(Minghui.org)

Par Lin Zhanyang, reporter de Minghui

Selon les statistiques recueillies par Minghui.net, entre le 20 juillet 1999 et le début du mois de juillet 2004, au moins 1'000 cas de pratiquants de Falun Gong tués par torture ont été authentifiés. Ils ont été tués parce qu’ils refusaient de renoncer à leur croyance dans « Authenticité Bienveillance Tolérance » ; 52% d’entre eux sont des femmes et 48% sont des hommes, dont l’âge moyen des pratiquants persécutés à mort est de 44 ans. Le pratiquant le plus jeune était une adolescente de 17 ans, étudiante au lycée de Cheng Ying (province de Heilongjiang). Le plus âgé des pratiquants persécutés à mort était Yang Yongshou, un gentil homme de 82 ans vivant dans la province de Sichuan. Depuis le mois de juillet 1999, la moyenne des pratiquants tués s’élève à 17 personnes par mois.

La persécution est répandue dans la Chine toute entière

Ces 1’000 morts sont survenus dans 30 provinces, régions autonomes et villes autonomes. Les provinces parmi lesquelles on compte le plus de tués sont : la province de Heilongjiang (159), la province de Jilin (126), la province de Liaoning (110), la province de Shandong (107), la province de Hebei (103), la province de Sichuan (66), la province de Hubei (44), la ville de Chongqing (30), la province de Henan (29), la ville de Beijing (27), la province de Guangdong (27), la province de Gansu (26) et la province de Hunan (25). [Remarque ; la parenthèse indique le nombre de cas de pratiquants tués dans les provinces correspondantes]

Ces 1'000 cas répertoriés ont été authentifiés grâce à différentes sources. Toutefois ces cas ne sont que la partie visible de l’iceberg. Selon des statistiques internes du gouvernement chinois, datant de la fin du mois d’octobre 2001, le nombre de pratiquants de Falun Gong torturés à morts avait déjà atteint les 1'600 ; au moins 6'000 pratiquants ont été illégalement condamnés à des sentences de prison ; plus de 100'000 ont été envoyés dans des camps de travaux forcés ; des milliers de pratiquants ont été enfermés dans des hôpitaux psychiatriques pour leur faire subir des injections de drogues destinées à détruire leur système nerveux et de nombreux pratiquants ont été enlevés et ont subi une persécution mentale par des lavages de cerveaux ; plus de gens encore ont été battus et extorqué de leur argent.

Les pratiquants de Falun Gong cultivent selon les principes d’ « Authenticité Bienveillance Tolérance ». Ils s’efforcent d’être de bonnes personnes, avec un caractère noble. Ils proviennent de toutes les couches de la société. Le terrorisme d’état orchestré par le groupe de Jiang Zemin affecte directement 70 à 100 millions de pratiquants. Si l’on prend en considération les membres de leur famille et leurs proches qui sont aussi impliqués dans la persécution alors le nombre augmente à plusieurs centaines de millions. En réalité le nombre de personnes affectées par cette persécution est sans précédant.

Le terrorisme d’état est épouvantable

La seule raison pour laquelle les pratiquants sont torturés à morts est leur refus d’abandonner leur croyance dans « Authenticité Bienveillance Tolérance » et le fait qu’ils s’efforcent d’être de bonnes personnes. Tous ces pratiquants sont morts de cause non naturelle. Même si chacun d’entre eux a peut-être été victime de tortures différentes, se sont tous des victimes directes du terrorisme d’état imposé par Jiang Zemin. Certains d’entre eux ont été battus à mort, d’autres ont été graduellement tourmentés jusqu’à la mort, certains sont morts à cause des gavages forcés, certains ont péri après qu’on leur ait injecté des drogues visant à endommager leur système nerveux central ; certains ont trépassé après s’être effondrés mentalement.

Par exemple, selon un rapport du Wall Street Journal datant du 23 avril 2000, Mme Chen Zixio, âgée de 59 ans vivant à Xujiaxiaozhuang, Beiguan (district de Weicheng, ville de Weifang, et province de Shandong), a été arrêtée le 16 février 2000. Le 21 février 2000, elle a été battue à mort.

M. Wang Bin, était un ingénieur d’ordinateurs à l’Institut de Design de pétrole de Daqing dans le département de gestion. Il était âgé de 47 ans. Il avait, par le passé, reçu le 2e Prix du concours pour le « Prix de la Science et de la Technologie Nationale. » Il a été condamné au camp de travaux forcés pour s’être rendu à Bejing pour y faire appel en faveur du Falun Gong. La nuit du 27 septembre 2000, alors qu’il était détenu au camp de travaux forcés, 4 ou 5 prisonniers l’ont sévèrement battu. Feng Xi, le directeur de la deuxième équipe du camp de travaux forcés en avait été l’initiateur. Cette torture a causé la rupture de l’artère de son cou et celles de nombreux vaisseaux sanguins majeurs. Ses amygdales ont été blessées, ses vaisseaux lymphatiques écrasés (la circulation a été coupée) et plusieurs os ont été fracturés.

Des traces de brûlures de cigarettes étaient visibles sur la paume de ses mains et à l’intérieur des narines. Il y avait plusieurs bleus sur tout le corps. Il est mort durant la nuit du 4 octobre, suite à ses graves blessures, dont la rupture de vaisseaux sanguins et une attaque cardiaque. Après sa mort, son coeur et son cerveau ont été retirés de son corps. Wang Chunbia et Qi Jingfu, deux experts médicaux, les ont pris à l’hôpital de Longnan, pour les disséquer avant de les jeter.

Les coups de feux tirés sur des pratiquants de Falun Gong, le 28 juin 2004, en Afrique du Sud ont choqué la communauté internationale. C’est un fait, que de tels actes terroristes sont perpétrés depuis longtemps en Chine. Par exemple, Lui Chengjun, un pratiquant de la ville de Changchun dans la province de Jilin, âgé de 32 ans, était poursuivi par la police pour avoir retransmis par la télévision des programmes clarifiant la vérité sur le Falun Dafa. Le 5 mars 2002, la police l’a capturé et lui a tiré deux balles dans les jambes provoquant de graves blessures. Il a été condamné à 19 années d’emprisonnement dans la prison de Jilin, ou il a soufferts de multiples tortures. Le 26 décembre 2003, à 4 h 30 du matin, il est mort à l’hôpital dans la province de Jilin. Dans le but de cacher les crimes perpétrés, la police n’a pas tenu compte de l’opposition de la famille et a, sans ménagement, incinéré le corps le matin même à 10 h 40. Des témoins ont rapporté que du sang coulait des narines, des oreilles et des jambes de Liu.

A cause du strict blocage de l’information imposé par le groupe de Jiang Zemin, la vraie situation de la persécution des pratiquants de Falun Gong ne peut pas être pleinement illustrée à travers seulement l’emploi des statistiques. Le groupe de Jiang Zemin manipule le gouvernement chinois pour qu’il persécute systématiquement et même tue ses propres concitoyens. Le degré de la brutalité de cette persécution est sans précédent. Toutes les bonnes personnes de ce monde devraient se lever debout pour condamner cette persécution qui ruine l’humanité.

Le combat désespéré du groupe de Jiang

De plus en plus de personnes sont parvenues à voir à travers les mensonges fabriqués par Jiang et ses partisans. Même si c’est très difficile de maintenir sa persécution, le groupe de Jiang Zemin ne changera pas sa nature maléfique et il continuera de persécuter des citoyens innocents.


Entre le 1er janvier et le 30 juin 2004, 165 morts ont été authentifiés à travers différentes sources ; 90 d’entre eux ont été tués avant 2004 alors que 75 d’entre eux ont été tués en 2004.

Le denier incident de la fusillade en Afrique du sud permet aux gens de voir comment Jiang et ses partisans étendent leur persécution en dehors de la Chine continentale et comment frénétique ils sont dans leur combat désespéré.

Le groupe de Jiang fait face à des procès devant les tribunaux de conscience, de moralité et de légalité

Faisant face à des procès devant des tribunaux de conscience, de moralité et de droit, Jiang et son groupe de gangsters ne peuvent pas se sentir à l’aise.

Le procès global de Jiang devant la cour de la conscience humaine a déjà été mené dans beaucoup de villes, dans plus de 20 pays du monde. Récemment une activité (1) intitulée « Piétiner la face de Jiang » ou les participants piétinent les photos de Jiang est devenue populaire, en dehors de la Chine continentale. Le 1er juillet, de telles activités ont été menées ouvertement dans Hong Kong. Des observateurs, qui sont familiers avec les affaires de la Chine, pensent que « Piétiner la face de Jiang » permet aux personnes ordinaires d’exprimer leurs opinions, sans avoir à attendre que fonctionnaires hauts placés mènent Jiang devant la justice. L’utilité d’une telle activité est prévue, pour attirer la participation des les citoyens en Chine, dans un futur rapproché.

 Devant les tribunaux de justice, des actions ont été intentées aux Etats Unis, en Belgique, en Allemagne, en Corée du Sud et en Espagne. Ses gangsters font aussi l’objet de poursuite dans divers pays.

Ayant commis d’innombrables crimes, le groupe de Jiang ne parviendra jamais à échapper au procès devant la cour de la moralité. Ils vont recevoir la punition qu’ils méritent.

(1) Les pratiquants de Falun Gong n’ont pas été les initiateurs de cette activité. Nous y faisons seulement référence ici, pour illustrer la basse opinion de Jiang qu’a le peuple et leur désir de voir traduit en justice pour ses crimes contre l’humanité.