Portsmouth Square (ndt : le quartier chinois de San Francisco) pour clarifier la vérité. Nous avons distribué des documents de clarification de la vérité, mais les gens ont refusé de les prendre. Un vieil immigrant chinois armé d’une canne a essayé de me chasser. Chaque jour, les gens nous insultaient.

Je me suis souvenu de l’enseignement du Maître sur l’incident de Flushing :

« Réfléchissez calmement, élargissez votre esprit. Si vous pouvez vraiment considérer chacun comme un être à sauver et que vous essayez de le sauver, voyez si les choses changent. Ce n’est certainement pas une coïncidence si la perversité est apparue à Flushing et a manipulé les gens pour leur faire faire de mauvaises choses. C’est sans doute arrivé pour viser les failles des élèves. N’allez pas aveuglément vous battre contre leur côté humain. Votre but n’est pas de les vaincre, mais de les sauver. Faites les choses avec compassion et l’esprit calme, et voyez ensuite comment vont les choses. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 », Enseignement du Fa dans les conférences IX)

Je considérais chaque personne que je rencontrais comme une vie à sauver. Qu’ils acceptent des brochures, qu’ils écoutent la vérité ou qu’ils choisissent de démissionner du Parti, je les saluais. J’ai interagi avec chaque personne calmement et de manière pacifique. Au fil du temps, l’atmosphère hostile a commencé à s’apaiser. Un jour, le vieil immigrant chinois qui avait essayé de me chasser à coups de canne est venu devant nos panneaux d’affichage. Il a levé le pouce en direction de mon épouse et de moi-même, puis s’est excusé.

De nombreux immigrés chinois âgés se rassemblaient souvent à Portsmouth Square. Une fois, alors qu’un grand panneau d’affichage double face de clarification de la vérité y avait été installé, ainsi qu’une banderole sur laquelle on pouvait lire « Falun Dafa est bon », toute la place a immédiatement été remplie d’une énergie vertueuse, éliminant la perversité. Le passage devant les panneaux d’affichage était toujours bondé, car les gens passaient par là tous les jours.

Un jour, quatre hommes arrivés de Chine ont voulu prendre des photos sur place. Comme le vent était fort ce jour-là, deux d’entre eux ont tenu la banderole pendant que les deux autres prenaient des photos. Finalement, tous les quatre ont choisi de démissionner du Parti. Un vieil immigrant chinois passait souvent par Portsmouth Square. Je l’ai aidé, lui et sa famille de cinq personnes, à démissionner du Parti.

Une femme qui avait compris la vérité a d’elle-même démissionné du Parti. Elle a ensuite amené son mari et sa fille pour démissionner également. Ils avaient prévu leurs noms d’emprunt à l’avance. Une autre femme d’âge mûr, après avoir fait ses courses, est passée par là et nous a parlé. Elle a dit : « Je veux démissionner du Parti ! » Elle a également aidé son mari à démissionner du Parti et, à la fin, elle nous a aidés à ranger le panneau d’affichage. Il y a eu de nombreux exemples de ce genre.

Un vieil immigré chinois venait souvent regarder le panneau d’affichage pour discuter de divers sujets avec moi. Un jour, il a surpris quelqu’un qui avait sali notre panneau et m’a amené cette personne pour que je règle le problème. Il était prêt à témoigner auprès de la police et a même dit à l’homme de nettoyer le panneau.

Un autre immigrant chinois âgé s’asseyait souvent seul sur une chaise, l’air absent. Lorsque je lui ai tendu des documents lui expliquant la vérité, il a dit : « Je ne veux rien lire. J’attends juste de mourir ! » Je lui ai dit de ne pas être si pessimiste et qu’une personne avait plus d’une vie. J’ai également donné des exemples de réincarnation et d’autres sujets. Il a fini par prendre les documents de clarification de la vérité. Il est souvent venu me voir pour discuter de divers sujets.

Clarifier la vérité devant l’hôtel de ville

Après la Conférence de Loi de l’ouest des États-Unis de 2013, mon épouse et moi avons commencé à clarifier la vérité devant l’hôtel de ville. Je voulais clarifier la vérité à un homme, mais avant que je puisse le faire, il m’a dit : « Si vous dites quoi que ce soit, j’appelle la police. » J’ai pensé : « Je n’ai encore rien dit et il menace d’appeler la police ? »

Je lui ai dit : « Nous sommes aux États-Unis et ici j’ai la liberté de m’exprimer. Vous pouvez choisir d’écouter ou non. » Après coup, j’ai réfléchi et j’ai réalisé que cette personne m’avait touchée. Je n’avais pas pris en compte son point de vue. C’était un guide touristique. Mes actes auraient pu nuire à son travail. La fois suivante où je me suis rendu au site touristique du gouvernement de la ville, mon interaction avec le guide touristique s’est déroulée plus calmement et je l’ai aidé à démissionner du PCC. Lorsque je l’ai revu, il m’a salué.

Un jour, alors qu’une famille de quatre personnes prenait des photos sur le site touristique je suis allé les aider. Un peu après, ils ont eu un besoin urgent d’aller aux toilettes, mais les bâtiments voisins étaient tous fermés. Je les ai guidés vers un hôtel à proximité et ils m’en ont été très reconnaissants. Après avoir écouté attentivement mes explications sur la vérité, ils ont tous démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Une fois, j’ai expliqué la vérité à un touriste, qui m’a demandé, d’un air sévère : « Pourquoi haïssez-vous autant le Parti communiste ? » Cette fois, je n’ai pas été affecté par ses mots. Je lui ai expliqué calmement qu’en tant que pratiquants, nous n’avons pas d’ennemis et que notre but est de sauver les gens. Il a compris et a dit : « Je suis membre du Parti communiste, je veux en démissionner. » Un autre touriste, qui avait entendu notre conversation, a également choisi de se retirer du Parti. Le pouvoir de Dafa m’a fait changer d’état d’esprit et j’ai cessé de penser qu’il était difficile de sauver des gens comme lui.

Une autre fois, il y avait plus de dix touristes sur le point de retourner à leur bus. Ma femme clarifiait la vérité à haute et intelligible voix alors qu’ils se dirigeaient vers le bus. Personne n’a rien dit, à l’exception d’une femme qui a crié qu’elle aimait le Parti communiste. Ma femme l’a suivie et lui a expliqué la vérité. Elle a décidé de démissionner du Parti.

Dans le passé, j’aurais pu penser que les gens comme elle étaient des partisans acharnés du Parti. Cet incident m’a incité à changer de point de vue : nous ne devrions pas juger les gens en fonction de leur comportement. Si nous les approchons avec compassion, nous avons plus de chances de les sauver.

Participation à la promotion de Shen Yun

Depuis mon arrivée à San Francisco en 2012, je participe de façon active à la promotion de Shen Yun chaque année. J’ai participé à diverses activités, notamment en accrochant des dépliants aux poignées de porte, en collant des affiches, en émettant la pensée droite dans les centres commerciaux, en distribuant des dépliants de Shen Yun devant les salles de spectacle, en distribuant des dépliants à Fisherman’s Wharf (ndt : l’une des zones les plus touristiques de San Francisco), en distribuant des dépliants dans les quartiers aisés, et même en assurant la sécurité. Je fais tout ce que je peux pour apporter ma contribution.

Accroche-portes

Il y a quelques années, j’ai souffert de douleurs aux jambes pendant plus d’un an. Je n’arrivais pas à suivre les autres lorsque nous accrochions des dépliants sur les portes. Je me sentais vraiment gêné. L’année suivante, lorsque le moment est venu d’accrocher à nouveau des accroche-portes, j’ai réalisé que même si je n’avais pas considéré ces douleurs aux jambes comme une maladie auparavant, j’y avais pensé comme une conséquence du vieillissement ou d’une marche excessive d’un point de vue médical. C’étaient toutes des notions humaines. La fois suivante où j’ai distribué des dépliants et où j’ai monté et descendu les escaliers quatre à quatre, j’ai complètement oublié la douleur aux jambes.

L’année suivante, j’ai de nouveau été chargé de distribuer des dépliants. Nous devions passer prendre une personne chez un autre pratiquant. Comme j’avais besoin d’aller aux toilettes, je me suis rendu dans un fast-food à côté de là. Après être sorti du restaurant, une pratiquante que je n’avais jamais vue auparavant m’a disputé bruyamment : « Vous avez déjà posé des accroche-portes ? » Je me suis excusé et j’ai dit : « Veuillez tous m’excuser. Je vous ai fait perdre du temps. »

De retour chez moi, j’ai étudié les enseignements du Maître. J’ai réalisé que ce qui m’affectait, c’était mon attachement à « sauver la face ». C’est l’attachement dont je devais me défaire pour m’élever.

J’ai repris la tâche d’accrocher des dépliants aux portes. Les occasions de ce genre sont rares. Mon épouse et moi avons pris le bus, puis nous avons utilisé un chariot à roulettes pour distribuer les accroche-portes individuellement. Certaines rues sont escarpées ; après avoir grimpé, nous devons monter plusieurs volées de marches pour atteindre l’étage supérieur. Nous sommes essoufflés et en sueur. Ma femme a souvent du mal à marcher, même sur les rues à faible pente.

Distribuer des dépliants de Shen Yun à l’Opéra

Shen Yun se produit fréquemment à l’Opéra de San Francisco. J’imagine que les personnes qui assistent régulièrement à ces représentations sont des personnes ordinaires intéressées par les arts. Elles devraient être assez réceptives à l’idée de voir Shen Yun.

Ma femme et moi sommes allés une fois à l’Opéra pour distribuer des dépliants de Shen Yun. Au début, la pluie n’était pas forte, mais les dépliants ont été un peu mouillés à cause de la pluie. Comme nous ne pouvions pas entrer dans la salle de spectacle pour les distribuer et que nous devions rester à une certaine distance de l’entrée, je me suis demandé si cela en valait la peine. Un autre jour, il pleuvait encore plus fort. Je me suis dit que même les spectateurs seraient mouillés à cause de la pluie avant d’entrer dans la salle. Comme nous habitions loin de l’opéra, je me suis demandé si nous devions quand même y aller.

Mais quand j’ai pensé à l’urgence de sauver des gens, j’ai réalisé que nous devions y aller. Mon épouse a dit : « Si les gens vont au spectacle, alors nous devons aller distribuer ». Nous sommes donc partis tôt et avons émis la pensée droite tout au long du chemin. Malgré la pluie battante, le public a accepté les dépliants. Alors que la représentation était sur le point de commencer, les personnes arrivant en retard étaient tout de même heureuses de prendre les dépliants.

Parfois, quelques jours avant le début de Shen Yun, il peut y avoir des billets invendus. Mes compagnons de cultivation et moi-même nous rendons dans les quartiers chics pour distribuer des dépliants. Nous nous rendons également à Fisherman’s Wharf, où se rendent de nombreux touristes de l’extérieur de la ville, pour distribuer des dépliants de Shen Yun. Les gens là-bas montrent souvent beaucoup d’intérêt pour Shen Yun. Voir des gens debout sous la pluie, mais qui nous écoutent parler de Shen Yun, me touche profondément. C’est le Maître qui guide les êtres à aller là-bas, c’est pourquoi je persiste à distribuer des dépliants de Shen Yun jusqu’à la toute dernière représentation.

Je comprends que tant que nous suivrons les exigences du Maître, nous aurons l’occasion de sauver des êtres grâce aux représentations de Shen Yun.

Participer au projet de promotion de Gan Jing World

À l’occasion du dernier Nouvel An chinois, le Maître a publié le nouvel enseignement « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ». J’ai réalisé qu’il y a encore tant d’êtres dans le monde qui n’ont pas été sauvés. Le Maître nous a conduits personnellement à créer Gan Jing World, ce qui montre que Gan Jing World est extrêmement important pour sauver les gens.

Les jeunes, en particulier les étudiants, sont très influencés par les nouvelles tendances et la pensée moderne. C’est pourquoi nous nous rendons sur les campus pour leur distribuer des marque-pages Gan Jing World. La plupart d’entre eux sont heureux de les prendre. Avant les vacances et les cérémonies de remise des diplômes, les gens se rassemblent en masse. Ils font la queue pour entrer dans la salle, qui est souvent un grand auditorium. Nous pouvons juste distribuer des marque-pages à ce moment-là, car le temps de parole est limité. Cependant, lorsqu’ils sont à l’extérieur de la salle et discutent avec leurs familles, nous pouvons distribuer des marque-pages et présenter Gan Jing World.

Une fois, il y avait plus de trente mille personnes qui assistaient à une cérémonie de remise de diplômes à Oracle Park. Pour être sûrs de tomber au bon moment, nous nous sommes renseignés à l’avance sur les rues proches des trois entrées du lieu de la cérémonie et sur la manière de s’y rendre. Mon épouse et moi, nous nous sommes même rendus sur place un jour à l’avance. Nous sommes donc arrivés tôt le lendemain. Nous avons commencé à distribuer des marque-pages alors que la foule n’était pas trop importante. Tout s’est déroulé sans problème. Nous avions moins de 700 marque-pages et nous les avons rapidement distribués. Mon épouse a félicité les lauréats et j’ai principalement distribué des marque-pages aux parents des étudiants.

Dans notre vie quotidienne, nous avons souvent des marque-pages sur nous et nous les distribuons chaque fois que c’est possible. Nous prenons également le temps de regarder les vidéos que nos compagnons de cultivation partagent sur Gan Jing World. Nous comprenons qu’il s’agit d’un effort collectif et que nous devons bien jouer notre rôle.

En repensant à ces vingt-neuf dernières années de cultivation, je me rends compte que j’en suis arrivé là grâce à Dafa et aux conseils et à l’attention du Maître. Je chéris profondément ce voyage et je m’engage à parcourir le chemin à venir avec dévouement.

(Présenté lors de la Conférence de partage d’expériences de cultivation de Falun Dafa à San Francisco 2023)

Traduit de l’anglais