(Minghui.org)

Ecrit par un pratiquant de Falun Gong de Hengyang, Chine

En réfléchissant à mon expérience de clarification de la vérité en Chine, j’ai trouvé que deux groupes de gens avaient de grosses difficultés à accepter la vérité : les enseignants et les membres des équipes gouvernementales. La plupart de ces personnes ont reçu leur éducation dans des écoles et des universités où ils ont été endoctrinés à l’athéisme du système moderne de l’éducation. Quand ils entendent le mot « Dieu », ils parlent tout de suite de superstition, ils se moquent et critiquent la personne qui a utilisé le mot en la traitant de « stupide et sous éduquée ». Le droit de faire appel est garanti par la constitution chinoise, mais ils considèrent les appels légaux des pratiquants du Falun Gong comme « impliqués dans les affaires politiques ». Ils insistent sur le fait que si nous persistons à pratiquer quelque chose interdit par le gouvernement alors nous sommes contre le gouvernement et nous sommes une menace à la souveraineté du pays : nous faisons donc de la politique. Les enseignants et les membres du gouvernement sont assez peu disposés à me laisser leur clarifier la vérité. Certains essayent même de m’éviter.

Récemment j’ai rencontré plusieurs enseignants d’un bureau cantonal de l’éducation. Contre toute attente, ils ont soulevé le sujet du Falun Gong et nous en avons discuté de manière interactive. Ils ont dit que lorsqu’ils sont allés visiter Hong Kong pendant les vacances d’été ils ont vu de nombreuses bannières disant « Falun Dafa est Bon », « Falun Dafa est Droit », « Non à la Persécution du Falun Gong », « Amenez Jiang à la Justice », et d’autres. Les bannières étaient accrochées partout le long des rues et allées de Hong Kong. Ils ont aussi été spectateurs d’une grande et majestueuse parade de Falun Gong. J’ai alors saisi l’opportunité de leur clarifier la vérité un peu plus. Ils ont alors soudain compris toute l’histoire du Falun Gong et de la persécution.

Une fois, j’ai emmené ma fille avec moi pour dîner avec eux. Alors qu’ils parlaient de la situation du Falun Gong à Hong Kong, ma fille a sorti plusieurs « cartes de bonne fortune » (1) et les a mises sur la table. Chaque enseignant en a pris une et a dit « A Hong Kong, on avait peur et on n’a pas pris de documents sur la vérité tendus par les pratiquants, on avait encore plus peur de les ramener à la maison. Maintenant, on a plus peur ».

(1) Les « cartes de bonne fortune » contiennent un texte présentant la vérité à propos du Falun Gong et de la persécution. Les distribuer est une façon de clarifier la vérité en Chine.

Le 23 septembre 2004.

Traduit de l’anglais en Europe le 03 novembre 2004 :