(Minghui.org)

Par une pratiquante de Qinhuangdao

Le matin du 30 août 2009, le chef de la Station de police de Zhanqian dans l'agglomération de Qinhuangdao, province de Hebei, et plusieurs policiers ont fait une descente à mon domicile alors que mon fils était seul à la maison. Ils l'ont emmené au poste de police et forcé à s'asseoir sur un Banc pour ne le relâcher que très tard.

C'était à 9h le 30 août. Des agents de la Station de police de Zhanqian sont venus chez moi alors que mon fils y était seul. La porte était ouverte et ils sont entrés sans frapper. Ils se sont également enquis de mes voisins. Lorsque l'un d'entre eux, Liu Ran, a vu la photo du Maître, il s'est arrêté devant elle et a appelé le poste de police. Il a dit "Il y a ici un pratiquant de Falun Gong." Mon fils lui a dit "Ne vous occupez pas de ça. Faites juste comme si vous n'aviez rien vu." La police n'a rien voulu entendre.

Wang Bin, le chef du poste de police et plusieurs policiers ont demandé à mon fils "Ta mère pratique Falun Gong ?" Mon fils a répondu "Je n'en sais rien." Ils ont fouillé notre maison et trouvé des matériaux d'information et plusieurs livres de Dafa. Ils ont essayé de forcer mon fils à m'appeler mais il a refusé de coopérer, alors ils l'ont vraiment malmené.*

Ils ont vu un ordinateur et ont trouvé deux processionnels pour l'ouvrir. Lorsqu'ils leur ont dit qu'il était" plein d'informations concernant Falun Gong", ils ont dit qu'ils devaient continuer à chercher, mais le courant a tout à coup été coupé, alors ils ont juste pris les livres de Dafa et les matériaux et sont partis avec.

Un moment plus tard, ils sont revenus chercher l'ordinateur pour un examen plus poussé. Mon fils a essayé de les en empêcher. Ils l'ont maintenu contre un bureau et empêché d'interférer. Ils lui ont reproché de m'avoir informée. Finalement, ils ont emmené lui et l'ordinateur à la station de police.

Là, ils ont mis mon fils de 18 ans sur un Banc du tigre. Il n'a pas coopéré mais ils l'ont forcé à s'y asseoir pendant plus d'une heure. Ils l'ont aussi constamment menacé. Un policier lui a demandé :" Ta mère peut-elle venir ?" Mon fils a répliqué : "Si c'était votre mère, lui demanderiez vous de venir ?" La police n'a rien pu obtenir de lui. Mon enfant a été détenu et relâché à 21 heures passées.

Traduit de l’anglais