(Minghui.org)


Récemment, j'ai lu l'article intitulé «Récits sur les premiers jours du site Internet Minghui» [http://fr.minghui.org/news/1108/27/E127445_20110813_FR.html ]. Après avoir téléchargé les cinq parties et les avoir lues les unes après les autres, j'ai été englouti de chaleur et d'exaltation. Les larmes me sont venues aux yeux, tellement cela m'a touché.


Depuis longtemps maintenant, j'ai suivi Minghui, et cela me procure des pensées droites et de la confiance à chaque fois que je visite le site. J'acquière toujours de nouvelles compréhensions et introspections après avoir lu les articles des pratiquants. J'apprécie vraiment chaque pratiquant qui travaille pour le site web Minghui.


Dans le passé, je supposais que peu importe dans quel environnement les pratiquants en dehors de la Chine se trouvaient, leur pratique était toujours plus facile que celle en Chine continentale. Du moins, on n'y courrait pas le risque d'être arrêté, détenu ou persécuté. Au contraire, vous bénéficiez d'un environnement libre pour pratiquer le Falun Gong. Mais je ne m'étais pas rendu compte de la persécution maléfique dans les autres dimensions qui essaie de détruire les pratiquants d'outre-mer qui travaillent pour Minghui, j'ignorais la persévérance qu'il leur fallait pour accomplir le travail jour après jour, d'année en année, sans arrêt, et la solitude et la séparation d'avec le monde extérieur.


Je sais que le premier ordinateur de Minghui était le modèle 486 et que les éditeurs et les techniciens ont travaillé jour et nuit pour que des articles sortent en Chine. Ils ont travaillé sans pause et souvent sans prendre le temps de dormir, jusqu'à la fin de leur tâches. Les cheveux d'un jeune éditeur sont devenus blancs en quelques mois de travail sur les articles de Minghui, du matin jusqu'au soir.


L'éditeur qui travaille à plein temps doit travailler 17 à 18 heures par jour, sept jours par semaine. Il y en avait qui travaillaient du matin jusqu'à minuit sans quitter leur appartement, ni sortir à l'extérieur, pendant plusieurs semaines. J'ai été profondément touché par leurs actions et j'ai pleuré.


Je me souviens de la réponse du Maître à la question d'un pratiquant dans «l'Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à New York 2007»


«Un disciple: Maître, parlez-nous s’il vous plaît de la façon d’équilibrer le rapport entre mieux faire un projet et développer davantage de projets.


Le Maître: Cela dépend de comment vous coordonnez les choses entre vous, à vous de bien vous arranger. Si on doit bien faire un projet, alors l'énergie qu'on y consacre est nécessairement grande. Si on développe de nouveaux projets, là le temps sera certainement limité. C’est souvent comme ça. Comment organiser ces choses? Beaucoup de nos disciples de Dafa ont des responsabilités dans de multiples projets et en effet, la difficulté est grande. Le Maître connaît vos difficultés. Dans le futur, je parlerai aux disciples de Dafa de Chine continentale des difficultés auxquelles vous avez fait face, je leur ferai savoir comment vous, dans des circonstances ô combien difficiles, avez validé la Loi et restreint la persécution de la perversité sur eux.»


Au début, j'entendais dire seulement que les pratiquants à l'étranger étaient très occupés, mais je ne me rendais pas compte de l'énorme pression qu'ils subissaient. Bien que je me trouve en Chine Continentale, mes circonstances de vie ne comptent pas autant que les défis des pratiquants à l'extérieur de la Chine. Leurs efforts m'inspirent à être plus diligent.


Finalement, je veux partager avec vous un passage de «l'Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale à New York» et exprimer mon appréciation aux pratiquants qui travaillent sur le site Minghui et tous les pratiquants à l'extérieur de la Chine continentale qui travaillent diligemment sur d'importants projets de Dafa.


Le Maître a dit:


«Alors j'espère que les élèves de Chine continentale puissent vraiment apprendre des élèves hors de Chine et les prennent comme exemple. Afin de réduire la persécution perverse sur vous, regardez comment ils font. Ils ont travaillé très dur. Certains dorment à peine, jour après jour, chacun fait beaucoup de choses, ils assument tous de nombreux projets, et je ne parle pas que de quelques uns, c'est la majorité d'entre eux, ils travaillent vraiment dur. Alors quand on compare, même si l'environnement est détendu et confortable, en tant que disciples de Dafa, il s'agit toujours de la question d'être diligent. Si dans des circonstances très pénibles vous n'agissez pas ou ne faites pas bien les choses, peut-être est-ce vraiment dû aux circonstances, mais maintenant la situation a changé, vous devriez sortir et bien faire.»



Traduit de l'anglais en Belgique