Par Free Man

(Minghui.org)

Selon le reportage, les journalistes de Sing Tao Daily ont échoué dans leur tentative d’entrer sur le site Internet principal de Sina, www.sina.com.cn; lorsqu’ils ont essayé un autre site, www.dailynews.sina.cn, une page de Falun Gong est apparue. Les journalistes ont aussi trouvé que la page qui apparaissait sur le site Sina changeait de Minghui Net à Wenxuecheng [un site de littérature]. Sing Tao Daily a aussi rapporté qu’un site Web d’un journal majeur dans la ville de Shenzhen, Chine, avait aussi fait l’expérience de la même chose. Les gens ne pouvaient entrer à ce site via Yahoo!, Google ou l’engin de recherche de People's Daily. La page Web qui apparaissait était Minghui Net, qui alternait avec le site Web Wenxuecheng. Sing Tao Daily a aussi dit que les gens jasaient qu’étant donné que le 1er octobre [le jour national chinois] et le rassemblement de 16e Congrès du Peuple approchaient, ils rencontreraient des difficultés à entrer à People's Daily, Xinhua Net, Sina Net et Sohu Net. Les gens suspectaient que ces sites, qui sont supporteurs des politiques de Jiang [un ignoble qui n’est pas populaire auprès du peuple] avec toute leur puissance, étaient ciblés.

Ces sites Web en Chine Continentale sont en réalité contrôlés par la dictature de Jiang, peu importe s’ils sont des propriétés gouvernementales ou privées. Ils tentent de leur mieux de renchérir au sujet du dictateur, calomnient les innocents et trompent le public, en échange de richesses acquises indignement. Même le site Web chinois de Yahoo! étant une propriété étrangère a fait une promesse de restreindre certains mots due à la pression de la dictature [Yahoo est le portail occidental du plus haut rang ayant signé la notoire « Promesse publique sur l’autodiscipline pour l’industrie Internet chinoise » qui est au fond une entente pour l’autocensure du contenu que le gouvernement chinois n’aimerait pas]. Ces sites Web qui assistent le mal pour de l’argent seront fort probablement questionnés en cour après l’effondrement de la dictature, et devront compenser pour les dommages qu’ils ont fait aux droits à l’information du peuple de Chine Continentale.

Peu importe qui a brisé le blocus Internet, ils résistaient pacifiquement au blocus Internet de Jiang et son manque d’égard envers les politiques. C’était aussi une protestation pacifique contre les sites Web reliés qui ne regardent que les bénéfices financiers et ignorent la droiture, aidant le tyran à faire le mal. Cette action est en effet légale et raisonnable dans l’environnement extrêmement anomal de la Chine. Si la Chine permet la liberté de parole et abandonne ce blocage d’information, je crois que personne ne serait prêt à faire l’effort d’étudier les façons pour percer un blocage de réseau. Qui ne sait pas que la libre navigation en ligne est plus satisfaisante ?

9/30/2002

Traduit au Canada le 20 avril 2003.