(Minghui.org) En tant que pratiquante de Falun Dafa, j’ai découvert que le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance s’applique à notre vie quotidienne, y compris à chacune de nos pensées lorsque les choses se présentent. Voici trois incidents que j’ai vécus et leurs différentes conséquences.

Le premier incident s’est produit l’année dernière lorsque je suis allée chercher mon enfant à l’école à vélo. J’ai été percutée par une voiture qui tournait devant moi à un carrefour. J’ai atterri sur la tête et roulé sur le côté.

Le conducteur est sorti de sa voiture et a commencé à me rendre responsable de l’accident. Je lui ai répondu : « J’avais la priorité, j’allais tout droit et vous avez tourné. » Il a ramassé mon vélo, qui était gravement endommagé. Mes jambes noircissaient et bleuissaient à vue d’œil. Me considérant comme une pratiquante de Dafa, j’ai su que j’allais m’en sortir et je l’ai laissé partir. Les ecchymoses ont duré quelques jours. Le vélo a été détruit.

Le deuxième incident s’est produit au printemps dernier. Je suis allée chercher mon enfant et je suis rentrée chez moi à vélo. Dans la descente, une moto a soudain surgi devant moi et s’est arrêtée au milieu de la route. Je n’ai pas eu le temps de m’arrêter et nous sommes entrés en collision, projetant mon enfant et moi au sol. Je n’étais pas fâchée, car je savais qu’il avait fait cela pour éviter une collision, même s’il avait mal évalué la situation.

Avec cette pensée, nous n’avons étonnamment eu aucune blessure et mon vélo n’a pas été abîmé. Je n’ai même pas été salie par la chute. Je savais que c’était parce que je pensais d’abord aux autres.

Le troisième incident était lié au ressentiment. En août, j’ai emmené ma fille rendre visite à mon père à la campagne. Elle a eu mal au ventre, donc je lui ai donné de l’eau chaude, mais cela n’a pas aidé. Je lui ai demandé de réciter « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », mais elle avait toujours mal. Nous avons essayé encore un moment, mais la douleur persistait.

Mon père a alors appelé d’une autre pièce : « Comment se fait-il que tu continues à pleurer ? » Il n’est pas sorti pour voir si ma fille allait bien, et j’étais contrariée par sa réaction. Ma fille pleurait depuis longtemps, mais mon père ne semblait pas s’en préoccuper. Il était égoïste !

Au bout d’un moment, j’ai compris qu’en tant que pratiquante, je devais regarder en moi. Pourquoi est-ce que je vivais cela ? Y avait-il quelque chose que je devais améliorer ? En pensant à mon père, je savais qu’il avait des problèmes de santé depuis un certain temps et que cela l’inquiétait. J’ai donc essayé d’éliminer le ressentiment et les pensées égoïstes que j’avais. Lorsque j’ai partagé cette pensée avec ma fille, elle a soudain eu l’air heureuse et m’a dit : « Maman, la douleur a disparu ! »

Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a dit :

« Vous devez éliminer les désirs des gens ordinaires, les mauvaises dispositions qui sont dans votre esprit et les idées qui vous poussent à mal agir. Dès que vous élèverez un peu votre état de conscience, un certain nombre de mauvaises choses qui étaient en vous seront déjà parties. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Je suis très reconnaissante envers le Falun Dafa et envers Maître Li de m’aider à m’élever constamment.

Traduit de l’anglais