(Minghui.org) Chaque fois que le Bureau 610 a menacé de m'envoyer dans un centre de lavage de cerveau, je regardais tout d'abord à l'intérieur. J’ai trouvé beaucoup d'attachements. De plus, j’ai réalisé que ma clarification de la vérité n'avait pas été suffisante. J'ai dit à la secrétaire du comité politique et juridique de la communauté : « Je ne vais sûrement pas assister aux classes de lavage de cerveau. Je vais parler au directeur en personne demain matin. »

Bonjour vénérable Maître !

Bonjour compagnons de pratique !

Le Neuvième Fahui de Chine sur Minghui.org accepte le dépôt d'articles. Je suis très reconnaissante pour le salut bienveillant du Maître. Participons tous ensemble à cet important événement.

J'ai résumé les parties du processus de ma cultivation pour notre vénérable Maître et pour partager avec les pratiquants. S'il vous plaît veuillez souligner tout ce qui n'est pas conforme aux principes du Fa.

« Falun Dafa est bon ! Comment puis-je ne pas pratiquer ? »

Au printemps de 2011, un nouveau directeur du Bureau 610 est entré en fonction. Je savais que j'avais de nouveau une responsabilité. En octobre 2004, quand je suis revenue d'avoir été incarcérée, la perversité du Parti communiste chinois (PCC) a poursuivi sa persécution. Le Parti a suspendu ma pension. J'étais aussi victime de harcèlement et de surveillance fréquente. Je savais que le bureau 610 était derrière tout cela.

Afin de désintégrer fondamentalement la persécution, en plus d'étudier le Fa et d'émettre des pensées droites, j'avais pris la décision de clarifier la vérité, de personne à personne, au bureau 610 et au comité politique et juridique.

J'ai clarifié la vérité à la secrétaire du comité politique et juridique et au directeur du bureau 610. Ce nouveau directeur était le troisième depuis mon retour à la maison.

Le premier directeur m'avait envoyé à un centre de lavage de cerveau bien connu de la province, au printemps 2005. En une heure, j'ai désintégré la persécution avec mes pensées droites. Ils m'ont ramenée à la maison.

À la fin de l'année, quand ils ne pouvaient pas atteindre le quota de « transformation », je suis allée leur réclamer ma pension. Le directeur du bureau 610 m'a demandé si je voulais aller à la classe de lavage de cerveau pendant quelques jours. Il savait que je ne serais pas « transformée. » J'ai refusé solennellement et j'ai dit : « Vous ne devriez envoyer personne à des classes de lavage de cerveau. Sinon, vous allez vous créer beaucoup de karma. »

Bien sûr, clarifier la vérité au bureau 610 peut signifier la persécution. Parfois, j'allais là-bas et le directeur n'y était pas. Je rendais donc visite à d'autres bureaux au sein du comité politique et juridique et leur clarifiais la vérité. Je leur parlais de la beauté de Dafa et de ne pas s'impliquer dans la persécution des disciples de Dafa. Je leur expliquais les principes de rétribution.

Après quelques temps, le directeur a été mis au courant. Une fois, quand il m'a vue, il a crié : « À l'avenir, si je ne suis pas ici, rentrez chez vous. N'allez pas dans les autres bureaux. Ici c'est le comité politique et juridique. Ce n'est pas votre domicile. Vous ne pouvez pas entrer dans une pièce comme bon vous semble. Vous ouvrez toutes les portes que vous voulez et vous faites la promotion du Falun Dafa ! Ici c'est une unité de maintien de l'ordre, pas un endroit pour promouvoir votre pratique. »

J'ai émis des pensées droites et lui ai dit : « M. le directeur, vous ne me donnez pas ma pension. Chaque fois que je viens, je dois dépenser 2 yuan. Je n'ai même pas assez d'argent pour mes repas. Par conséquent, si je ne vous trouve pas, je vais aller m'informer à d'autres bureaux où puis-je vous trouver pour vous rencontrer à votre retour. Ils savent que je pratique le Falun Gong. Ils me demandent si je continue à pratiquer. Je dis : « Falun Dafa est bon ! Comment puis-je ne pas le pratiquer ? »

« Vous pouvez demander de l'aide à mon Maître »

En novembre 2010, le deuxième directeur du bureau 610 a ordonné à la secrétaire du comité politique et juridique de la communauté de me parler : « Préparez-vous à assister à une classe de transformation. La nourriture et les repas seront compris. » Au cours de ma conversation avec la secrétaire du comité politique et juridique de la communauté, le directeur du bureau 610 lui a téléphoné à nouveau : « Les classes de transformation sont tellement bien. Dites-lui qu'elle doit y aller ! »

Chaque fois que le bureau 610 a menacé de m'envoyer dans un centre de lavage de cerveau, je regardais tout d’abord à l'intérieur. Je trouvais beaucoup d'attachements. De plus, j’ai réalisé que ma clarification de la vérité n'avait pas été suffisante. J'ai dit à la secrétaire du comité politique et juridique de la communauté : « Je ne vais sûrement pas assister aux classes de lavage de cerveau. Je vais parler au directeur en personne demain matin. »

Quand je suis rentrée, j'ai reçu un appel du directeur du bureau 610 vers 17 h. Il m'a de nouveau demandé d'assister à la classe. Je lui ai dit : « C'est mon problème si ma bienveillance n'est pas assez forte. Je vais aller vous voir demain matin. »

Le lendemain matin, j'étais prête à me rendre au bureau 610. Une idée m'est venue à l'esprit quand j'ai brûlé de l'encens pour le Maître : « Si le bureau 610 s'attend à ma visite, ne vais-je tomber dans un piège ? » J'avais clarifié la vérité en profondeur à la secrétaire de la commission politique et juridique. Alors je lui ai téléphoné et je lui ai demandé : « Est-ce qu'ils se préparent à m'envoyer aux classes de lavage de cerveau aujourd'hui ? » Elle a dit : « Je ne connais pas les modalités du bureau 610. Toutefois, si vous pensez que c'est le cas, vous n’êtes pas obligée d'y aller. » Par conséquent, je ne suis pas allée au bureau 610 ce jour-là.

Dans l'après-midi, j'ai échangé avec d'autres pratiquants. Ils ont dit : « Tu ne devrais pas y aller seule. Dis-nous quand tu as l'intention d'y aller. On peut y aller avec toi et émettre des pensées droites pour toi à l'extérieur du bureau 610. » J'ai pensé : « Nous sommes tous si occupés à sauver les êtres. J'ai des problèmes parce que je n'ai pas bien cultivé. Maintenant, je vais même ajouter un fardeau sur les compagnons de pratique. Je ne devrais pas. Je devrais clarifier la vérité avec fierté et dignité et sauver cette personne en dissolvant la perversité derrière lui qui le mène à commettre des péchés contre Dafa. J'ai le Maître à mes côtés. J'ai le Fa. Qu'est-ce qui peut me faire peur ? »

J'ai étudié le Fa davantage et émis plus de pensées droites. J'ai demandé au Maître de me soutenir. Deux jours plus tard, je suis entrée dans le bureau 610 avec de fortes pensées droites et de la compassion.

Ce fut une surprise pour le directeur du bureau 610. Quand il m'a vue, il s'est arrêté. Puis, il est sorti de son bureau pour me saluer. Je savais qu'il allait appeler l'équipe de sécurité nationale. J'ai pensé aux paroles du Maître :

« Tous ces comportements bienveillants de votre part c'est justement ce qui est le plus effrayant pour la perversité. Parce que ce qui attaque la bienveillance est nécessairement pervers. » (« Rationalité » dans Points essentiels pour un avancement diligent II)

Alors je lui ai dit gentiment : « Êtes-vous occupé ? Partez-vous ? » Il était à la porte. Il avait déjà ouvert la porte de son bureau. Il s'est retourné tout à coup et a balbutié : « Moi, je suis libre. » J'ai dit : « Si vous êtes occupé, je peux vous attendre ici. » Il a dit : « Non, c'est bon. » J'ai demandé : « J'ai vu que vous étiez à la porte ? Avez-vous un rendez-vous urgent ? » Il a dit : « Je voulais aller aux toilettes. Mais maintenant ça va. » Tout en parlant, il a ouvert la porte du bureau. Je savais qu'il avait peur que je lui clarifie la vérité. Une fois la porte ouverte, d'autres fonctionnaires pourraient entendre notre conversation. Cela m'a mise mal à l'aise pour clarifier la vérité.

J'ai pris une décision : « Peu importe, je dois vous sauver aujourd'hui. Vous ne devriez pas commettre de crimes contre les disciples de Dafa. » J'ai demandé l'aide du Maître : « Maître, s'il vous plaît donnez-moi la sagesse pour que je puisse clarifier la vérité avec rationalité pour me libérer de la persécution et lui faire comprendre la vérité. » À ce moment, il a appelé son adjoint. Nous avons commencé notre conversation.

Tout d'abord, il a dit qu'il voulait m'envoyer aux classes parce que je faisais partie du groupe « le plus têtu. » Puis, il m'a accusée de parler du Falun Gong partout où j'allais pendant que je purgeais ma peine à l'extérieur de la prison.

Je lui ai dit mes raisons pour lesquelles je n'allais pas aux classes de lavage de cerveau. Il est passé de « Vous devez y aller » à « Je vais rester au centre pendant deux semaines » à « une semaine » à « trois jours » à « juste une visite rapide pour un examen. » J'ai refusé de coopérer. En fin de compte, il a dit : « En fait, je vous ai demandé d'y aller. J'ai pensé que ce serait la meilleure chose. Parce que vous pourriez partir de votre propre chef (avec des pensées droites), d'autres en seraient incapables. » J'ai dit : « Vous ne devriez envoyer personne là-bas. Si vous le faites, vous allez vous créer un karma énorme. » Je lui ai lui alors raconté de vraies histoires de rétribution.

Durant la nuit, je tournais dans mon lit et n'arrivait pas à dormir. J'ai regardé à l'intérieur pour voir ce que je n'avais pas bien fait pendant la journée. J'ai réalisé que le directeur du bureau 610 avait encore une certaine bonté. Il m'avait demandé d'aller à la classe de lavage de cerveau parce qu'il savait que je pouvais en sortir tandis que d'autres ne le pourraient pas. Cependant, c'était presque la fin de l'année et il n'avait pas atteint son quota. Peut-être que ses superviseurs exercerait une pression sur lui. Peut-être ... En pensant à cela, je me suis assise et j'ai émis des pensées droites. J'ai demandé le soutien du Maître car j'irais le sauver le lendemain.

Je suis entrée dans son bureau à 8 h, le lendemain. Il lisait un journal. Il m'a vue et m'a demandé : « Pourquoi êtes-vous ici ? » J'ai dit : « Je n'ai pas pu dormir la nuit dernière. J'ai vu que vous avez un bon cœur. Vous ne voulez pas que les disciples de Dafa soient persécutés. Je ne veux pas vous voir créer du karma.

Par conséquent, je suis venue vous soumettre une solution. Cette solution vous aidera à éviter la critique de votre superviseur et à créer du karma. »

Il a dit :: « Qu'est-ce que c'est ? » J'ai dit : « Vous pouvez demander de l'aide à mon Maître. Vous n'avez pas besoin de l'appeler Maître. Vous pouvez l'appeler Maître Li ou professeur Li. Mon Maître vous aidera. » Il est devenu sérieux : « Qu'est-ce que vous venez de dire ? Je ne vous ai pas entendu. Répétez. » À ce moment-là, j'ai hésité un peu mais j'ai répété mes paroles. Il a pris son téléphone portable sur la table et a dit : « Je téléphone à l'équipe de sécurité nationale maintenant ! Ils vont vous arrêter. »

Je me suis calmée. J'ai pensé : « Ce n'est pas vous qui décidez. Mon Maître décide de tout. » Je lui ai dit : « Je suis venue pour vous aider parce que j'ai vu votre dilemme. Comment pouvez-vous me faire arrêter ? Vous ne le ferez pas. » Il reposa son téléphone portable et a dit : « Partez ! Partez tout de suite ! »

Après le Nouvel an, il a été muté à un autre poste. Nous avons parlé une fois au téléphone. Je lui ai dit : « Vous savez déjà comment nous traiter. J'espère que vous allez faire un bon travail à votre nouveau poste. »

Le directeur du bureau 610 a dit : Je ne vous enverrai pas dans des classes au cours de mon mandat

Quand le troisième directeur est entré en fonction, j'étais occupée et je n'ai pas eu la chance de lui rendre visite immédiatement.

J'ai dit au Maître : « Avec des pensées droites, je vais empêcher la perversité d'utiliser le nouveau directeur pour me persécuter. » J'ai dit à la secrétaire du comité politique et juridique de la communauté : « S'il vous plaît, saluez le nouveau directeur du bureau 610 pour moi. Je vais lui rendre visite une fois que j'ai un moment de libre. S'il vous plaît, transmettez-lui également ma demande. Chaque directeur du bureau 610 a essayé de m'envoyer à des classes de lavage de cerveau au niveau provincial. Maintenant qu'il est entré en fonction, s'il vous plaît n'ayez pas l'intention de m'envoyer à des classes de lavage de cerveau. Je n'irai pas. » La secrétaire a dit : « D'accord, je vais lui transmettre votre message. »

Un mois plus tard, j'ai vu la secrétaire. Elle m'a dit qu'elle avait passé mon message. Le nouveau directeur a dit qu'il ne m'enverrait pas durant son mandat.

Au printemps, je suis de nouveau allée réclamer ma pension au bureau 610. Plusieurs secrétaires de la commission politique et juridique étaient en réunion. Je suis allée dans le bureau et j'ai vu que c'étaient toutes de nouvelles personnes. J'ai pensé que c'était une bonne occasion de clarifier la vérité.

J'ai demandé : « Qui est le directeur ? » Quelqu'un a demandé : « Êtes-vous une requérante ? » J'ai dit : « Non. Je suis une pratiquante de Falun Gong. » Elle a dit : « Alors vous devez avoir cessé de pratiquer. Que faites-vous ici ? » J'ai dit : « Si j'avais arrêté, je ne serais pas venue ici. Je pratique toujours. »

Une autre personne s'est jointe à notre conversation : « C'est le comité politique et juridique. Vous osez dire que vous pratiquez toujours. » J'ai dit : « Qu'est-ce que le comité politique et juridique ? N'est-ce pas une agence pour que le PCC puisse communiquer avec la population en général ? N'est-ce pas un endroit pour régler les injustices envers les gens ? Le Falun Gong est ma croyance. La constitution ne garantit-elle pas la liberté de croyance ? »

Une autre personne est allée chercher le directeur du bureau 610 pour moi. Le directeur m'a demandé de venir dans son bureau et a amené son adjoint avec lui. En commençant avec mon problème de pension, j'ai parlé de la persécution du PCC. J'ai parlé de la large diffusion et de la beauté de Dafa et de rétribution. Souvent, ils m'interrompaient et posaient des questions. Je répondais avec des pensées droites et avec compassion. Parfois, ils hochaient la tête comme s'ils étaient d'accord avec mon point de vue.

Quand je suis revenue chez moi, j'ai regardé à l'intérieur et j'ai réfléchi à ce que je n'avais pas bien fait. Puis je me suis souvenue de certaines questions perverses que l'adjoint m'avait posées. Je n'avais pensé qu'à les sauver avec bienveillance mais j'avais oublié la dignité de Dafa. Je devais retourner et leur parler à nouveau. Je suis retournée le lendemain.

J'ai appris qu'ils « étudiaient » les cas de Falun Gong dans une salle de conférence. J'ai émis des pensées droites en silence dans un autre bureau : « Les disciples de Dafa suivent les arrangements du Maître. Personne d'autre ne peut prendre de décision. »

Le directeur du bureau 610 est sorti et m'a demandé d'aller à son bureau. J'ai dit : « Après être rentrée chez moi, j'ai réfléchi aux questions de votre adjoint. C'était un interrogatoire camouflé. Avez-vous encore l'intention de me persécuter ? Avez-vous toujours l'intention de m'envoyer dans des classes de lavage de cerveau ? Vous m'avez promis que vous ne m'enverriez pas aux classes de lavage de cerveau pendant votre mandat. »

Il a dit : « Ne les appelez pas lavage de cerveau. Ce sont des classes de transformation. » J'ai dit : « Je les appelle des classes de lavage de cerveau. Je pratique le Falun Gong et j'essaie d'être une meilleure personne que la moyenne selon les normes de Authenticité-Bienveillance-Tolérance. En quoi voulez-vous me transformer ? Ceux qui ont été transformés sont désorientés par le lavage de cerveau ! »

Il a dit : « Eh bien ! Je suis allé à une réunion d'une classe de transformation. J'ai vu que la nourriture qu'ils servent là-bas est vraiment bonne. » J'ai fait une blague en disant: « La nourriture ici est tellement bonne. » Il a alors dit : « Je devrais envoyer une personne (c'est-à-dire moi) là-bas dans quelques jours. » Je lui ai dit solennellement : « Je n'irai vraiment à aucune classe de lavage de cerveau. D'autres disciples de Dafa n'iront pas non plus. » Je lui ai demandé de ne pas faire de telles choses. Il a dit : « Vous n'irez pas aux classes de lavage de cerveau. Je le sais. »

Je suis un messager du ciel

Après être rentrée de détention, le PCC ne m'a pas donné ma pension. Afin de désintégrer cette persécution, j'étais allée à plusieurs ministères mais n'avais pas résolu le problème. En fin de compte, j'ai dit au comité politique et juridique et au bureau 610 : « Si vous ne me payez pas ma pension, je n'ai pas de revenu. Je vais écrire mon histoire. Je vais l'afficher partout où j'irai. Partout où je mendierai pour de la nourriture, je dirai aux gens que les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. Les gens vont me donner de l'argent dès qu'ils sauront que j'ai été persécutée pour ma pratique. » Alors, ils m'ont donné un « faible revenu de subventions. »

Bien sûr, je ne l'ai pas voulu. La secrétaire du comité politique et juridique de la communauté m'a dit : « Vous devez couvrir vos frais de transport même si vous allez pétitionner. » Les cartes de paiement à faible revenu étaient gérées par le bureau de gestion du voisinage. Je devais aller y chercher mon paiement chaque mois.

Au début, j'ai accepté parce que je voulais clarifier la vérité et sauver les gens au bureau de la direction. Quelquefois, j'ai pensé que je coopérais avec le PCC pervers. Je voulais quand même recevoir de nouveau ma pension. Les gens du bureau de gestion du voisinage se plaignaient à moi de leurs difficultés. Je n'ai pas persisté parce que nous étions devenus de bons amis après nos rencontres mensuelles.

En octobre passé, la secrétaire du comité politique et juridique de la communauté a dû étudier pendant un semestre à l'école du PCC. Son poste a été temporairement occupé par une remplaçante. J'ai demandé au Maître de m'aider à sauver la nouvelle secrétaire et à recevoir ma pension.

J'ai parlé à la secrétaire intérimaire. Au cours de notre conversation, je lui ai parlé de la beauté de Dafa et des principes de rétribution. Elle disait souvent qu'elle n'était que temporaire et que les questions importantes devraient toutes attendre le retour de la secrétaire. Au cours du processus, j'ai demandé l'aide du Maître. Plus tard, elle a dit qu'elle devait obtenir l'approbation de son superviseur. Je lui ai demandé lequel. Elle a dit que je pouvais parler à un secrétaire adjoint au bureau de gestion du voisinage. Quand je suis allée le trouver, on m'a dit qu'il n'était pas à son bureau.

Le 8 mars, cette année, je suis retournée au bureau de gestion du voisinage. Ils étaient en vacances pour la « Journée internationale de la femme du 8 mars » et m'avaient oubliée. Il n'y avait qu'un nouveau garde en service. Il ne connaissait pas mon problème. Il allait appeler pour se renseigner. À ce moment, le secrétaire adjoint est entré.

J'ai remercié le Maître ! Le Maître avait arrangé l'environnement pour sauver les êtres et l'avait amené vers moi. Je me suis présentée et j'ai commencé à clarifier la vérité basée sur mon problème de pension.

Au début, il m'a dit en colère : « Quel est cet endroit ? La police viendra dès que je les appelle. » J'ai demandé l'aide du Maître et j'ai répondu avec sagesse : « Je n'ai pas pu vous voir aux cours de mes récentes visites. Aujourd'hui, je vous ai rencontré et j'ai tout de suite senti une connexion. Ce que j'ai dit sont des faits. Ne pensez-vous pas que la persécution est un fait ? Ne pensez-vous pas que les châtiments sont des faits ? »

J'ai alors partagé avec lui des histoires de corruption. Il s'est joint à la conversation. À la fin, il a dit : « Nous avons eu tort de garder votre carte de retraite. Aujourd'hui, je vais payer votre pension avec mon propre argent. Ensuite, je serai responsable de contacter et de communiquer avec les dirigeants pour vous remettre votre carte de retraite. »

Puis il a appelé l'un des chefs. On lui a dit que le bureau 610 exigeait de retenir la carte de pension. Il a alors dit : « Alors, vous demandez au comité politique et juridique de gérer cela directement. Ce n'est pas juste de retenir les cartes de retraite des gens. De plus, nous n'avons pas le temps de nous occuper de ce genre de choses. Aujourd'hui, la destinataire est venue. Elle n'a pas d'argent pour vivre. Je l'ai payée avec mon propre argent. »

Il a raccroché et m'a demandé mon numéro de téléphone. Il m'a demandé de lui rendre visite à nouveau après avoir reçu son appel pour venir chercher ma carte de pension. Je lui ai serré la main en le remerciant d'aider une disciple de Dafa et de s’être choisi un bel avenir.

Quinze jours plus tard, j'ai reçu son appel téléphonique. Je suis allée au bureau de gestion du voisinage. Cette fois-ci, ils étaient tous là, même le secrétaire par intérim du comité politique et juridique de la communauté.

Je savais que c'était la dernière fois. Les êtres voulaient que je leur clarifie la vérité pour la dernière fois. C'était un autre arrangement bienveillant du Maître.

J'ai clarifié la vérité quand nous discutions de chaque point. Le secrétaire adjoint a dit : « Vous êtes si courageuse ! Vous osez dire tout ce que vous voulez. Nous vous appelons tous 'Sœur Jiang' ou 'Liu Hulan'. »

J'ai dit : « Je ne suis pas sœur Jiang ou Liu Hulan. Ce sont des produits du PCC. Je suis un messager du ciel. »

Après avoir terminé les procédures, je me suis levée et leur ai serré la main un par un. Avec sincérité et bienveillance, je leur ai dit : « À partir de maintenant, il ne sera plus nécessaire pour moi de venir. Nous ne pourrons pas nous voir aussi souvent. Cependant, s'il vous plaît souvenez-vous de ce que je vous ai dit - Falun Dafa est bon -. C'est notre relation prédestinée de nous connaître. Si je ne vous dis pas la vérité, quand le désastre arrivera, je vous aurai laissé tomber. Rappelez-vous ce que je vous ai dit. Vous aurez un bel avenir ! »

J'ai fondu en larmes quand j'ai écrit cela. Notre Maître bienveillant m'a donné le cœur de rationalité, de sagesse et de bonté pour sauver les êtres. Je vais continuer selon les arrangements du Maître : enlever mes attachements, bien me cultiver, sauver les êtres, bien faire les trois choses et retourner avec le Maître au moment de la plénitude parfaite.

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l’anglais au Canada