(Minghui.org) J'ai eu un accident de voiture en 1992, qui m'a blessée aux jambes, au cou et à la colonne vertébrale. Je me sentais prise de vertiges tous les jours et je ne pouvais pas marcher. J'étais incapable de travailler et je ne pouvais pas vivre sans médicaments. J'ai commencé à cultiver et pratiquer le Falun Dafa en janvier 1996, et par la suite toutes mes blessures ont disparu.

Durant la persécution, clarifier la vérité et convaincre les gens de démissionner du Parti communiste chinois sont devenues les seules façons de sauver les êtres et sont de la responsabilité des disciples de Dafa. Le Maître a dit :

« Les disciples de Dafa sont le seul espoir de salut pour les êtres » (« Le seul espoir », Hong Yin III)

J'ai suivi le sillage du Maître et activement clarifié la vérité aux gens. Au cours des dernières années, j'ai convaincu plus de soixante-dix mille personnes de démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Je dis à ceux qui ne sont pas membres du Parti de se rappeler que le Falun Dafa est bon.

Je sais que c'est la puissance de Dafa qui sauve les gens. Sans le Fa je ne pourrais pas vivre, ni parler de sauver les autres.

Au cours de ce processus, j'ai compris que si j'élimine la sentimentalité selon le Fa et que je développe la compassion d'un disciple de Dafa, j'aurai le pouvoir de sauver les gens. Ici, j'aimerais partager mes expériences.

La compassion d'un disciple de Dafa

Le Maître a dit :

« Notre clarification de la vérité consiste à sauver les êtres, en même temps il y a encore des éléments tels que l'élévation personnelle et l'élimination des attachements pendant votre Xiulian, et aussi des éléments pour que les disciples de Dafa assument la responsabilité envers la Loi dans le Xiulian, en même temps il y a également la question de comment enrichir et remplir votre propre monde pendant le dernier chemin vers la plénitude parfaite. (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi internationale à Washington, D.C. », Guider le voyage)

Une personne doit se cultiver elle-même, si elle veut sauver les gens. Avant de commencer la cultivation et pratique, j'avais une forte sentimentalité et des attachements à mon mari et à mes filles.

Je suis enseignante dans une école de campagne et mon mari est le chef d'un poste de police. J'ai grandi avec lui et nous avons vécu avec son frère et sa soeur. Avec nos deux filles, notre vie était difficile.

Quand j'ai commencé à cultiver et à pratiquer, je ne savais pas quels étaient mes attachements. Mon mari a rapidement eu une liaison. Je n'ai pas réagi en faisant beaucoup de bruit, parce que je me suis rappelée que j'étais une pratiquante, mais j'étais très affectée dans mon cœur. J'ai pleuré de nombreuses fois.

Ceci s'est passé après que le Parti communiste ait lancé la persécution. Je suis allée à Pékin faire appel pour Dafa, mais je pensais à toutes les affaires chez moi. Je téléphonais constamment à la maison.

J'ai été arrêtée à Pékin et renvoyée chez moi. Mon mari était fou de colère. Il m'a demandé de choisir entre Dafa et lui. Je lui ai dit que je voulais les deux. Il a dit que ça ne marchait pas comme ça et que je devais en choisir un. J'ai alors choisi Dafa.

Nous avons divorcé plus tard sous la pression du gouvernement

J'ai été envoyée trois fois dans un camp de travail. Au début, je ne comprenais pas pourquoi. J'ai compris plus tard que la raison pour laquelle j'étais persécutée n'était pas parce que je clarifiais la vérité en public, mais parce que j'avais des failles dans ma cultivation, particulièrement l'attachement à mon mari. Les forces anciennes malfaisantes prenaient avantage de ces failles.

Le Maître a dit :

« Les êtres humains vivent pour les sentiments, c’est-à-dire qu'étant un être humain, on macère dans les sentiments et c'est très difficile de s'en débarrasser. Sans se libérer des sentiments, une personne ne peut pas cultiver et pratiquer ni s'élever. » (« Enseignement de Fa à la première conférence de Fa en Amérique du Nord »)

Je n'arrivais pas à éliminer l'attachement à ma famille. Bien que mon mari me trompait, je ne pouvais toujours pas lâcher. Un jour, alors que j'étais à bicyclette, une pensée m'a traversé l'esprit... : Il a eu un accident de voiture. J'ai tout laissé tomber et j'ai couru à son bureau, où il était en train de discuter avec ses collègues. Quand il m'a vue me précipiter, il m'a crié : « Que fais-tu ici ? Rentre à la maison ! »

Quand j'étais en centre de détention, ma fille m'a appelée et pleurait : « Papa va se marier avec cette femme. Personne ne prend soin de moi. Je te veux. Je veux que tu reviennes à la maison. »

Elle a alors raccroché, me laissant le cœur brisé.

J'étais torturée à ce moment-là. Mon corps était couvert de blessures, de pus et de sang. J'ai été emprisonnée dans une cellule individuelle d'un mètre sur deux et j'étais obligée de me tenir debout toute la journée, tous les jours.

Les douleurs dans mon corps et dans mon esprit me torturaient. C'était exactement comme le Maître disait :

« Cent épreuves tombent en même temps,

Voyons comment il peut vivre, »

(« Faire souffrir le cœur et la volonté », Hong Yin)

Durant l'épreuve, je faisais de mon mieux pour repousser les pensées d'une personne ordinaire que j'avais. Encore et encore, je disais au Maître : « Maître je n'abandonnerai pas, ni ne serai ''transformée''. Je cultiverai solidement. Le Maître est avec moi, alors je ne m'inquiète pas pour mes enfants. Ils seront pris en charge par le Maître. J'écoute uniquement le Maître. Je ne veux pas m'attarder sur mon mari et cette femme. Je n'ai pas d'ennemis. Je ne déteste personne. Je ne veux pas de la haine. »

Alors que j'essayais d'éliminer la sentimentalité, le Maître m'a aidée à éliminer les choses sales petit à petit. Ma vie a été purifiée et élevée.

Mon ex-mari est venu me rendre visite au camp de travail. Il a dit que sa nouvelle femme était là aussi, mais qu'elle était trop gênée pour me voir. Je lui ai dit : « Elle est bienvenue. J'apprécie sa visite. »

Je lui ai calmement parlé comme une disciple de Dafa. Je l'ai appelée ma sœur et l'ai remerciée d'avoir pris soin de mes enfants. Plus tard, je lui ai parlé des faits au sujet du Falun Dafa. Elle a vu la magnificence de Dafa et elle a montré à ses collègues de travail les documents de Falun Gong que je lui avais donnés. J'ai convaincu plus tard mon ex-mari et elle de démissionner du Parti.

Plus tard, mon ex-mari m'a exprimé son regret au sujet de notre divorce. Il m'a écrit deux fois, me demandant de lui pardonner et disant qu'il voulait que nous revenions ensemble. Je ne voulais pas que sa nouvelle femme ait de mauvaises compréhensions au sujet des disciples de Dafa, ni ne développe de pensées négatives à l'égard de Dafa, alors j'ai refusé et je lui ai demandé de la traiter gentiment.

Quand nous nous considérons vraiment comme des disciples de Dafa et que nous traitons les gens ordinaires avec compassion, les gens peuvent ressentir la puissance de la compassion et apprécier le salut de Dafa. Sa nouvelle femme dit souvent à son amie que le Falun Dafa est bon. Elle m'a aussi aidée à récupérer l'allocation que le gouvernement m'avait retiré quand j'étais dans le camp de travail.

Je traite mon ex-mari gentiment et ils me traitent aussi gentiment comme un membre de la famille. Je rends souvent visite au père de mon ex-mari, âgé de 92 ans, et je lui apporte des cadeaux. Chaque fois, il me dit que je lui manque et je lui dit de se rappeler que « Falun Dafa est bon. ». Sa belle-fille m'a dit qu'il ne pouvait pas reconnaître beaucoup de gens, y compris elle, mais qu'il se souvient clairement de moi.

Se cultiver n'est pas facile ; c'est un processus graduel. La sentimentalité ne peut pas toujours être totalement éliminée en une seule fois. Quelquefois elle peut revenir. Quand cela revient, je la repousse avec la pensée droite. Je suis aussi tombée plusieurs fois, quand ma pensée n'est pas droite, mais j'ai toujours été capable de me réveiller.

Ma fille est une gentille fille, mais son mari, qui perd souvent son travail, la traite mal. Quand il crie après elle, je suis souvent contrariée. Quand je suis capable de me calmer, il arrête aussi. Il m'a même dit récemment qu'il m'aiderait à clarifier la vérité en public. Maintenant, en jetant un regard en arrière, j'ai compris que plusieurs de ses problèmes étaient causés par mes attachements.

Une autre fois, la liaison de mon ex-mari m'est apparue à l'esprit quand je faisais les exercices. J'ai arrêté les exercices, bouleversée. Je me suis précipitée hors de chez moi et j'ai essayé de le trouver. Dans la rue, j'ai accidentellement frappé et brisé l'équipement d'un homme. Cet homme m'a retenue et a demandé une compensation. Je me suis alors réveillée. Le problème a été causé par mon cœur bouleversé. Je me suis calmée et je lui ai donné sept cents yuans (environ 100 $ US).

J'ai compris que dans la cultivation, nous devons nous rappeler que nous sommes des disciples de Dafa à tout moment.

Le Maître a dit :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du Maître. » (Zhuan Falun)

Le Maître nous a guidés et nous a corrigés. Le Maître nous donne de nouvelles vies. Je ne peux exprimer ma reconnaissance en mots. Tout ce que je peux faire c'est de clarifier la vérité et de bien me cultiver moi-même.

Sauver les gens de tout cœur

Après avoir été libérée du camp de travail, en 2005, j'ai immédiatement commencé à convaincre les gens de démissionner du Parti.

Le premier groupe de personnes à qui j'ai parlé était la famille de mon frère qui vit dans les montagnes. Cela a pris plusieurs heures de bus pour aller là-bas et l'arrêt de bus se trouvait à environ trois kilomètres de leur domicile. J'ai marché et marché et puis je me suis perdue. J'ai traversé des collines et des vallées et j'ai rencontré un résident du village qui m'a amenée chez mon frère. Ils étaient contents et surpris de me voir. Je leur ai parlé de ce qu'est réellement le Falun Gong et de la brutalité de la persécution. Ils ont tous été d'accord pour démissionner du Parti.

Le deuxième de ses beaux-fils m'a dit heureux : « Ma tante, maintenant je réalise que le Falun Dafa m'a réellement protégé. » Il m'a alors dit que dans le champ, un motoculteur s'était renversé et l'avait frappé à la poitrine. Ses vêtements ont été coupés, mais lui allait bien.

Quelques mois plus tard, je leur ai à nouveau rendu visite. La petite-fille de mon frère m'a dit : « Je vois que le Falun Dafa me protège. Il y a quelque chose que je n'ai pas dit à ma mère. Un jour, j'ai aidé mon père sur le tracteur avec la moissonneuse-batteuse. Je suis tombée du tracteur après avoir heurté une bosse, mais le tracteur s'est arrêté. Mon père m'a vue sous le tracteur et il a eu très peur. Mais j'allais bien. »

Leurs histoires m'ont montré que le Maître est compatissant et que la puissance de Dafa est sans limites.

Le Maître a dit :

« Que ce soit les Corps de Loi du Maître ou les divinités droites ou le champ gigantesque arrangé dans ce monde par la Grande Loi, tous peuvent utiliser n'importe quel environnement pour vous amener les gens ayant l'affinité prédestinée et les gens pouvant être sauvés, pour leur offrir une occasion de connaître la vérité. Mais vous devez le faire, ça ne marche pas non plus si vous ne le faites pas. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à la capitale des États-Unis »)

J'ai fait de mon mieux pour effectuer cela. Au cours de ces dernières années, j'ai visité plusieurs villages reculés. Au début je suivais les compagnons de cultivation et j'apprenais d'eux. Plus tard, j'ai su comment faire cela par moi-même, alors j'ai commencé avec mes amis et ma famille. Le Maître nous dit que la compassion a le plus grand pouvoir. Tous les disciples de Dafa savent que la compassion vient de la cultivation après qu'on ait éliminé la sentimentalité.

Comme j'ai graduellement éliminé la sentimentalité, j'ai vu le pouvoir de la compassion et je suis maintenant capable de sauver de plus en plus de personnes. Maintenant je rencontre rarement des gens qui refusent de m'écouter. Je peux convaincre des dizaines de personnes de démissionner du Parti chaque jour.

Mon canton a lancé un projet de chemin de fer à grande échelle en juillet dernier et de nombreux travailleurs sont venus de l'extérieur de la ville. C'était une excellente occasion de clarifier la vérité. Marcher autour du chantier de construction était cependant très difficile.

Une fois, trois ouvriers étaient en train de travailler dans une fosse et je n'étais pas capable de descendre là. Je me suis dit : « Ils viennent de l'extérieur de la ville. Si je ne leur parle pas, je n'aurai plus cette chance. Je dois les sauver aujourd'hui. » À ce moment-là, quelqu'un a mis en place une échelle pour moi.

Ce jour-là, j'ai convaincu trente personnes de démissionner du Parti. Elles m'ont toutes remerciée de leur avoir expliqué les faits. C'était une chaude journée et le béton ainsi que les roches sur le chantier étaient brûlants. Je me sentais étourdie. Mais le Maître a beaucoup plus souffert que cela en nous sauvant. Donc, ma souffrance n'est vraiment rien en comparaison.

Je ne cible aucun groupe spécifique. Je parle à tout le monde, parce que le Maître a dit :

« […] je vous le dis toutes les personnes dans ce monde dans le monde entier ont été mes proches[...]. » (« Expliquer la Loi lors de la Conférence de Loi de l'Ouest des États-Unis au moment de la Fête de la lanterne de l'an 2003 », Deuxième partie)

Chacun est précieux. Quand je les traite comme ma famille, ils me traitent comme leur famille.

Je parle souvent aux travailleurs devant un centre commercial. Lors de la dernière Fête de la Mi-Automne (le jour des Actions de grâce chinois, quand tout le monde a des gâteaux de lune), un ouvrier m'a salué en disant : « Ma sœur, Falun Dafa est bon ». Je lui ai demandé s'il avait des gâteaux de lune. Il a dit tristement qu'il n'avait pas d'argent.

Je suis allée acheter des sacs de gâteaux de lune et des fruits et je les ai partagés avec les ouvriers. Je suis retournée là-bas six mois plus tard. Un groupe de travailleurs m'a entourée et a dit : « Il y longtemps qu'on ne vous a pas vue, ma soeur. Comment allez-vous ? Vous nous avez manqué. »

Je remercie souvent le Maître d'avoir dirigé ces personnes vers moi. Je parle aux gens en utilisant un langage simple. Suivant les enseignements du Maître, je ne commence pas en leur parlant de démissionner du Parti. Au lieu de cela, je discute avec eux de choses de la vie quotidienne, puis j'aborde le sujet de la gouvernance du Parti communiste, de ce qu'est vraiment le Falun Gong et ensuite pourquoi les gens devraient démissionner du Parti. Il est souvent très facile de convaincre les gens. Très peu de gens refusent d'écouter. Une fois, un jeune homme a essayé de me signaler à la police. Je lui ai calmement dit :« Mon frère, pose ton téléphone. C'est une mauvaise action. Je te dis cela pour ton propre bien. » Il a déposé son téléphone.

Sur le moment, je ne voulais plus continuer à clarifier la vérité. Mais j'ai immédiatement repoussé une pensée sans droiture et je me suis dit : « C'est une interférence de la part des anciennes forces du mal et cela est causé par mon égoïsme. J'ai essayé de me protéger. Je ne devrais pas être interférée par cela. J'ai besoin de suivre le Maître et de sauver les gens. » Les substances sales sont alors parties et j'ai continué à parler aux gens.

Je parle aussi aux gens à la gare ferroviaire. Parfois, la police patrouille là, mais mon cœur n'est pas ébranlé. Je me dis à moi-même : « Cela n'a rien à faire avec moi ». Je peux convaincre des dizaines de personnes de démissionner du Parti en une heure passée à la gare.

Les vacances du Nouvel An chinois sont aussi une bonne période pour clarifier la vérité. J'ai demandé à mes enfants de passer leurs vacances avec leur père et leur belle-mère et je suis allée parler aux gens tous les jours. En sept jours, j'ai convaincu plusieurs centaines de personnes de démissionner du Parti.

La famille de ma cousine soutient Dafa. Un jour, son fils est tombé d'un grand immeuble. Il a crié : « Falun Dafa est bon » et il était tout à fait bien. Ma cousine m'a dit joyeusement : « Ma sœur, ton Maître nous protège vraiment. » Elle m'a aussi aidée à parler aux gens de son village.

Je passe trois cent soixante jours par an à parler aux gens en public, peu importe le temps qu'il fait. Où que j'aille, je dis aux gens ce qu'est réellement le Falun Gong, dans le bus, dans la rue, au marché des fermiers et dans les restaurants. Même pendant l'hiver rigoureux, je peux convaincre huit à dix personnes de démissionner du Parti tous les jours. Un jour de Nouvel An chinois, je suis allée dans une région reculée et j'ai convaincu cent-sept personnes de démissionner.

Je me suis fixée comme objectif de convaincre au moins trente personnes de démissionner du Parti tous les jours. Au cours des dernières années, je crois avoir convaincu soixante-dix à quatre-vingt mille personnes de démissionner du Parti.

En cultivant Dafa, j'ai tout ce dont j'ai besoin

Je connais une pratiquante qui a vendu ses bijoux pour imprimer des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste. Pendant mon divorce, j'ai tout perdu sauf une maison. Mon ex-mari avait des dettes et ma fille avait aussi besoin d'argent. Ils m'ont tous deux demandé de l'aide. J'ai vendu la maison pour cinquante mille yuans (environ 7500 $US). J'ai donné quinze mille yuans à mon ex-mari et quinze mille yuans à ma fille. Les vingt mille yuans restants ont été dépensés pour imprimer des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste.

Je consacre la plus grande partie de mon allocation de retraite à la fabrication de documents de Dafa. Avec l'aide du Maître, je n'ai pas de soucis pour ma vie. Je vis une vie très simple, mangeant de la nourriture simple à chaque repas et n’achetant jamais de nourriture ou de vêtements chers pour moi-même. Même les nouilles instantanées ramen sont à mon avis trop luxueuses. Mais je n'utilise jamais de matériel bas de gamme pour faire les documents de Dafa.

Les compagnons de cultivation ont suggéré que je devrais faire attention à mon image. Donc, je me fais coiffer les cheveux et je porte des vêtements décents. Mes expériences me disent que pour clarifier la vérité, je n'ai pas besoin de vêtements luxueux, tant que je suis propre et soignée. La clé est de consacrer mon cœur à cela. Tout est réellement fait par le Maître, qui nous enseigne, nous donne le pouvoir de la compassion et nous protège. Mon plus grand souhait est de ne pas le laisser tomber, ni de laisser tomber les êtres qui ont un grand espoir en nous.

Je n'ai plus de logement ni d'épargne, mais mes filles et mes gendres sont gentils avec moi. Ils veulent que je vive avec eux. Mais ma vie est consacrée à sauver les gens, alors je vis avec un sac à dos et quelques vêtements simples, une brosse à dents et des documents de Dafa. Je reste là où j'ai besoin de parler aux gens : dans de petites auberges, les gares, avec des compagnons de pratique, des parents, etc.

Dans le camp de travail, un chef de police m'a demandé un jour : « Qu'est-ce que vous gagnez en pratiquant le Falun Gong ? » J'ai souri : « Tout ce dont j'ai besoin. »

C'est mon plus grand honneur et ma plus grande chance d'être une disciple de Dafa. J'ai le plus grand Maître et le Zhuan Falun, le livre le plus précieux. J'ai aussi les êtres qui ont été sauvés. Le Maître m'a donné un privilège sans limites et un avenir incomparablement merveilleux. De quoi d'autre ai-je besoin ?

Merci, Maitre ! Merci, Maître !

(Quatorzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada