(Minghui.org) Je n’ai aucune idée de combien de kilomètres j'ai parcouru, combien de documents j'ai distribué ou à combien de personnes j'ai parlé. Je sais juste que je suis plus heureuse chaque fois que je sors parler aux gens de la persécution.


J’étais une paysanne âgée et analphabète. J'ai grandi dans la région la plus pauvre de Chine et n'ai jamais eu la chance d'aller à l'école.


Parce que mon père est mort quand j'avais 12 ans, j'ai dû travailler dur pour soutenir ma famille, en cultivant, en labourant les champs et en tissant. Je peux maintenant lire les livres de Dafa et faire les
trois choses fermement avec la protection du Maître.


Je suis capable de lire le Fa

Un pratiquant du nord est venu nous apprendre le Falun Gong en 1997. Quand j'ai ouvert le livre pour la première fois, j'ai pleuré tristement parce que j'étais analphabète et ne pouvais pas lire comme tout le monde. Je me suis agenouillée et j'ai dit : « Maître ! Je ne peux pas lire le livre ! S'il vous plaît, aidez-moi ! »


Le pratiquant A est venu et a dit : « Vous pouvez venir chez moi à partir de maintenant et nous pourrons étudier la Loi ensemble ! Vous pouvez suivre pendant que je lis. » Nous avons étudié le
Fa ensemble de cette façon pendant plus d'un an.


À l'époque, j'avais 61 ans.


En 1999, j'ai pu lire le
Zhuan Falun par moi-même. Quand j'ai lu 12 pages toute seule pour la première fois, j'étais tellement excitée que j'ai pleuré. J'ai dit dans mon cœur : « Maître ! Cela ne suffit pas ! D'autres peuvent lire le livre en entier alors que je ne peux lire que 12 pages. S'il vous plaît, aidez-moi ! » Le lendemain, j'ai été capable de lire plus de 20 pages et cela a progressivement augmenté à 30 pages.


Six mois plus tard, je pouvais lire une leçon, puis cinq leçons, etc. La grande bienveillance du Maître m'a aidée, moi une vieille villageoise analphabète, à lire tous les livres du Fa avec aisance et grâce. Ne voulant pas perdre mon temps, j’ai saisi toutes les occasions pour lire le Fa. Je sens que je suis la femme la plus heureuse au monde.

Immobiliser un agent de police en émettant la pensée droite

Le 12 avril, alors que je copiais des documents de clarification de la vérité dans une boutique avec un autre pratiquant, le propriétaire nous a dénoncés à la police. Un policier est venu chez moi et a dit : « Je sais tout ce que vous avez fait dans le magasin. » J'ai dit : « Connaître la vérité sera bénéfique pour l'humanité. Mais le PCC persécute Dafa ! Nous devons clarifier la vérité afin que chacun sache que le Falun Dafa est bon. »


Alors que la police fouillait ma maison, j’ai émis la pensée droite : « Ne laissez pas ces mauvaises personnes trouver un seul morceau de papier avec les faits au sujet du Falun Gong. » Ils ont seulement pris le répertoire téléphonique de ma belle-fille. Ils n'ont rien trouvé d'autre car j'avais déjà distribué tous les documents.


Néanmoins, j'ai quand même été emmenée au poste de police.


Le directeur de la police n'a pas abandonné et m'a demandé : « Qui t’as donné l'original du document ? » J'ai répondu : « Si je vous disais que vous me l’avez donné, l’admettrez-vous ? » Je me suis dit : « Je ne ferai jamais honte au Fa et au Maître. Je ne trahirai pas non plus un compagnon de pratique. »


Le chef a essayé de me convaincre que je serais libérée bientôt si je donnais les autres pratiquants. J'ai alors émis de nouveau la pensée droite : « Faites que ces policiers restent tranquilles. » Les quatre ou cinq policiers ont alors commencé à dormir si profondément qu’ils bavaient. Aux alentours de 15h, je suis rentrée à la maison avec mon fils.

Le Maître a souffert pour moi

J’ai été heurtée par une moto en 2006, alors que je clarifiais la vérité à Kunming. J'ai entendu un bruit comme un couteau tranchant un navet.


Quand j'ai ouvert les yeux, j'ai été surprise de voir que j'étais toujours en vie et ne ressentais aucune douleur. Je savais que le Maître endurait toutes les épreuves pour moi et qu’une dette que je devais avait été remboursée.


Le jeune conducteur était tellement bouleversé que j'ai dû le réconforter : « Jeune homme, calmez-vous ! Parce que je pratique le Falun Dafa, je ne vais pas vous demander d'argent. Mon Maître m'a enseignée à être une bonne personne en suivant les principes de Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Ne vous inquiétez pas ! Falun Dafa est vraiment extraordinaire. Si vous aviez heurté quelqu'un d'autre aujourd'hui, les choses seraient totalement différentes. Mon Maître m'a sauvée ! Si vous croyez en Falun Dafa, vous serez béni. Jeune homme, s'il vous plaît, croyez que Falun Dafa est bon. »


Je lui ai alors donné une amulette de Falun Dafa et l'ai encouragé à réciter « Falun Dafa est bon ! » Il a dit : « D’accord ! D’accord ! Je crois en Falun Dafa. »


Quand je clarifiais la vérité en 2003, ma petite-fille a été heurtée par une voiture, mais elle n'a pas été blessée. Je savais que c'est parce que le Maître l'a protégée.


Je clarifie la vérité depuis 2000, jour après jour, par tous les temps. Je n'ai aucune idée du nombre de brochures et de dépliants que j'ai distribué, combien de personnes j'ai sauvé, ou combien de kilomètres j'ai marché. Mais je sais que je suis heureuse chaque fois que je sors pour clarifier la vérité. À l'avenir, je vais me cultiver plus diligemment et je ne vais pas laisser tomber le Maître.

Traduit de l'anglais en Europe