(Minghui.org) Je vis dans une zone rurale et j’ai un mariage malheureux. Comme j’ai été maltraitée mentalement et physiquement, je suis devenue pessimiste, rancunière et je me plaignais constamment.

En 1998, après avoir lu le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa, j’ai compris que tout ce que je rencontrais était dû à mon propre karma. Ce n’est qu’en pratiquant le Falun Dafa que nous pouvons retrouver notre vraie nature et nos demeures d’origine. Je voudrais vous faire part d’un événement qui s’est produit au cours de l’été 2022.

Pendant la pandémie de trois ans, toute ma famille de douze personnes a été infectée par la COVID, à l’exception de ma belle-mère, âgée de 80 ans, et de moi-même. Ma belle-mère ne pratique pas Dafa, mais je me suis occupée d’elle et elle a donc bénéficié de Dafa. Ma famille a été témoin du miracle de Dafa.

Se remettre d’un zona

L’été dernier, une petite cloque est apparue sur mon abdomen. Les cloques ont continué à éclater et ont fini par recouvrir tout mon corps, sauf mon dos. J’avais l’impression que des milliers d’aiguilles me piquaient. Les cloques éclatées collaient à mes vêtements.

Lorsque ma belle-sœur a remarqué que j’avais un zona, elle m’a apporté de la pommade et m’a dit de l’utiliser. J’ai dit : « Je pratique le Falun Dafa, je n’ai pas besoin de médicaments. » Quelques jours plus tard, elle a appelé un taxi et m’a forcée à aller à l’hôpital. J’ai refusé d’être soignée et je suis rentrée chez moi. Ma plus jeune belle-sœur m’a appelée plus tard et m’a dit que je serais en grand danger si les cloques continuaient à s’étendre et atteignaient ma tête. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter, que je pratiquais le Falun Dafa et que tout irait bien.

Je me suis calmée et j’ai regardé à l’intérieur. J’ai réalisé que j’avais encore des ressentiments profondément cachés. Je me plaignais et j’avais l’impression d’être traitée injustement.

Je vis à la campagne et je m’occupe de ma belle-mère grabataire, tandis que mon mari travaille en ville. Il ne rentre qu’occasionnellement à la maison. Je n’ai aucun revenu. Lorsque je suis à court d’argent, je dois faire des petits boulots pour gagner quelques centaines de yuans. Mais je profite de ces occasions pour clarifier la vérité aux gens.

J’ai parfois des pensées négatives. Je suis mariée depuis plus de trente ans. Je me suis occupée de nos deux enfants, de mes parents et des siens. Ma belle-mère est maintenant alitée. J’avais l’impression que tout était de ma responsabilité. Mes belles-sœurs m’aident parfois, car elles ne supportent pas la façon dont mon mari me traite. Non seulement mon mari me maltraite verbalement, mais il a aussi eu une liaison. Je me plaignais souvent que la vie était injuste.

Le Maître a dit :

« Au cours de la cultivation et de la pratique, quand vous êtes face à des conflits bien réels ou que les autres vous traitent mal, cela peut correspondre à deux situations. La première, c’est que vous avez peut-être maltraité les autres dans une existence antérieure ; au fond de vous-même vous vous sentez indigné : “Comment peut-il me faire ça ?” Mais vous, pourquoi lui avez-vous fait la même chose autrefois ? Vous direz qu’à ce moment-là vous ne saviez pas et que dans cette vie on ne va pas s’occuper de ce qui s’est passé dans une autre vie. Mais ça ne marche pas comme cela ! » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

J’ai réalisé que l’apparition de mon zona était une occasion de me cultiver. J’ai persisté à étudier le Fa, à faire les exercices, à clarifier la vérité et à émettre la pensée droite. Les autres pratiquants m’ont également aidée en émettant la pensée droite. Sans injections ni médicaments, les cloques ont disparu en vingt jours.

Mon mari a dit : « D’autres ne guérissent pas, même avec des injections. Comment as-tu fait pour guérir si vite ? » Je lui ai dit que c’était l’incroyable pouvoir de Dafa ! Toute la famille a trouvé cela merveilleux et a été une fois de plus témoin du pouvoir miraculeux du Falun Dafa.

Je comprends que le Maître endure tant de choses pour moi. Je lui suis reconnaissante pour sa grande miséricorde et sa compassion.

Traduit de l’anglais