(Minghui.org) Une compagne de pratique m'a demandé de peaufiner un partage qu'elle voulait soumettre au Fahui, une conférence des pratiquants de Falun Dafa. J’ai pensé que cela ne devrait pas prendre trop de temps et je l’ai accepté tout de suite. Quelques jours plus tard, elle m'a télécopié faxé un document de 8 pages. Je l'ai lu et j’ai trouvé que le contenu du partage n'était pas éloquent. J’ai pensé qu'elle n'était pas respectueuse envers le Fahui si elle voulait soumettant un tel partage. J’ai trouvé cela très étrange et je lui ai demandé : « Quelles étaient tes pensées quand tu l’as écrit ? »  Elle a répondu : « Mes pensées se basaient sur l'étude du Fa. »

Ses paroles m'ont arrêté net. Je me suis rendu compte que je n'étais pas droit et j’étais désolé pour les pensées négatives que j'avais eu à son égard. J'avais les attachements de juger et critiquer les autres . Elle ne savait pas vraiment comment écrire un partage pour le Fahui. Son cœur était altruiste et elle essayait d'harmoniser et répondre aux besoins du Fahui en soumettant son partage. Je lui ai expliqué comment écrire un partage et que ce n'était pas difficile. Je lui ai dit de réfléchir et ensuite de mettre sur papier ses expériences et les histoires qu’elle avait vécues pendant le processus de sa cultivation et validation du Fa. Cela toucherait les cœurs des pratiquants. Je lui ai dit de ne pas parler des principes du Fa d’une façon superficielle à travers les paroles.

Quelques jours plus tard, elle m'a faxé de nouveau son partage. J'ai trouvé qu’il était un peu mieux mais loin d'être en mesure d'exprimer ce qu'elle avait appris dans le processus de cultivation. Je pouvais clairement voir ses efforts à apprendre comment écrire un article de partage d'expériences.

Il n'y avait pas assez de temps pour qu’elle réécrive son partage, alors je lui ai téléphoné pour me renseigner sur ses différentes expériences de cultivation. Je pouvais facilement m'exprimer dans la langue écrite, ce qui lui manquait. Ce n'était pas par hasard qu’elle m'avait trouvé. Je voulais l'aider à réaliser son vœu de présenter un partage au Fahui. Tout d'abord j’avais besoin de mettre de côté pour quelques jours mon travail de validation du Fa. J'ai essayé de mon mieux pour compléter les domaines où elle manquait de compétence. Avec mon aide, elle a réussi à soumettre son partage à temps.

J'ai simplement agi selon les enseignements du Maître, pour que les pratiquants aient le même état d’esprit, se coordonnent et coopèrent bien ensemble. Cela ne concernait que deux pratiquants, mais si tout le corps pouvait partager les mêmes pensées et bien s’harmoniser, qu'il s'agisse de petits ou de grands projets de validation du Fa, je pense que le Maître serait très content.

À travers le processus de l’aider à présenter son partage au Fahui, je me suis rendu compte que j’avais considéré de mon propre point de vue les insuffisances d’une autre pratiquante, et j’ai eu des mauvaises pensées et un cœur impur. Cela m'a été bénéfique de me rendre compte que ma cultivation n'était pas solide. J'ai compris que je peux compléter les autres dans des domaines où ils ont besoin d’aide dans leur travail de validation du Fa. Peu importe si les pratiquants sont en mesure ou pas d'accomplir une tâche et, nous ne devons pas penser si les autres sont responsables ou non, ou si leur attitude est positive ou négative.

Je suis reconnaissant à cette pratiquante de m'avoir donné une occasion de l’aider, car cela m’a permis d'élever mon xinxing. J'ai été touché par son courage pour franchir les obstacles qui ne lui permettaient pas de soumettre son partage au Fahui. La pureté de son cœur qui voulait contribuer au Fahui pour qu’il soit harmonieux et une réussite était précieuse et étincelante. Cela m’a inspiré à étudier le Fa plus diligemment et à bien préparer le travail qui devait être fait pour valider le Fa. De cette façon, je suis mieux équipé pour vraiment sauver les êtres et pour sauver davantage de personnes. Ainsi, je peux vraiment accomplir mes vœux faits avant l’histoire.

Merci, Maître, pour Votre grande compassion !

Merci, compagnons de pratique, pour votre soutien !

Compagnons de pratique, veillez m'indiquer les erreurs, tout ce qui est inapproprié, m'indiquer avec compassion les endroits où ma compréhension est limitée ou inadéquate.

Traduit de l’anglais en Suisse