(Minghui.org) Beaucoup de pratiquants de Falun Gong exercent maintenant leur droit légal de poursuivre Jiang Zemin pour avoir lancé la persécution de leur croyance spirituelle et causé d'énormes souffrances depuis 16 ans. La vague d'actions en justice contre l'ancien dictateur chinois déposés auprès de la Cour populaire suprême gagne de la force de jour en jour.

Le site Minghui reçoit tous les jours des copies de plaintes pénales contre Jiang de la part des pratiquants. Dans ce rapport, nous présentons quatre aperçus de poursuites reçues par le site Minghui le 13 juin 2015.

1er Cas : Mme Liu Guiying (刘桂英)

Profession : ingénieure principale

Ville natale : ville de Chengdu, province du Sichuan

Date de dépôt : 1er juin 2015

Faits Marquants

Mme Liu a été détenue dans un centre de lavage de cerveau à deux reprises en 2000 et 2007.

Elle a été incarcérée en prison durant six mois et dans un camp de travaux forcés pendant six mois en 2001.

Son lieu de travail a retenu son salaire et ses avantages sociaux pendant huit ans.

Accusé de réception de la plainte prénale

État actuel

Mme Liu vit à la maison sans revenu.

Rapports connexes

Mme Liu Guiying ingénieur de la ville de Chengdu est arrêtée et soumise à des tentatives de lavage de cerveau pendant plus de trois mois

Détails de plainte de Mme Liu en langue chinoise

2e Cas : M. Wang Lidi (汪礼迪)

Profession : Maître de conférences à l'Institut de technologie de Hubei

Ville natale : ville de Xianning, province du Hubei

Date de dépôt : 24 mai 2015

Faits Marquants

M. Wang a été incarcéré en détention administrative trois fois et en détention criminelle trois fois.

Il a été incarcéré quatre fois dans un centre de lavage de cerveau, deux fois dans un camp de travaux forcés et une fois en prison.

Sa femme et son fils avaient disparu quand il a été emprisonné.

État actuel

M. Wang a été libéré le 11 avril 2009. Son université a refusé de lui rendre son ancien poste. Il est payé comme travailleur temporaire. Sa femme a reçu un diagnostic de schizophrénie et son fils montre des signes d'instabilité mentale.

Détails de la plainte pénale de M. Wang en langue chinoise

3e Cas : Mme Wang Shuzhen (王淑珍)

Profession : Policière à la prison municipale de Jilin, province du Jilin

Ville natale: ville de Jilin, province du Jilin

Date de dépôt : 3 juin 2015

Faits Marquants

Mme Wang a été emprisonnée dans un camp de travaux forcés en 2000.

Elle a perdu son emploi comme policière à la prison de Jilin.

Quand elle trouvait de nouveaux emplois, des agents du Bureau 610 de Jilin harcelaient son nouvel employeur, ce qui lui a fait perdre son emploi deux fois.

État actuel

Mme Wang est libre.

Les reçus de poste de la plainte pénale

Détails de la plainte pénale de Mme Wang en chinois

4e Cas : Mme Yang Xiaomin (杨小敏)

Ville natale : ville de Heyuan, province du Guangdong

Date de dépôt : 30 mai 2015

Faits Marquants

L'oncle et la tante de Mme Yang ont été détenus, condamnés à 2 ans de prison et à deux autres années en camp de travaux forcés.

Leur domicile a été saccagé à plusieurs reprises.

Reçus de poste de la plainte pénale

Historique

En 1999, Jiang Zemin, à la tête du Parti communiste chinois, a contourné l'autorité des autres membres du Comité permanent du Politburo et a lancé la répression violente du Falun Gong.

Durant les 16 dernières années, la persécution a conduit à la mort de nombreux pratiquants de Falun Gong. Beaucoup ont été torturés pour leur croyance et même tués pour leurs organes. Jiang Zemin est directement responsable de la création et de la poursuite de la persécution brutale.

Le 10 juin 1999, sous sa direction personnelle, le Parti communiste chinois a créé un organe de sécurité extralégal, le « Bureau 610 ». L'organisation outrepasse les forces de police et le système judiciaire dans l'exercice de la directive de Jiang concernant le Falun Gong : ruiner leur réputation, couper leurs ressources financières et les détruire physiquement.

La loi chinoise permet aux citoyens d'être plaignants dans les affaires pénales et de nombreux pratiquants exercent maintenant ce droit de déposer des plaintes pénales contre l'ancien dictateur.

Traduit de l'anglais en Suisse