(Minghui.org)

La police dans le camp de travail de Shanshui de la province de Guangdong a torturé le pratiquant Chen Baoca en utilisant beaucoup de méthodes brutales. Chen était un résidant de Tiaojiu, dans la ville de Minan, île de Donghai, ville de Zhanjiang. La police l'a forcé à s'accroupir devant eux pendant longtemps, même lorsque sa tête étaient couverte de grandes gouttes de transpiration. Ils l'ont souvent cruellement frappé à la tête. Quand Chen a demandé pour aller à la toilette, trois policiers ont refusé sa demande. Ils se sont moqués de lui:« Les gens qui pratiquent le Falun Gong ne sont-ils pas  censés d’être tolérants» ?

Pendant les jours d'hiver, quand le temps était très froid, ils ont forcé les pratiquants à rester dans les vents glacials. Pendant le temps très chaud, avec les températures aussi hautes que 38~39oC [100~102oF], ils ont ordonné aux pratiquants de continuer de courir toute la journée, ne leur permettant pas d'employer la toilette ou de boire de l'eau.

En 2001, j'ai été envoyé au camp de travail forcé de Sanshui. Après quelques jours que je fus là, j'ai constaté que les toxicomanes dans le camp achetaient et vendaient des drogues. Pendant la rencontre avec les visiteurs, les toxicomanes sont séparés des visiteurs par une glace. Ils communiquent par l'intermédiaire du téléphone, sous une sévère surveillance. Comment peuvent-ils obtenir ces drogues ? Quelques pratiquants ont rapporté les commerçants de drogues à la police, mais la police a interdit aux pratiquants d’en parler. Pourquoi ? Parce que la police elle-même est impliquée.

Le pratiquant Liang Shoulin a écrit dans son journal intime au sujet des divers comportements illégaux des policiers, tels que battre les gens, vendre des drogues et corrompre les policiers en service avec des milliers de Yuan [la devise chinoise, le salaire mensuel moyen pour un ouvrier urbain chinois est environ 500 Yuan]. Résultat, il lui a été interdit d'écrire.

Beaucoup de parents de ces toxicomanes ont espoir qu'ils puissent renoncer à leur dépendance dans le camp de travail. Malheureusement, l'implication  de la police dans la vente des drogues les mène à se détruire davantage.

Les pratiquants, Xing Beishong de la ville de Jieyang, Liu Fangfei du comté de Longmen et Cai du comté de Dianmai ont été battus et électrocutés avec les bâtons électriques. La police les a enfermés dans de petites cellules, a menotté leurs mains sur les deux côtés et a commencé à les torturer avec des bâtons électriques. Les policiers riaient au point d'en avoir le visage tordu alors  qu'ils torturaient les pratiquants. Quand les pratiquants qui avaient été torturés avec les bâtons électriques, sont sortis des petites cellules, leurs mains étaient dangereusement gonflées pour avoir été menottées pendant longtemps. Leurs visages étaient gonflés comme s’ils avaient souffert de l'œdème et il y avait de grandes taches de sang sur le corps. Afin de dissimuler leurs crimes brutaux, la police a ordonné à ces pratiquants ne pas parler des tortures qu'ils avaient endurées, sans quoi ils auraient à subir une  torture bien plus grave.

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/11/31981.html

http://www.minghui.cc/mh/articles/2003/1/29/43562.html

Traduit au Canada le 12 février 2003