(Minghui.org)

Récemment la police du camp de travail forcé pour femmes de Shibalihe dans la ville de Zhengzhou, province de Henan a escaladé la persécution des pratiquantes de Falun Gong. Dans une période d'environ de deux mois, 6 pratiquantes ont été torturées à mort, y compris Guan Ge, 30 ans, de l'Université normale de Henan (située dans la ville de Xinxiang).

Le 6 juin 2003, le quotidien Zhengzhou a fabriqué un rapport déclarant que trois pratiquantes de Falun Gong s'étaient pendues dans la salle d'activité le 4 juin, quand en fait, toutes avaient été torturées à la mort.

Voici  plus d'informations sur la torture  à mort de Guan Ge.

Il n'y a aucune liberté personnelle dans tout  ce camp de travail. Les caméras de surveillance  sont partout. La police a affecté trois à quatre personnes pour surveiller vingt-quatre heures sur vingt-quatre les pratiquantes déterminées. La police a souvent frappé les pratiquantes, jusqu'à  tard dans la nuit. En commençant le  22 avril de cette année, les policiers Jia Meili, Jiang Yanling et Zhou Xiaohong s'étaient promis  « transformer » toutes les pratiquantes déterminées en deux mois. Par la suite, leur escalade de la persécution a provoqué le décès six pratiquantes.

En dépit de la torture et de la pression, Guan Ge n'a jamais vacillé. Elle a fermement refusé de coopérer avec les ordres de la perversité. Le policier Jia Meili (aussi le capitaine de la brigade numéro trois) a alors ordonné aux  toxicomanes, Yan Ping et Fu Jinyu, de torturer Guan Ge et d'autres pratiquantes. Ils ont attaché les pratiquantes et les ont alors choquées avec des bâtons électriques. Voyant que ces tortures n'avaient pas atteint leur objectif ils les ont alors soumises à une torture connue sous le nom de « vêtements attachés.»

« Les vêtements attachés » est une torture extrêmement cruelle utilisée sur les pratiquantes. Ils utilisent un type de camisole de force. Les victimes sont forcées de porter ces camisoles de force et leurs bras sont attachées derrière leur dos avec des courroies. Ensuite, leurs bras sont tirés par en avant en passant par dessus leurs épaules, puis attachés étroitement avec leurs jambes. Pour les faire souffrir encore plus, la police les a forcées à porter des écouteurs annonçant des programmes diffamatoires au sujet de Falun Dafa. Avec leur bouche couverte, ils sont alors suspendues sur l'armature d'une fenêtre. Habituellement, la police soumet les pratiquantes déterminées à une telle torture durant une journée et  une nuit au moins. Cette torture souvent brise les os des épaules, des coudes, des poignets ou même ceux de l'épine dorsale. Beaucoup les victimes se sont évanouies à cause de  la douleur insupportable.

En raison d'une variété de tortures, Guan Ge est morte. Sa famille a vu des contusions sur sa tête et son corps.

Un directeur, appelé Liu, du bureau d'éducation de travail de la province de Henan est venu sur les lieux après la réception du rapport de la mort des pratiquantes de Falun Gong. Cependant, non seulement il n'a pas retenu  la responsabilité des meurtriers, mais il les a félicités pour leur      « bonne performance  dans leur torture du  Falun Gong ». Il a même approuvé la libération prématurée de deux mois, pour  la peine de prison de Yan Ping et de Fu Jinyu.

Les pratiquants de Falun Gong sont les citoyens légaux et ils ont droit aux droits humains de base. Cependant, le camp de travail a totalement négligé leurs droits et les a torturés à la mort.

Le camp de travail forcé pour femme de Shibalihe effectue la politique de Jiang « les décès sous les tortures des pratiquants de Falun Gong sont comptés comme des suicides ».  La torture à mort  de  Guan Ge et des autres pratiquants de Falun Gong montre l'évidence encore plus des crimes de Jiang. Nous espérons que les personnes au cœur de bonté puissent voir la nature perverses des troupes démoniaques de  Jiang et aider à soutenir la justice et à finir le massacre des pratiquants de Falun Gong.