(Minghui.org)


Lors d'une tentative de coup d'État au Palais contre l'Empereur Hu de Han qui a commencé par des accusations de sorcellerie, le Prince héritier Liu Ju et son fils Liu Jin ont été tués l'un et l'autre. Le fils nouveau né de Liu Jin a aussi été emprisonné. Un inspecteur des forces de la sécurité nommé Bing Ji était chargé de faire l'enquête sur l'affaire et il savait que le Prince héritier Liu Ju avait été accusé faussement. Il a eu pitié du bébé et s'est arrangé pour que Hu Zu et Guo Zhenqing, des prisonnières honnêtes prennent soin de l'enfant dans une pièce agréable.


Plus tard l'Empereur Hu est tombé malade et on l'a informé de l'existence d'un symbole de l'empereur qui apparaissait dans la prison de Changan. Pris de colère L'Empereur Hu a envoyé un émissaire à la prison pour tuer tous les détenus qui s'y trouvaient . Quand l'émissaire est arrivé à la prison ce soir là, Bing Ji a fermé la grille l'empêchant d'entrer et lui a déclaré : « L'arrière petit-fils de l'Empereur est ici. On ne peut pas tuer même quelqu'un d'ordinaire si il n'a pas commis de crime alors comment pourrait-on tuer l'arrière petit-fils de l'Empereur qui est innocent »?


L'émissaire est retourné auprès de l'Empereur et lui a tout rapporté. Une fois que l'Empereur ait compris la vérité, il a décrété une amnistie.


A l'époque ancienne où un Empereur avait droit de vie et de mort selon sa propre volonté, comment se peut-il que le modeste inspecteur des forces de la sécurité Bing Ji ait osé agir contre les ordres impériales et qu'il n'ait pas eu peur qu'on lui inflige une punition sévère ? Bing Ji connaissait la vérité et a agi suivant sa conscience afin de protéger un innocent mais c'était aussi dû à son sens de la droiture et de son devoir en tant qu'inspecteur des forces de la sécurité de faire respecter la loi dans un esprit de justice. Bing Ji a été récompensé pour son acte de droiture plus tard et il a été promu au poste de Premier Ministre.


Cette histoire illustre un principe : Ne jamais perdre votre sens de la justice et ne pas suivre ceux qui ont le pouvoir ni ceux qui désirent l'avoir. Bien regarder les faits, protéger les gens droits et innocents et refuser de devenir l'exécuteur des basses œuvres du pouvoir. Se tenir du côté de la justice apporte du bien à soi-même et correspond au principes du ciel qui dit que le bien est récompensé tandis que le mal reçoit sa rétribution.


En 1992 Le Falun Gong a été présenté au monde. Les principes de Vérité-Compassion-Tolérance ont vraiment apporté de grands bénéfices aux gens tant physiquement que mentalement. Pendant cette période la persécution faite par le régime communiste à travers les efforts constant des pratiquants de Falun Gong beaucoup de personnes ont fait les bons choix.


Dans la ville de Tai'an, province du Shandong il y a deux agents de police. Agent A était très actif dans les arrestations de pratiquants et les descentes à leurs domiciles parce qu'il voulait assurer sa promotion en suivant la ligne de la persécution. Malgré le fait qu'il ait suivi aveuglément le régime et qu'il ait commis de nombreux crimes il a finalement été mis à pied. Quand agent B était envoyé pour fouiller les domiciles des pratiquants il faisait semblant de ne pas voir des livres de Falun Gong ou d'autres documents et même il disait discrètement aux pratiquants de bien les cacher. Il a dit à un pratiquant : « Je crois à ce que Maître Li a dit. Falun Gong est vraiment très bien ! » L'agent B a été promu et il est devenu le chef du poste de police local. Il est toujours très poli avec les pratiquants dans la localité dont il a la charge. Sa famille vit dans la tranquillité.


Un jour il y avait un policier de faction dans la province du Liaoning. Un homme a trainé une femme de force au poste de police et a rapporté à la police qu'elle distribuait des documents de Falun Gong. L'agent a emmené l'homme dans la cour et il lui a dit : « C'est Jiang Zemin qui a commencé cette persécution. Un jour quand le Falun Gong retrouvera sa place le PCC est capable de te nommer en premier comme bouc émissaire. Les choses se sont passées comme ça à l'époque de la Révolution culturelle. L'homme a pris peur puis il a répété sans arrêt : « Oubliez que je suis venu ici. Faites semblant que ça n'a jamais eu lieu ». L'agent s'est retourné en lui disant : « Partez vite d'ici. Je sais que les pratiquants sont tous des gens bien ». Cet agent avait lu quelques livrets du Falun Gong et il savait que la persécution était quelque chose de mal. Il avait participé autrefois dans les pillages de maisons des pratiquants et il voulait faire amende honorable pour ses crimes. Il connaissait le principe de la rétribution karmique et a dit qu'il ferait de son mieux pour protéger les pratiquants de Falun Gong.


Nan Hua est chef d'une division de la sécurité domestique. Il avait été très actif dans la persécution. Après que les pratiquants locaux lui aient parlé à plusieurs reprises il a fini par comprendre la vérité et comment le PCC commet des crimes quand elle persécute des pratiquants. Plus tard il a consenti à quitter le Parti ainsi que ses organisations affiliées. Il a souvent protégé des pratiquants en se servant de son poste d'autorité. Il a relâché des pratiquants qui avaient été arrêtés par la police locale. Il n'a prêté aucune attention aux rapports faits sur les pratiquants et en revanche ils les mettaient en garde pour qu'ils fassent attention. À une occasion un agent a arrêté un pratiquant d'un district adjacent. Nan Hua a insisté pour que le pratiquant soit relâché malgré l'insistance contraire de son adjoint. Grâce à son influence les agents de police sont gentils avec les pratiquants. Récemment quand un pratiquant a été dénoncé, cinq ou six agents l'ont emmené dans une voiture de police. Mais dès qu'ils ont quitté le quartier ils l'ont relâché.



Traduit de l'anglais en France