Par des pratiquants du Falun Dafa au Canada

(Minghui.org)

Selon des nouvelles de Montréal, le 26 mars (heure de Shanghai), Monsieur Lin Mingli a été libéré et est retourné à son domicile après avoir été illégalement condamné à deux années d'emprisonnement dans un camp de travail forcé en raison de sa pratique du Falun Gong.

Le 24 mars 2003, les pratiquants chinois à Montréal, Canada, ont tenu une conférence de presse demandant au Gouvernement de libérer le pratiquant du Falun Gong, Lin Mingli, qui était détenu au camp de travail forcé no 3 à Shanghai.

La conférence de presse

Plus de 3000 signatures collectées sur un très grand

morceau de toile

Le résident et pratiquant montréalais, Lin Shenli, qui a récemment été libéré avec succès du même camp de travail forcé de Shanghai l'an dernier, a narré ses atroces épreuves durant son incarcération de deux ans. Il a dit : « Je suis très inquiet à propos de la situation de mon frère. Il a été rapporté qu'il a été nourri de force, causant la lacération de son eusophage et il était incapable de manger quoi que ce soit. Comparé à lui, je suis très chanceux d'avoir été libéré grâce aux efforts conjugués de ma femme au Canada, du Gouvernement canadien et de la population, afin que je puisse venir ici pour lancer un appel à la rescousse de mon frère. Mais comparé à d'innombrables pratiquants du Falun Gong qui souffrent de la persécution, mon frère est très chanceux, car il fait partie d'un des 13 membres des familles persécutés, lesquels font l'objet d'une tentative de rescousse tel que mentionné dans une résolution passée au Parlement canadien. Chaque appel et chaque effort de l'étranger a joué un rôle important en diminuant la persécution de mon frère et en l'aidant à regagner sa liberté.

Il a aussi dit : « demain, le 26 mars (heure de Shanghai), est le dernier jour de sa peine d'incarcération de deux ans au camp de travail forcé. Je demande aux autorités de Shanghai de libérer immédiatement et inconditionnellement mon frère, Lin Mingli, et de lui redonner sa liberté.

Au cours de la conférence, les pratiquants ont déployé un rouleau de toile contenant plus de 3 000 signatures collectées par les pratiquants montréalais et envoyé à la Commission des droits de l'homme des Nations Unies, pour lancer un appel à la communauté internationale de nous aider à stopper les crimes commis sur les pratiquants par les autorités chinoises. À ce jour, 637 cas de persécution à mort ont été vérifiés.


Traduit au Canada le 28 mars 2003.