(Minghui.org) J’ai emmené ma fille à Pékin en voiture le 28 septembre 2019, et j’ai été arrêtée par un policier à l’entrée de l’autoroute. Il m’a demandé ma carte d’identité. Je lui ai dit que je ne l’avais pas apportée avec moi. Il m’a demandé où j’allais. Je lui ai dit que j’allais à la gare ferroviaire. Il a vérifié la carte d’identité de ma fille et nous a laissé partir. Mais d’autres voitures ont été appelées à se garer sur le côté de la route pour le contrôle d’identité.

Lorsque nous sommes revenues le soir, ma fille m’a proposé de m’asseoir sur le siège arrière et m’a dit qu’elle conduirait parce que la police contrôlait strictement les voitures à l’entrée de l’autoroute. Je me suis assise sur le siège arrière en émettant la pensée droite pour éliminer toute interférence. Les personnes sans carte d’identité qui se trouvaient devant nous ont été soumises à un contrôle par reconnaissance faciale. La police n’a regardé que ma fille et ne lui a rien demandé. Ma fille m’a demandé plus tard si j’avais émis la pensée droite. J’ai répondu : « Oui. »

Le personnel chargé du contrôle sanitaire : « Le cas a été mal diagnostiqué »

Je suis revenue d’une ville de province en bus le 9 mai 2022. L’un des passagers a reçu un appel lui annonçant qu’un passager de son wagon avait contracté la COVID. Tous les passagers du bus ont dû être placés dans un centre d’isolement. Nous ne savions pas combien de temps nous serions isolés.

J’ai supplié le Maître de m’aider. Quelques jours plus tard, qui s’avérait être le 13 mai, la journée mondiale du Falun Dafa, je devais rentrer chez moi pour célébrer l’anniversaire du Maître et valider le Fa. Les pratiquants m’attendaient ainsi que les marchandises que j’avais achetées pour eux. J’ai émis une forte pensée droite.

Le lendemain, vers 10 heures du matin, le personnel chargé du contrôle sanitaire nous a dit de partir parce que le cas avait été mal diagnostiqué. Nous n’avions pas besoin d’être isolés après tout.

J’ai été reconnaissante envers le Maître du fond du cœur.

« Personne n’interférera avec moi »

Lorsque le PCC a tenu ses « deux sessions » en mars de cette année, des contrôles de reconnaissance faciale ont été exigés à l’entrée de l’autoroute. Les gens baissaient les vitres de leur voiture et sortaient la tête pour faire face à un grand écran. Alors que je revenais d’une autre ville, j’ai émis une forte pensée droite : « Je dois mener une vie normale. Personne ne doit interférer avec moi. » Lorsque j’ai regardé l’écran géant, il ne s’est rien passé. Ma voiture est passée sans problème.

Le Maître m’a donné un appartement

Lors de notre divorce, mon mari a obtenu tous nos biens et la garde de nos deux enfants. Je n’ai rien eu. Je n’ai pas discuté avec lui. J’ai loué un appartement. Nos enfants sont venus vivre avec moi, car ils ne voulaient pas vivre avec leur père.

Le propriétaire m’a dit qu’il allait vendre l’appartement deux mois plus tard. J’avais prévu d’y rester au moins deux ans. Lorsque j’avais emménagé, l’appartement était sombre et sale. Plusieurs fenêtres, la serrure de la porte, un lit et d’autres objets étaient cassés. Le propriétaire ne s’en était pas soucié. Je les avais fait réparer de ma poche. J’avais également repeint l’appartement. Une fois que tout avait été réglé, je m’étais sentie très fatiguée.

J’ai pleuré lorsque le propriétaire a annoncé qu’il allait vendre l’appartement. C’était une situation tellement difficile de ne pas avoir mon propre appartement. J’ai demandé à mon ex-mari de nous trouver un endroit où loger. Il n’en avait que faire. J’en ai discuté avec mon propriétaire et il a accepté de ne pas vendre l’appartement tant que je n’y serais pas restée un an.

J’ai commencé à chercher un appartement deux mois avant l’échéance du bail. Il n’a pas été facile de trouver un appartement approprié parce que mes enfants vivaient avec moi. Je devais tenir compte de l’emplacement, de la taille et de l’environnement de l’appartement. J’ai fini par en trouver un, mais le mobilier était vieux et certains objets étaient cassés. Il était sale et sentait mauvais. Il m’a fallu du temps pour tout nettoyer et tout remettre en place. J’étais épuisée et je me suis assise sur le canapé en pleurant. J’avais déménagé trois fois en trois ans.

J’ai dit à mes enfants de demander à leur père s’il pouvait nous laisser rester dans son plus petit appartement pour que nous n’ayons plus à déménager. Il a accepté, mais a précisé que personne d’autre ne devait venir dans l’appartement. Je n’ai pas accepté cet arrangement.

Plus tard, j’ai parlé plusieurs fois à mon ex-mari. Je lui ai demandé s’il se sentait coupable d’avoir trois appartements, alors que nos enfants et moi n’avions pas d’endroit stable où vivre. Nous étions ensemble depuis plus de trente ans et j’aurais dû avoir la moitié des biens. Je n’avais pas discuté avec lui lorsqu’il avait pris tous les biens. Je lui ai dit : « Tu as obtenu la garde des enfants, mais ils ne veulent pas vivre avec toi. Ils n’ont pas d’endroit où vivre. En as-tu la conscience tranquille ? »

J’ai mémorisé le Fa suivant :

« De même, les êtres humains doivent avoir pour eux un espace vital et des conditions d’existence, cela aussi doit être sauvegardé ; en plus les êtres humains doivent préserver leur vie et vivre normalement. » (Septième leçon, Zhuan Falun)

J’ai réalisé que je devais avoir un espace vital et vivre normalement. J’avais lu ce Fa tant de fois, mais je ne m’étais pas éveillée à cela. Cette fois, cela m’a frappé : je dois avoir un endroit pour vivre.

J’ai dit au Maître : « Maître, je suis une pratiquante de Falun Dafa et j’ai une mission. Je suis venue pour aider le Maître à sauver les êtres. Je cultive dans Dafa et je suis bénie. Je dois avoir un endroit et des conditions de vie convenables. Je ne devrais pas être privée d’un endroit où vivre. J’ai passé beaucoup de temps et d’énergie à chercher un endroit et à tout nettoyer et organiser chaque fois que j’ai emménagé dans un nouvel endroit. Cela a empiété sur le temps dont je disposais pour sauver les êtres. Ce n’est pas l’état qu’une pratiquante de Falun Dafa devrait avoir. Mon ex-mari a pris ma part des biens, ce qui n’est pas bon pour lui. Ces ressources devraient appartenir à Dafa. Il doit me donner un appartement. »

Quelque temps plus tard, mon ex-mari m’a rendu visite et m’a dit qu’il ne louerait pas le plus petit appartement, qu’il le rénoverait et qu’il me le donnerait sans condition pour que nos enfants aient un endroit où vivre. Il m’a également dit que le Ciel ne le permettrait pas s’il ne me donnait pas l’appartement. J’ai réalisé que je m’étais éveillée à ce Fa et que le Maître m’avait donné l’appartement. Merci, Maître !

Traduit de l’anglais