(Minghui.org)

Rapport de synthèse par un correspondant Clartés et Sagesse en Chine



Suite de


Première partie: http://fr.minghui.org/news/1111/09/E128512_20111004_Fr.html


Deuxième partie: http://fr.minghui.org/news/1111/13/E128806_20111016_Fr.html


Troisième partie: http://fr.minghui.org/news/1111/17/E129000_20111026_FR_.html


Quatrième partie: http://fr.minghui.org/news/1111/18/E129057_20111028_Fr.html


Cinquième partie: http://fr.minghui.org/news/1111/20/E129065_20111029_fr.html


Sixième partie : Avortements forcés


Il est un instinct naturel pour l'homme de protéger et prendre soin de la femme enceinte, prendre soin des femmes enceintes et prendre soin de la vie et de la future génération. Contrairement à cette valeur universelle, le Parti communiste chinois (PCC) manque de respect envers la vie. À travers la persécution du Falun Gong par le PCC, le PCC a sanctionné la torture extrêmement violente des femmes enceintes. Certaines de ces femmes ont souffert des avortements forcés. Parfois, les bébés étaient encore en vie après l'avortement, mais ont été tués par les médecins et /ou des policiers. Ces cas démontrent comment le PCC utilise son dispositif national comme un outil pour tuer et abuser des femmes et de leurs enfants.


Le bébé choqué à mort


Gua Wenyan a commencé à pratiquer le Falun Dafa en mai 1999. Avant, elle travaillait dans une usine d'appareils électriques du département de service de la ville de Yinchuan dans la région autonome de Ningxia Hui.


Juste après le début de la persécution, Mme Guo s'est rendue à Pékin faire appel pour le Falun Gong le 28 février 2000. Elle a été arrêtée illégalement dans un hôtel à Pékin et elle a été relâchée plus d'un mois plus tard, mois pendant lequel elle a été interrogée et torturée.


En 2003, Guo Wenyan était de nouveau enceinte. Elle est retournée dans sa ville natale dans la province de Shaanxi avec son mari après qu'ils aient décidé de garder le bébé. Un jour, pendant qu'ils parlaient le long de la route, Wan Jucai, un fonctionnaire du poste de police de Tiedong, les a suivis. Il a appris que Mme Guo était enceinte et il a appelé une véhicule de police et les a ramenés à leur maison. Peu de temps plus tard, environ 30 personnes du poste de police et de la commune se sont rendues au domicile du couple. Ces personnes ont envoyé Mme Guo immédiatement à l'hôpital spécial de planification familiale, un hôpital spécialisé dans les avortements selon la politique de l'enfant unique. Ils ont imposé un avortement à Mme Guo et ils ont forcé sa famille à écrire des lettres d'acceptation portant leurs signatures.


Le bébé devait avoir presque sept mois, au moment où l'avortement a été imposé. La belle-mère de Mme Guo a vu le bébé qui était vivant et elle a dit : « Prenons le bébé avec à la maison. » Un peu plus tard, le médecin a entendu le bébé pleurer et il a choqué le bébé à mort.


Le mari de Guo Wenyan a été policier au poste de police de la ville de Yinchuan. Quand la persécution de Falun Gong a commencé, sa société a exercé de la pression sur lui afin qu'il arrête de pratiquer le Falun Gong. Il l'a refusé et il a perdu son emploi. Il en a tellement souffert psychologiquement qu'il a pris le lit et a été malade pendant six mois.


Des coups violents donnés à une personne, enceinte depuis quatre mois


Luo Biqiong avait 36 ans en 2004. Elle vivait au n° 52 dans la rue Liu'erqiao, dans la canton de Yingshan, à la ville de Nanchong, dans la province du Sichuan.


Le 24 décembre de l'an 2000 du calendrier lunaire chinois, Mme Luo et son mari sont allés visiter sa belle-mère pour fêter le Nouvel An Chinois. Pendant qu'elle dormait vers 23 heures, Li Wusheng, l'ancien chef de la direction du bureau de gestion de la terre dans le faubourg de Lushui, dans le canton de Yinshan, a envoyé à sa maison, une équipe de dix policiers du poste de police de Lushui pour l'arrêter. Luo Bigiong a été emmenée à une session de lavage de cerveau au bureau de la commune dans le faubourg de Langchi.


Le lendemain, vers 14h00, cinq personnes ont emmené Luo Biqiong dans une petite pièce et lui ont demandé d'arrêter la pratique du Falun Gong. Elle a refusé. Ces personnes lui ont donné des coups aux cuisses, au ventre et dans le dos. Ils l'ont forcée à s'agenouiller et ils lui ont fait subir une douche de coups et de claques au visage, aux mains, à la tête et aux talons. C'était très douloureux pour Mme Lio. Elle était couverte de bleues, sa bouche était couverte de cloques, et ses jambes sont devenues pourpres. Elle a perdu le contrôle de sa vessie et elle a commencé à saigner. Il ne lui a pas été permis de changer de pantalon. Mme Luo était enceinte de quatre mois.


Quand elle est retournée chez elle, plusieurs agents PCC ont appris que Mme Luo continuait sa pratique du Falun Gong. Ils se sont rendus à sa maison et ils ont emmené de force Mme Luo afin de lui imposer un avortement. Après que le bébé ait été tué, Mme Luo a été forcée à fuir de sa ville natale.


Avortement imposé en étant humiliée par des policiers


Geng Juying, à l'âge de 32 ans, vivait dans le village de Luozhuang, dans la banlieue de Chebgbo, dans la ville de Mengzhou dans la province du Hunan.


En décembre 1999, dans le but de dire au gouvernement que Falun Dafa est bon, Mme Geng s'est rendue à Pékin faire appel et cela, avec sa fille qui avait huit mois. Elles ont été détenues par la police de Pékin et elles ont été transférées à leur village. La fille a été détenue au Centre de détention de la ville de Mengzhou. Mme Geng ne disposant pas suffisamment de nourriture, elle ne produisait pas assez de lait pour nourrir son bébé. Le bébé pleurait souvent à cause de la faim. Quand les fesses du bébé étaient mouillées pendant des journées de neige, la police ne lui donnait pas la permission d'aller au soleil avec le bébé ni de lui changer ses langes ou ses pantalons. Comme le bébé souffrait terriblement, la maman souffrait également.


Le 25 mai 2002, Geng Juging a été arrêtée par des policiers du Bureau de la sécurité publique et le Bureau 610 de la ville de Mengzhou. Les policiers ont grimpé la clôture afin de faire irruption dans sa maison. Afin d'obtenir un bonus, ils ont forcé Mme Geng à subir un avortement. Quand Mme Geng souffrait beaucoup sur son lit, plusieurs policiers l'ont regardée et se moquaient d'elle, « Tu es belle. Nous voulons te voir subir un avortement. » Geng a dû subir un avortement forcé pendant que les policiers l'humiliait. Plus tard, elle a été détenue au Camp de travail forcé de Shibalihe, dans la ville de Zhengzhou, province du Henan.


Un enfant porté à terme démembré


Zhang Hanyun, qui a 33 ans, est originaire du district de Hantai, de la ville de Hanzhong dans la province de Shaanxi.


Pendant des années, Mme Zhang n'avait pas réussi à avoir de bébé. Après avoir pratiqué le Falun Gong pendant deux semaines, elle était enceinte. Toute la famille était très reconnaissante envers le Falun Dafa.


Vers mars 2001, le bébé était sur le point de naître. En attendant la naissance, elle logeait chez quelqu'un de sa famille. Cependant, le Bureau 610 de la ville de Hanzhong voulait faire son arrestation et l'emmener dans un centre de lavage de cerveau. Ma Ping'an, le responsable politique du poste de police du district de Haitai, a rassemblé une équipe pour l'arrestation de Zhang Hanyun. Comme il ne pouvait pas la localiser, ils ont suspendu le site de construction du père et du frère de Mme Zhang, afin de forcer la famille à dénoncer Mme Zhang. Ils ont également menotté le mari de Mme Zhang au bout du pont sur la rivière Jialing dans le canton de Lueyang afin de l'humilier publiquement. Finalement, ils ont trouvé Mme Zhang et l'ont emmenée au centre de lavage de cerveau.


Quand il ont appris que Mme Zhang allait bientôt accoucher, ils l'ont emmenée à un hôpital 30 km plus loin pour lui imposer un avortement. Le bébé étant trop grand pour utiliser les techniques habituelles d'un avortement, ils ont coupé le bébé en pièces dans son corps et l'ont sorti morceau par morceau de son corps. Le procédé a été d'une brutalité indescriptible.


Avortement imposé pour prolonger une sentence d'emprisonnement


Liu Zhiping, qui a 39 ans, a commencé la pratique Falun Dafa en 1997. Avant, elle travaillait à l'hôtel Jiatong appartenant au Groupe Jiaotong, à Chuciong Yi, la préfecture autonome de la province du Yunnan.


En début de l'an 2000, Mme Liu s'est rendue à Pékin faire appel pour le Falun Gong et elle a été détenue au Camp de travail forcé pour femmes de la province du Yunnan. Après y avoir été détenue pendant un certain temps, la sœur aînée de Mme Liu a aussi été détenue à cet endroit. En août 2000, Liu Zhiping était enceinte de cinq mois. Quand sa sœur a appris qu'elle était souvent battue et qu'elle devait faire des travaux forcés et courir chaque nuit jusqu'au matin, elle a dit au camp que sa sœur était enceinte. Selon la réglementation du camp de travail forcé, les femmes enceintes doivent rentrer à la maison. Mais les gardiens ont voulu persécuter Mme Liu, donc plusieurs jours plus tard, ils l'ont envoyée à l'hôpital pour lui imposer un avortement. Les gardiennes se sont écriés : « Si tu ne te transformes pas, tu devras rester ! »


Après deux tentatives d'avortement, le bébé a finalement été tué.


Envoyée au camp de travail forcé après un avortement imposé


Tang Jin'ai vivait dans le faubourg de Luogang, dans le district de Baiyun, dans la ville de Guangzhou, province du Guandong.


En décembre de l'an 2000, Tang Jin'ai s'est rendue à Péking faire appel pour le Falun Gong. Elle a été arrêtée et envoyée au Centre de détention de la ville de Zengcheng. Mme Tang souffrait de nausées et vomissait. Après un examen ultrasonique, l'hôpital a constaté que Mme Tang était enceinte de deux mois. Le centre de détention l'a relâchée.


Pourtant, quand Tang Jin'ai a quitté le centre de détention, le policier Luo Weijun du poste de police du faubourg et un autre policier habillé en civil l'ont suivie. Le policier en civil a ordonné à Mme Tang de monter dans la voiture, pendant que Luo Weijun a disparu. Mme Tang a été conduite vers un centre de plannification de la famille.


Les policiers ont essayé à forcer Tang Jin'ai à subir un avortement. Elle a refusé d'entrer dans la salle d'opérations en s'accrochant au chambranle de la porte. Six policiers l'ont pris de force et l'ont poussée sur la table d'opération. Mme Tang a dit de cette épreuve : « Ce sont de mauvaises personnes, ils ne voulaient même pas épargner un fœtus ! Ils l'ont exécuté sans ma signature, sans aviser les membres de ma famille, y compris mon mari. Ils ont même dit, «Personne n'interviendra jamais ! »


Le jour du Nouvel An en l'an 2001, la police a dit qu'elle allait emmener Tang Jin'ai à l’hôpital pour un contrôle, et en réalité, elle a été envoyée à un centre de détoxication pour y être persécuter davantage. Mme Tang a raconté au médecin qu'elle se sentait souvent fatiguée et qu'elle avait mal au bas du dos et qu'elle avait la tête qui lui tournait. Pourtant, le médecin ne voulait pas noter ce qu'elle disait parce le policier Liu Weijun avait déjà ordonné au médecin d'indiquer que « tout est normal » comme diagnostique. Mme Tang a alors été envoyée au centre de réhabilitation des drogués et elle a passé le Nouvel An là-bas.


Tang Jina'ai a refusé de quitter la pratique du Falun Gong. Après deux moi, elle a également été envoyée au Camp de travail forcé de la ville de Guangzhou pendant un an et demi. En 2002, après que Mme Tang avait été envoyée au centre de travail forcé, sa santé s'est gravement détériorée et elle a souffert d'un rhumatisme postpartum. Quand il y avait beaucoup de vent, ses orteils et tout son corps se gonflaient et elle avait mal au bas du dos.


Mari et fœtus tués


Luo Fang, qui a dans la trentaine, habite au villag de Nongchang, dans le district de Shawan, dans la ville de Leshan dans la province du Sichuan. Mme Luo et son mari Shen Lizhi ont un diplôme d'enseignement supérieur.


Le premier février 2002, quand Luo Fang et son mari attendaient le bus n° 75 dans la ville de Chengdu dans la province du Sichuan, ils ont été arrêtés par des fonctionnaires du poste de police de Yingmenkou. La police a déclaré que le couple avait du matériel du Falun gong et les a envoyés au Centre de détention de la ville de Chengdu. Un mois plus tard, Shen Lizhi a été torturé à mort, durant l'après-midi du 3 mars 2002, à l'hôpital du district de Qingyang dans la ville de Chengdu. A ce moment-là, Monsieur Shen avait rempli les papiers nécessaires pour quitter la Chine.


Quand Mme Luo a été arrêtée, elle était enceinte de huit mois ; le Bureau 610 l'a forcée à subir un avortement. Le 28 mai 2002, Luo Fang était très faible et elle a été libérée temporairement. Le 5 décembre 2002, elle a, de nouveau, été arrêtée. Elle a été torturée et condamnée à douze ans d'emprisonnement, dans la section N°3 de la prison pour femmes de Longguan dans la ville de Chengdu, dans la province du Sichuan.


Le policier Tian Xinmin du Bureau 610 est non seulement responsable de la mort de Shen Lizhi, mais il est également le tueur du bébé de Mme Luo. Luo Fang était une jeune femme en bonne santé, mais elle a été injecté avec une drogue inconnue et est actuellement paralysée. Elle sait seulement rouler son corps et bouger ses pieds pour se déplacer.


En novembre 2003, Mme Luo ne pouvait plus se tenir debout toute seule. Elle ne pouvait que se déplacer à l'aide de deux tabourets qui la soutenaient. On l'a transportée sur le dos d'une détenue à la Division 12 de la prison pour femmes de Bingjiang pour y subir d'autres abus.


Deux fausses couches dues aux coups violents


Liu Yunxiang habite le village Yangjiazhuang, dans le faubourg de Junfukou, dans la ville de Huaifang, dans la province du Shandong. Elle avait 32 ans quand elle a fait une première fausse couche.


Le 21 janvier de l'an 2000, Hua Guangyong, l'ancien politicien et secrétaire politique et légal du faubourg de Junfukou, et plusieurs personnes qui se trouvaient sous sa responsabilité se sont mis à rassembler des pratiquants Falun Gong afin de les persécuter. C'était un temps glacial. Les gardiens ont forcé les pratiquants à enlever leurs chemises et les pratiquantes à enlever leurs sous-vêtements. Les pratiquants devaient balayer la neige pieds nus et après, rester debout dans la neige. Ils ont été gravement battus avec des ceintures en cuir. Quand une ceinture se brisait elle était remplacée par une autre.


Chaque jour, Xia Bingtang, le responsable légal, forçait les pratiquants à courir trois fois, pendant une heure chaque fois. Les pratiquants étaient forcés de calomnier le Falun Gong en courant. Tous ceux qui refusaient de calomnier ou qui couraient un peu moins vite, étaient battus avec des bâtons ou des ceintures par les gardiens. Après la course, les pratiquants étaient forcés à boire de l'alcool et de fumer (Note : les pratiquants ne boivent pas d'alcool, ni ne fument). Liu Yunxiang avait 32 ans et elle était enceinte. Les coups de bâtons lui ont fait faire une fausse couche. Après quelque jours, les pratiquantes ont été relâchées après qu'on leur ait extorqué de grandes sommes d'argent, variant entre 4000 et 6000 yuans chacune.


Vers minuit un jour d'été en 2001, Mme Liu a de nouveau été arrêtée et battue. Suite à cela, elle a fait une deuxième fausse couche.


Avortement forcé par huit hommes


Wang Guijin habite au village de Huazhuang, dans le faubourg de Lutai, dans la région de Huaiyang, dans la ville de Zhoukou, dans la province du Henan.


Le premier mai 2004, Mme Wang a été arrêtée. Comme elle était enceinte, elle était envoyée au bureau de planification familiale. On ne lui a pas donné de nourriture là-bas.


Le 19 juillet, Wang Guijin a été enlevée de force de la maison de sa mère. Son bébé était prévu naître dix jours plus tard. Elle a été envoyée au bureau de planification familial en raison de la loi de l'enfant unique et elle a été forcée à subir un avortement par huit hommes.


Après cet avortement, le 20 juillet, Mme Wang n'a pas été relâchée et sa famille n'a pas été informée concernant sa situation. Elle était surveillée par le Bureau de police du faubourg de Luta et par le bureau de planning familial. Elle ne recevait pas suffisamment de nourriture. En moins d'un mois, Mme Wang a été envoyée à un centre de détention. Là-bas, un fonctionnaire a remarqué qu'elle ne se portait pas bien et il l'a envoyée pour un contrôle médical à l'hôpital. Là, on a constaté qu'elle avait une hépatite B. Malgré cela on ne l'a pas libérée, elle a été condamnée à une peine de cinq ans par le tribunal régional de Huaiyang. Le père de Mme Wang ayant un certain âge, a été condamné à une peine d'un an sous prétexte « d'entrave à la justice ». En plus, un voisin qui avait logé Mme Wang pendant une nuit a été extorqué de la somme de 2000 yuans par la police. Le mari de Mme Wang, Song Zhenling a été torturé tellement gravement qu'il est devenu aveugle, paralysé et se trouvait sur le point de mourir au Centre de détention régional de Huaiyang. Pourtant, un tribunal du PCC l'a condamné à une peine de dix ans en prison. Leur fils de trois ans a également été enlevé par le Bureau 610 du Département de sécurité à domicile.


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Pendant les douze dernières années, le nombre de cas d'avortements imposés et les meurtres d'enfants des pratiquants Falun Gong de la part du PCC est nettement plus grand que les cas énumérés ici. La brutalité dépasse toute imagination des lecteurs. Ceux qui ont participé à ces atrocités sont devenus un engin meurtrier du PCC.


Comment le peuple chinois peut-il tolérer de telles atrocités ? Comment peuvent-ils continuer de permettre au PCC de commettre la perversité, blesser leurs congénères chinois et détruire la moralité et la conscience des gens ?


À suivre ....



Traduit de l'anglais en Belgique