De la Huitième conférence de partage d’expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)


Salutations au Maître Révéré ! Salutations aux compagnons de pratique !


Je souhaiterais raconter au Maître et aux compagnons de pratique quelques expériences vécues depuis un an et aussi la manière dont j'ai validé la Loi et sauvé les êtres.


1. Cultiver avec diligence et sauver les êtres


Je suis un pratiquant de Falun Dafa d'âge mûr. Ma vraie cultivation se fait le plupart du temps au travail. En suivant les principes du Falun Dafa, je me conduis comme il convient en toutes choses, je m'entends bien avec mes collègues de travail et je traite bien tout le monde. Je fais plus de travail salissant et fatiguant que les autres personnes. J'offre fréquemment d'aider et de faciliter le travail des autres. Dès que j'en ai l'occasion, j'évoque l'importance d'être quelqu'un de bien. Mes collègues pensent que je suis une bonne personne et qu'on peut me faire confiance. Ils acceptent sans difficulté ce que je dis à propos du Falun Gong et la nécessité de quitter le Parti communiste chinois et ses organisations affiliées. Ils me disent : « Vous êtes la personne le meilleure dans ce monde ! » Petit à petit, mon lieu de travail est devenu amical exactement comme Maître nous l'a dit :


«La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement.» (Zhuan Falun)


On prépare les repas à 9 heures, chaque matin, pour les travailleurs du chiffre de nuit et, nous mangeons à tour de rôle. Je suis celui qui mange en dernier. Je mange souvent les restes et parfois il ne reste rien. Mes collègues de travail en ont été très touchés. Personne n'a envie de faire le travail difficile que le surveillant assigne, alors, j'ai pris en main ce travail pendant que les autres faisaient la pause. L'hiver le directeur n'a pas loué de chaudière pour le radiateur et nous avons, de ce fait, été obligés de faire bouillir de l'eau pour avoir de la chaleur. Personne n'avait envie de faire un travail aussi difficile. J'ai fait ce travail pendant mon chiffre et par la suite c'est devenu un des travaux qui m'a été assigné. Quelques personnes ont voulu me défendre en disant que ce n'était pas juste. Je souris toujours et ne me plains jamais. Pendant la période de vacances d'hiver, j'ai toujours été assigné à faire bouillir l'eau. Arrivé à mon tour, il n'y a plus de charbon dans le fourneau, rien que de la cendre. Mais avant de terminer mon chiffre, j'enlève la cendre et je prépare le charbon pour l'équipe suivante. Tout le monde le voit. Un jour une collègue de travail m'a demandé « Qu'est-ce qui t'a fait devenir quelqu'un de si bien, si facile à vivre et si bon travailleur » ? J'ai répondu « C'est le Falun Gong qui m'a appris à vivre selon les principes d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour devenir une bonne personne ». Elle a été convaincue que Falun Dafa était bon.


De temps en temps, il y a de nouveaux arrivants ou des ouvriers à mi-temps. Je sais que le Maître a arrangé cela pour qu'ils soient sauvés. Je leur offre mon aide, je les traite de façon équitable, je prends chaque occasion pour leur dire les faits concernant le Falun Gong et je les encourage à quitter le PCC et ses organisations affiliées. Un homme âgé m'a dit : « Le Fa que votre Maître vous a enseigné est la Loi la plus juste. Votre Maître est le seul qui apporte la vérité à la Chine. Si tout le monde se conduisait selon les principes du Falun Gong, nous n'aurions plus besoin de policiers. Regardez la corruption du PCC et son manque de respect pour la loi. Personne ne l'écoute. Il y a tellement de fonctionnaires corrompus ! Le régime chinois tire à sa fin ».


Maître a dit :


« Si vous voulez bien faire dans la tâche de sauver les êtres, vous devez d’abord bien vous cultiver vous-mêmes. » (À la conférence de Loi au Brésil)


J'ai compris qu'un pratiquant de Dafa doit bien cultiver et doit avoir de hautes exigences. C'est seulement en faisant comme cela qu'il pourra bien sauver les êtres.


2. Regarder en soi et rectifier ce qui n'est pas droit


De nos jours beaucoup de personnes font des actes dégénérés. Le jour de la paye beaucoup d'ouvriers se retrouvent dans les restaurants, les salles de danse, les centres de mahjong et dans les lieux de divertissements. Parfois ils font des plaisanteries obscènes. Certains ouvriers critiquent d'autres et rapportent des choses sur eux à leurs supérieurs créant ainsi un manque de confiance entre les collègues de travail.


Le Maître a dit :


« Les gens ordinaires ne connaissent pas ce niveau de signification pour l'apparence naît du coeur, en réalité c’est tout simplement que leurs propres facteurs peuvent changer leur environnement. Se cultiver et chercher à l’intérieur, ce genre de paroles je les ai dites de façon particulièrement claire et particulièrement nette, (rires) mais il n'y a pas beaucoup de personnes qui peuvent y accorder de l’importance. » (Enseignement de la Loi lors d'une réunion de The Epoch Times)>


Des compagnons de pratique ont partagé ceci avec moi : « Nous sommes ici afin de sauver les êtres. Nous devrions rectifier tout ce qui n'est pas normal et ne pas se laisser aller avec le courant. Regardez en vous pour découvrir vos attachements et éliminer ceux qui ne sont pas en harmonie avec la Loi. J'ai trouvé que j'avais encore des attachements à la nourriture et aux réceptions, des attachements que j'avais avant de pratiquer le Falun Gong. Mais enfin, j'avais moins l'occasion pour ce genre de chose dès le début de la persécution ce qui fait que ces attachements étaient cachés. J'avais aussi l'attachement à la luxure et j'aimais regarder les belles femmes. Quelque fois j'avais du karma de pensée qui gouvernait mes actions. D'autres fois, je ne disais rien mais mon cœur était rempli de jalousie. Dès que j'ai pris conscience de ces attachements, je les ai éliminés.


Bientôt l'atmosphère au travail s'est améliorée de plus en plus. Mes collègues ont dit : « Nous ne pouvons pas nous conduire de la sorte. Chacun de nous a une femme et des enfants. Si nous dépensons tout ce que nous gagnons en mangeant, comment est-ce qu'ils vont survivre ? Ceux qui avaient l'habitude de faire la fête aux restaurants avaient honte. Plus personne n'arrangeaient ces rencontres. Ceux qui avaient critiqué les autres ont été renvoyés. Un ouvrier qui aimait faire des plaisanteries obscènes a dit : « Ma femme a trouvé les images obscènes sur mon téléphone portable ». Elle l'a menacé, alors il a éliminé les images et s'est arrêté de jouer des tours obscènes. L'atmosphère de mon lieu de travail s'est changé en mieux. Je me suis éveillé au Fa du Maître.


« La culture semi-divine est dotée d’un sens profond, l'apparence naît du cœur a aussi le niveau de signification suivant : parce que dans l’environnement de la société, les hommes ont leurs propres sphères, leurs humeurs peuvent influencer leurs affaires. C'est encore plus vrai pour les disciples de Dafa, parce que vous avez assumé la responsabilité de sauver les êtres, vos sphères sont alors plus grandes. Les disciples de Dafa du monde entier englobent et contiennent le monde entier d’ici-bas, chacun d’entre vous a une sphère qui lui appartient. Tout ce que vous rencontrez et avec lequel vous êtes en contact fait partie des facteurs issus de votre sphère. Si vous pouvez avoir suffisamment de pensées droites, vous pouvez alors être haut et grand dans votre sphère et réprimer les mauvaises choses qui s’y trouvent. » «(Enseignement de la Loi lors d'une réunion de The Epoch Times) »


À un certain moment, j'étais en conflit avec des collègues de travail. Nous avions un nouveau chef d'équipe. Il ne connaissait pas nos habitudes de travail. J'ai essayé de mon mieux de l'aider. Mais il rencontrait souvent mes collègues aux restaurants, essayant d'établir de bonnes relations avec eux. En peu de temps ils ont formé une clique. Comme je ne me suis pas joint à eux, j'ai été rejeté en dehors du groupe et personne ne voulait coopérer quand j’assignais le travail. Le chef d'équipe s'est mis de leur côté. Un jour, le chef d'équipe voulait réduire le quota de travail de deux ouvriers mais il n'a pas suivi la procédure normale. J'ai essayé de le lui dire mais il a ignoré mes conseils. À cause de cela, le travail n'a pas avancé comme il aurait dû. Le lendemain, le patron m'a critiqué parce que c'était moi qui était responsable de la surveillance du travail. Il m'a demandé une explication mais je me suis mis en colère parce que j'avais gardé en moi toutes les plaintes qui avaient été faites. Je lui ai dit : « Ils se sont tous conduits de façon méchante et ne m'ont pas écouté » Dès que j'ai eu fini de parler, j'ai su que je venais de faire une erreur et, j'ai admis mes erreurs aussitôt. En rentrant à la maison, j'ai partagé cela avec les compagnons de pratique et j'ai regardé en moi. J'ai compris mes attachements à la renommée, à ne pas vouloir me faire critiquer, à me faire valoir ainsi qu'à l'orgueil. Je me suis rectifié dans Dafa et j'ai éliminé ces attachements parce qu'ils allaient m'empêcher de sauver des gens. Il en est résulté que le chef d'équipe a changé. Il m'a avoué ses erreurs. Ceux qui étaient en conflit avec moi, ont aussi changé leur attitude envers moi. L'atmosphère est redevenue aussi amicale qu'auparavant.


3. Mettre Dafa à la première place et harmoniser l'environnement


Pendant la persécution sans précédent du Falun Dafa, j'ai perdu mon travail parce que je ne voulais pas renoncer à ma pratique. Quand j'étais en recherche d'un nouveau travail, je souhaitais avoir un poste où il y avait peu d'heures à faire. Je m'étais éveillé au fait qu'avoir suffisamment de temps pour faire les trois choses est la priorité et que pour ce qui concerne le reste, c'est à dire le salaire ou d'autres avantages, c'était l'affaire du Maître. J'avais ce souhait, alors le Maître m'a aidé à trouver un travail qui nécessitait seulement 15 chiffres de nuit, par mois ; mon salaire a augmenté petit à petit de 800 yuan à 1,500 yuan. Chaque fois que les pratiquants locaux avaient besoin d'aide, je mettais Dafa à la première place. Qu'importe l'urgence du travail que j'avais à faire ou les circonstances du moment, je demandais un congé. Ni mon patron, ni mes collègues ne s'en sont jamais plaints. Selon le règlement de l'usine, prendre un congé entraîne une déduction au niveau du salaire. Mais néanmoins, on ne m'a jamais fait de déduction de mon salaire. À plusieurs reprises, après avoir été absent, afin de coopérer avec d'autres pratiquants pour sauver des êtres, j'ai reçu une augmentation de salaire à mon retour.


Un pratiquant de notre localité a été persécuté à mort dans un camp de travail forcé. Notre groupe local a partagé sur le sujet et a décidé que pour sauver les êtres et mettre fin à la persécution, il fallait engager les services d'un avocat et intenter un procès. Afin de coopérer en tant qu'un seul corps, je suis allé rendre visite à la famille du pratiquant qui était décédé et je leur ai clarifié la vérité sur Falun Gong. Ils habitaient à la campagne et travaillaient de jour, donc j'ai dû aller les voir la nuit. Le déplacement aller et retour m'a pris plusieurs heures. Ils ne connaissaient pas la vérité sur Falun Gong, j'ai donc été obligé d'aller les voir plusieurs fois. Ils ont finalement été convaincus et ressentaient au fond d'eux-mêmes qu'il fallait engager un avocat.


Un jour, j'ai demandé un congé à mon patron pour pouvoir aller parler à l'avocat. J'ai eu un seul jour de congé parce qu'il y avait beaucoup de travail. Comme il y a eu des interférences des facteurs pervers, il y a eu des problèmes au niveau de l'enquête et nous avons passé trois jours à tout démêler. Sur le chemin du retour à l'usine, je pensais que j'allais avoir une réprimande parce qu'on m'avait accordé un jour de congé et que j'étais parti depuis trois jours. Aussitôt j'ai changé de pensée : « Je fais le travail de Dafa alors ça vaut la peine même si on me critique ».


Cette pensée n'était pas en accord avec la Loi. Je me suis éveillé au fait que tous les êtres devraient apporter leur soutien aux pratiquants de Dafa. Tous sont venus pour Dafa. Des gens de tous les milieux attendent d'être sauvés. Ils recevront des bénédictions, s'ils apportent de l'aide aux pratiquants. Mais quand je suis arrivé à l'usine, je n'ai vu qu'une seule personne à son poste. Il a dit que l'usine avait été fermée pendant deux jours et qu'elle ouvrait le lendemain. J'ai été sidéré, mais en même temps, j'ai senti la grâce infinie du Maître.


À une autre occasion, nos pratiquants locaux allaient faire un partage avec d'autres pratiquants dans une autre ville. La veille de cette rencontre, le responsable de mon équipe de travail m'a dit : «  Nous sommes en manque d'ouvriers de jour, alors vous n'avez pas besoin de travailler cette nuit, mais il faudra venir demain matin ». En entendant cela je me suis rendu compte qu'il s'agissait d'une interférence, j'ai donc répondu : «  Demain je ne serai pas ici donc je ne peux pas prendre le chiffre de jour ». Il m'a répondu : « Alors il faudra demander la permission au patron, c'est lui qui fait l'emploi du temps ». J'ai émis des pensées droites pour éliminer toute interférence, puis j'ai parlé à mon patron. Finalement il m'a donné plusieurs jours de congé mais il a dit qu'à mon retour, il me faudrait prendre le chiffre de jour. Ceci était aussi une interférence. Mon emploi du temps de jour était très serré parce qu'il me fallait coopérer et me coordonner avec les autres pratiquants afin de sauver les êtres. J'ai continué à émettre des pensées droites pour éliminer la perversité. Entre temps, j'ai regardé en moi et j'ai découvert que j'avais toujours l'attachement au confort. Je dormais trop mais le Maître voulait que je sauve les êtres. Deux heures plus tard le chef d'équipe est allé voir le patron et il lui a demandé pour que je puisse continuer le chiffre de nuit. Le patron était d'accord. Le lendemain je suis allé au partage d'expériences.


Suite au marasme économique, l'usine ne recevait pas beaucoup de commandes avec le résultat qu'elle fermait de temps en temps. De nombreux ouvriers voulaient faire plus de travail pour être mieux payés. Parfois mon patron voulait que je fasse des heures supplémentaires. J'arrivais à identifier l'interférence et je continuais à travailler de nuit. Mon salaire n'a jamais été touché. Quand l'usine a été fermée pour les vacances, le patron m'a demandé de travailler la nuit, ce qui n'était pas un travail difficile, je pouvais donc passer du temps à étudier le Fa, à pratiquer les exercices et à émettre des pensées droites. Une fois, j'ai fait un rêve : le chef de section de l'endroit où j'avais travaillé avant, m'a dit : « Tout le monde voudrait avoir ton travail mais personne ne peut le faire. Vous avez une mission particulière, je vous ai donc assigné ce travail ». Depuis l'année dernière j'ai rarement eu un travail difficile à faire. Chaque fois qu'il faut coopérer avec d'autres pratiquants en tant qu'un seul corps, je n'ai rien à faire sur mon lieu de travail. Maître m'a donné assez d'énergie et de temps pour être responsable envers Dafa. Maître m'a pavé le chemin et il a tout arrangé pour nous. La seul chose que nous ayons à faire c'est de se mettre en mouvement. Tant que nous sommes dans la Loi et que nous mettons Dafa à la première place, tout s'arrange parfaitement.


La seule chose que je puisse faire pour remercier Maître c'est de cultiver avec diligence. Certaines fois, je ne fais pas bien et des attachements à la renommée à la luxure et au confort font surface. Mais je crois fermement que je serai capable de lâcher tous ces attachements en suivant les directives du Maître et en faisant les trois choses : étudier le Fa avec diligence, clarifier la vérité sur Falun Gong et sauver les êtres. En tant que vrai pratiquant, je ferai honneur à ma mission, j'atteindrai la plénitude parfaite et je retournerai avec Maître.


Merci Maître !


Merci compagnons de pratique !


Heshi



Traduit de l'anglais en France