(Minghui.org) Au cours du printemps 1996, lors de sa visite, une parente m’a raconté comment la pratique du Falun Dafa avait guéri toutes ses maladies. J’étais à la recherche d’une cultivation spirituelle depuis mon enfance, et j’étais donc enthousiaste à l’idée d’entendre son histoire. Je lui ai dit que je voulais pratiquer.

À l’époque, tout ce que je savais du Falun Dafa concernait la santé et la forme physique. Dans notre région, il n’y avait pas de livres de Dafa. Plus tard, après avoir lu le Zhuan Falun (le livre principal du Falun Dafa), j’ai mieux compris et réalisé ce qu’est vraiment la cultivation et pratique.

Attendre le Fa toute ma vie

Ma mère est tombée malade trois jours après ma naissance et sa maladie a duré plusieurs mois. Elle n’a reçu aucun médicament. Au lieu de cela, on lui a demandé de se prosterner devant des esprits animaux que ma grand-mère vénérait. Comme ma mère était très malade, elle a demandé de l’aide au fils de ma grand-tante, qui est médecin. Il a dit qu’il ne pouvait pas la guérir et a dit à mon père de préparer ses obsèques.

Ma mère n’était pas triste de cette nouvelle, elle voulait être libérée de ses souffrances. Elle a demandé à mon père de me mettre dans le cercueil avec elle. Elle pensait que je ne survivrais pas sans elle. Heureusement, ma mère a survécu, mais elle a continué à lutter contre de nombreuses maladies.

Depuis ma naissance, ma grand-mère n’était pas gentille avec moi. Je n’avais pas de lait à cause de la maladie de ma mère et ma grand-mère ne permettait pas aux autres de me nourrir. La plupart du temps, j’avais faim et je suis devenue extrêmement maigre. Le premier mois, je n’ai pas pris de poids. Une fois, ma mère a essayé de me préparer de la pâte de nouilles. Ma grand-mère était furieuse et a dit : « Tu es malade depuis qu’elle est née. Laisse-la mourir. Ne gaspille pas les nouilles ! » Ma mère savait que je n’avais rien à voir avec sa maladie.

Ma grand-mère voulait aussi me donner parce qu’elle me trouvait peu attirante. Ma mère m’a défendue en disant que c’était parce que je n’étais pas nourrie correctement. Même lorsque j’ai eu un an, ma grand-mère a continué à vouloir me donner. Mais ma mère s’est battue pour me garder.

Le Maître a dit :

« Certains ont attendu vies après vies pour arriver à obtenir ce Fa aujourd’hui, après avoir tant souffert et vécu toutes sortes de tribulations, ils ont finalement trouvé ce Fa. » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa au Canada)

Je ne suis pas morte de faim ni n’ai souffert de maladies dans ma jeunesse, mais à l’âge de 11 ans, j’ai commencé à avoir des maux de tête, des douleurs au cou, des douleurs au dos, des douleurs à l’estomac, des bronchites et une maladie cardiaque.

En 1996, après avoir commencé la pratique de Dafa, les douleurs et la souffrance ont disparu.

Une mère analphabète peut lire

Un jour, alors que j’avais déjà commencé à pratiquer Dafa, ma mère est venue me voir et je lui ai demandé si elle aimerait pratiquer. Je lui ai dit : « Maman, ce serait bon pour toi. » Elle a donc commencé à pratiquer avec moi.

Ma mère était analphabète. Je lui lisais des livres de Dafa chaque fois que j’en avais le temps. Elle était toujours prête à écouter. Elle m’a dit qu’elle voyait des mots partout sur les murs et sur le sol pendant qu’elle faisait les exercices. Je lui ai demandé si elle connaissait ces mots, elle m’a répondu qu’elle ne connaissait que le mot Li. Elle avait alors 80 ans et n’était jamais allée à l’école. Je lui ai dit que c’était peut-être un indice du Maître pour qu’elle lise le livre elle-même maintenant.

À partir de ce moment-là, ma mère a commencé à lire les livres de Dafa que je lui donnais. Elle m’a dit qu’elle arrivait à reconnaître les mots. Je sais que c’est le Maître qui l’a aidée !

Indemne après un accident avec de l’huile chaude

En juillet dernier, après avoir fait frire de la pâte, la casserole d’huile chaude s’est renversée. Dans la panique, j’ai essayé de rattraper la casserole. L’huile m’a éclaboussé la main droite et jusqu’aux pieds. Elle a éclaboussé le mur, puis ma bouche, provocant immédiatement des ampoules. À la fin, j’avais des ampoules sur le dos de la main droite, et mes chaussures et mes chaussettes étaient imbibées d’huile. La douleur m’a soudain envahie et s’est miraculeusement dissipée rapidement. Le lendemain, les ampoules avaient disparu.

J’ai compris que le Maître me protégeait. Je ne saurais exprimer suffisamment ma reconnaissance au Maître.

Traduit de l’anglais