(Minghui.org) En 1997 et 1998, tous les membres de ma famille ont commencé à pratiquer le Falun Dafa. Même mon père têtu a été impressionné par les changements qu’il a vus en nous et a renoncé à l’athéisme. J’aimerais vous raconter notre histoire.

Mon insomnie disparaît en un jour

J’ai toujours cru au divin, mais je ne connaissais rien en matière de cultivation. Le 3 juin 1997, une collègue à la retraite m’a posé des questions au sujet de sa prestation de retraite. Pendant que nous bavardions, elle a mentionné le Falun Dafa, et j’ai demandé si la pratique pouvait guérir les maladies. Elle m’a répondu que Dafa ne se limitait pas à l’amélioration de la santé ; si quelqu’un pratique assidûment, il peut ressentir d’énormes bienfaits spirituels.

Intéressée, j’ai demandé si elle pouvait acheter trois livres de Falun Dafa, un pour ma mère, un pour ma belle-mère et un pour moi. « C’est quelque chose de très sacré », m’a-t-elle dit. « Il vaut mieux que tu viennes sur le point de pratique collective et que tu achètes les livres sur place. »

Lorsqu’elle a prononcé le mot « sacré », le sentiment de joie s’est emparé de moi. J’ai vu une scène avec des bouddhas, la bodhisattva Guanyin et d’autres êtres divins. J’ai montré à ma voisine un collier avec un Bouddha Tathagata que j’ai porté pendant des années, et j’ai expliqué que j’étais à la recherche d’une véritable pratique spirituelle.

J’avais un travail lucratif que mes parents et amis m’enviaient et une famille harmonieuse. La seule ombre au tableau était ma mauvaise santé. Souffrant de multiples maladies, je ne pesais que 36 kilos. Je me rendais fréquemment dans les hôpitaux et les pharmacies.

Lorsque j’ai reçu le Zhuan Falun, les principaux enseignements du Falun Dafa, j’ai lu plus de 20 pages ce soir-là avant de m’endormir. Mon cerveau était très clair lorsque je me suis réveillée à 6 heures le lendemain matin. J’ai fait la méditation assise que j’avais apprise la veille.

L’insomnie qui me tourmentait depuis des années a disparu. D’autres maladies que j’avais ont également disparu en l’espace d’un mois. Je n’ai pas pris une seule fois un médicament depuis vingt-six ans et je suis en très bonne santé.

Le premier jeune pratiquant de la région

Ayant la certitude que le Falun Dafa était si merveilleux, j’ai décidé d’en parler à tous mes proches et à tous mes amis. Le 18 juin 1997, mon fils de 12 ans nous a soudain dit, à mon mari et à moi : « Je vais pratiquer le Falun Dafa. » C’était deux jours après avoir passé l’examen d’entrée au collège.

Il a expliqué : « J’ai lu secrètement le Zhuan Falun qui se trouve sous ton oreiller. Je savais que lorsque je serais grand, je deviendrais moine et voyagerais pour trouver quelque chose qui pourrait transcender la vie et la mort. Après avoir lu le Zhuan Falun, je sais que le Falun Dafa est ce que je recherche. Le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance du Falun Dafa constitue un Fa universel sans précédent. »

Mon mari et moi étions stupéfaits. Je savais instinctivement que Dafa pouvait aider les gens à cultiver la bouddhéité tout en étant en bonne santé. Cependant, je n’avais vu personne de son âge pratiquer sur le point de pratique collective, et je lui ai donc conseillé de se concentrer sur son travail scolaire.

Mais mon fils était déterminé et m’a dit : « Dafa a été présenté pour les personnes de tous âges. S’il te plaît, ne m’en empêche pas. C’est ce que je veux. »

Mon fils est devenu le premier jeune pratiquant de Falun Dafa dans notre région. Son œil céleste s’est ouvert lorsqu’il a commencé à pratiquer. Cependant, il n’en a jamais parlé à personne et n’a décrit qu’occasionnellement certaines scènes qu’il a vues.

Après que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa le 20 juillet 1999, mon fils s’est joint aux pratiquants adultes pour lancer un appel pour Dafa dans la capitale provinciale. Un policier lui a demandé pourquoi il pratiquait Dafa à un si jeune âge, car de nombreuses personnes le pratiquaient pour avoir une bonne santé. Mon fils a répondu : « Je n’ai aucun problème de santé. Je pratique le Falun Dafa pour un éveil spirituel, car c’est la vérité. » Il avait 14 ans et était au secondaire.

Au cours des vingt-six dernières années, mon fils s’est bien cultivé et a fait beaucoup de choses pour valider Dafa, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Chine.

Mes beaux-parents

Mes beaux-parents sont venus de leur ville natale chez moi le 10 juillet 1997. Ils m’ont posé des questions sur le Falun Dafa. Mon beau-père avait plus de 70 ans et ma belle-mère plus de 60 ans.

Ma belle-mère était analphabète, alors je leur ai lu la biographie du Maître, qui était jointe au livre Zhuan Falun. Quand j’en étais à la moitié, ma belle-mère a dit avec enthousiasme : « Oh, le Maître est le vrai Bouddha. Je l’ai enfin trouvé. » Je lui ai demandé pourquoi elle disait cela.

Elle a répondu : « Quand j’étais très jeune, quelqu’un m’a dit que les êtres humains pouvaient cultiver le divin, mais que le moment n’était pas encore venu. Je suis donc allée dans un temple à l’âge de 9 ans, dans l’espoir de devenir bouddhiste. Mais le temple exigeait de tous ceux qui y séjournaient qu’ils paient deux charges de rations alimentaires, ce qui dépassait les capacités financières de ma famille. J’ai donc renoncé. »

Mes deux beaux-parents ont commencé à pratiquer. Ma belle-mère n’a bientôt plus été malade. Auparavant, elle devait être hospitalisée deux ou trois fois par an. Plus étonnant encore, en l’espace d’un an, elle a pu lire le Zhuan Falun. Auparavant, elle ne pouvait ni lire ni même écrire son nom.

Son fils aîné ne croyait pas que sa mère pouvait lire le Zhuan Falun et l’a testée avec un passage au hasard dans le livre. Elle l’a lu sans problème et correctement.

Ma mère

Ma mère est venue chez moi le 20 juillet 1997. Les médecins de l’hôpital Huaxi de Chengdu lui avaient diagnostiqué une maladie en phase terminale et lui avaient dit qu’elle ne vivrait plus très longtemps. Avant qu’elle n’aille chercher ses médicaments à l’hôpital, je lui ai parlé du Falun Dafa et de ses effets miraculeux sur la santé. Ma mère, âgée de 65 ans, a immédiatement commencé à pratiquer.

Dès qu’elle a commencé à pratiquer le Falun Dafa, elle n’a plus eu de maladie et elle se sentait comme si son corps était léger. La maladie qui la tourmentait depuis des décennies avait complètement disparu. Elle en a été extrêmement émue.

Le lendemain, maman a raconté à ma sœur aînée les changements physiques qu’elle avait subis. De retour dans sa ville natale, elle a parlé à ses proches, amis, voisins et autres villageois de ses miracles et des merveilles de Dafa. Plus de 20 membres de sa famille ont commencé à pratiquer le Falun Dafa.

En juillet 1997, ma sœur aînée a trouvé un point de pratique collective local et s’est également engagée sur le chemin de la cultivation et pratique.

Mon mari

Le 26 septembre 1997, mon mari a commencé à pratiquer Dafa juste après avoir lu le Jingwen du Maître « Pratiquer après la retraite » dans Points essentiels pour avancer avec diligence et regardé la vidéo des conférences du Maître à Guangzhou.

Mon père

Mon père était un athée obstiné. Il se moquait souvent des pratiquants et disait que nous étions superstitieux et ignorants. Il a fermé les yeux sur de nombreux incidents miraculeux qui se sont produits dans notre famille, y compris une fille muette qui a pu parler trois jours après avoir écouté les conférences du Maître. Pour mon père, une bonne retraite consistait à siroter du thé et à raconter des ragots le matin, à siroter du vin aux repas, à fumer des cigarettes après le déjeuner et le dîner, à cultiver les champs pendant la journée et à regarder les nouvelles ou à lire des romans d’arts martiaux le soir.

Le Nouvel An chinois de 1998 est arrivé en un clin d’œil et toute la famille l’a fêté chez mes parents. Ma sœur aînée et moi avions prévu de parler de Dafa à notre père et aux trois membres de la famille de notre jeune frère. Après le repas du réveillon, tout le monde a discuté de son travail et de sa vie au cours de l’année écoulée.

Ma sœur et moi avons mentionné les améliorations physiques et mentales que nous avons connues après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa. Nous avons partagé certaines des choses merveilleuses que d’autres pratiquants ont vues dans d’autres dimensions et des miracles qu’ils ont personnellement expérimentés. Ma mère a également parlé de ses expériences.

Mon jeune frère et sa famille ont écouté avec beaucoup d’intérêt et ont posé des questions. Mon père est resté silencieux et a écouté pendant que nous discutions joyeusement pendant environ deux heures, les yeux mi-clos et les jambes croisées. Il a soudain ouvert les yeux et m’a posé de nombreuses questions.

Il m’a dit : « Ce soir, tu as parlé avec animation de la cultivation et de la bouddhéité. Où est le divin dans ce monde ? Avez-vous vu, toi ou d’autres personnes, un être divin ? Vous, les pratiquants, vous vous trompez tous. Toi et ta sœur ne cessez de dire que les gens peuvent devenir des êtres divins en se cultivant. Les gens insistent également sur l’existence de la bodhisattva Guanyin. Si tu peux me dire où je peux voir la bodhisattva Guanyin en personne, je pratiquerai immédiatement le Falun Dafa. »

J’ai répondu à la question de mon père par ce que le Maître a dit :

« C’est pourquoi, il faut cultiver d’abord, s’éveiller d’abord, et voir ensuite. » (Enseignement du Fa au Fahui de Sydney)

Le jour du Nouvel An chinois, ma sœur est allée rendre visite à notre frère et à sa famille en ville. Elle a continué à leur parler de Dafa pendant que j’accompagnais mes parents chez eux. Ma sœur a pris le Zhuan Falun et a commencé à lire la préface, « Lunyu ». Lorsque ma sœur a lu le deuxième paragraphe, l’œil céleste de ma nièce de 8 ans s’est ouvert. Elle a décrit les scènes merveilleuses qu’elle voyait dans d’autres dimensions, y compris des terres dorées, des Faluns (Roue de la Loi) dorés, des montagnes colorées, des rivières, des tours et des pavillons. Cette fois, mon frère et sa femme étaient intéressés. La famille de trois personnes a commencé à pratiquer.

Ma sœur est rentrée à la maison avec la famille de mon frère à midi. Dès que ma jeune nièce est entrée dans la maison, elle a raconté à haute voix à mes parents les scènes qu’elle avait vues. Elle a ensuite couru d’une pièce à l’autre de la maison et s’est exclamée bruyamment que la maison de grand-mère était remplie de Faluns dorés qui tournaient. Elle a également vu le Maître lui sourire. Elle a dit à mon père : « Grand-père, ce que mes deux tantes ont dit est vrai. J’ai vu beaucoup de Faluns tourner. Tu devrais aussi commencer à pratiquer. »

Mon père aimait cette petite-fille. Il a souri et a dit que ce que ma nièce avait vu était une illusion. Il a insisté sur le fait qu’il pratiquerait Dafa s’il pouvait voir la bodhisattva Guanyin en personne. Tout le monde est resté sans voix. Son athéisme profond était ma plus grande inquiétude.

Pour encourager mon père, j’ai demandé à ma mère de passer l’enregistrement audio des conférences du Maître à Guangzhou tous les jours pendant les repas. De cette façon, il pouvait écouter les conférences tout en mangeant. Il ne s’y est pas opposé parce qu’il avait vu comment la santé de ma mère s’était rétablie après qu’elle s’est mise à pratiquer Dafa.

Ma sœur et moi sommes rentrées à la maison pour célébrer le 70e anniversaire de mon père le 13 mars 1998. Nous avions apporté avec nous une copie de la nouvelle conférence du Maître que nous voulions lire à maman. Nos parents préparaient le déjeuner lorsque nous sommes arrivées. J’ai dit à ma mère que je voulais lui lire la conférence du Maître, car je devais rapporter la copie en partant. J’ai dit à mon père qu’il pouvait sortir de la cuisine s’il ne voulait pas écouter. À ma grande surprise, il m’a demandé de la lire.

J’expliquais ce que je comprenais au fur et à mesure que je lisais. Mon père s’est impatienté de mes explications et m’a dit de me contenter de lire. C’est ainsi qu’il a écouté la conférence du Maître.

Mon père lit des romans d’arts martiaux au lit tous les soirs jusqu’à ce qu’il s’endorme. Ma mère a remplacé les livres d’arts martiaux par le Zhuan Falun.

Un matin du début du mois de mai 1998, ma mère m’a appelée et m’a dit avec enthousiasme que mon père avait enfin vu ce qu’il voulait voir dans une autre dimension. J’ai demandé ce qui s’était passé. Ma mère l’a décrit en détail.

Mon père a écouté les enregistrements des conférences du Maître avec maman tous les jours. Il pensait aussi aux connotations pendant qu’il écoutait. Il a commencé à lire le Zhuan Falun tous les soirs après que ma mère a posé le livre sur son lit. En lisant le livre, il a compris qu’il devait faire les exercices en plus de la lecture du livre. En s’asseyant sur le lit, il s’est rendu compte qu’en peu de temps, il pouvait croiser les jambes comme ma mère.

Après que mon père a fermé les yeux pendant un certain temps, le Maître a ouvert son troisième œil, ce qui lui a permis de voir beaucoup de choses merveilleuses qu’il n’avait jamais vues auparavant. Il a vu des bodhisattvas et des êtres divins. Il a également vu des Faluns tourner autour de son corps et au-dessus de sa tête. Craignant qu’il s’agisse d’une hallucination, il a ouvert les yeux. Il a été surpris de voir de nombreux Faluns colorés tourner dans la pièce. Ce phénomène a mis fin à l’athéisme obstiné auquel il s’était accroché pendant des décennies.

Ma mère m’a dit que mon père s’était assis en position du lotus pendant plus de 40 minutes et qu’il se sentait très bien après avoir médité. Il a dit qu’il continuerait à pratiquer Dafa à partir de ce moment-là.

Je n’ai pas pu empêcher mes larmes de couler en entendant ces mots. Dafa a finalement éveillé mon père, et il a abandonné définitivement l’athéisme.

Traduit de l’anglais