(Minghui.org) Mon épouse pratique le Falun Gong depuis plus d'une décennie. Je sais que le Falun Dafa est bon. Je l'ai soutenue toutes ces années quand elle a été persécutée et illégalement arrêtée pour avoir clarifié la vérité. Je dis souvent aux collègues et amis que les pratiquants de Dafa sont de bonnes personnes. Nous devons les traiter avec gentillesse. Lorsque les disciples de Dafa viennent chez moi, j'essaie de leur rendre les choses aussi facile et pratique que possible. Pourtant, je n'ai jamais pensé à rejoindre la pratique, jusqu'à ce jour de septembre dernier.

C'était en juillet ou août dernier lorsque, sans raison apparente, je ne pouvais plus manger tout d'un coup. Mon estomac était gonflé. Je souffrais de constipation, d'une faiblesse générale et d'une perte de poids rapide. Rien de ce que j'ai essayé ne pouvait me soigner. Un jour en septembre, après environ huit jours sans aller à la selle, alors que j'avais une douleur déchirante à l'estomac, j'ai dû entrer par moi-même à l'hôpital. Après un examen approfondi, les médecins ont conclu que non seulement j'avais un cancer du côlon, mais que les cellules cancéreuses s'étaient aussi déjà propagées au foie et dans les ganglions lymphatiques. Une intervention chirurgicale immédiate était indiquée.

Après la chirurgie, le médecin a dit à ma famille que je devais subir au moins six cycles de chimiothérapie.

J'étais dans la classe des gens connus comme les « trois sans » : sans assurance médicale, sans sécurité sociale et sans aucune source de revenus.

Mon intervention avait déjà épuisé toutes les économies de ma famille. La chimiothérapie recommandée coûterait encore 20 000 yuan. Ce montant ne prenait même pas en considération les dépenses nécessaires pour les médicaments et les besoins nutritionnels.

Le plus déprimant était la déclaration dévastatrice du médecin : « L'espérance de vie après la chimiothérapie est de deux ans au plus. »

Ma famille et moi avons coulé instantanément dans un bourbier de chagrin et de désespoir ... Comment pouvions-nous gérer cette situation ? Que pouvions-nous faire ?

Au cours des deux jours suivant l'opération, les amis pratiquants de ma femme sont venus l'un après l'autre à mon chevet. Ils m'ont parlé du Falun Dafa. Ils m'ont raconté des histoires de vie véritables sur la façon dont les pratiquants de Falun Gong ont guéri de maladies en phase terminale et ont obtenu une deuxième chance dans la vie. Mon épouse et eux m'ont encouragé à essayer le Falun Dafa, en disant : « Seul Dafa peut te sauver maintenant. Seulement le Maître de Dafa peut te sauver maintenant. »

J'ai commencé à prendre en considération ce qu'ils avaient dit. Je savais que la chimiothérapie était hors de question, en dépit de mon état physique ou de la situation financière de ma famille. Pourtant, je ne pouvais pas juste attendre de mourir !

Je me suis rappelé comment une fois après que ma tension artérielle avait augmenté à plus de 220, je n'avais pourtant pas souffert de conséquences néfastes ; comment une autre fois j'avais vécu un accident vasculaire cérébral, après quoi ma bouche pendait, mes yeux étaient bridés et je ne pouvais pas marcher - mais j'avais récupéré après seulement trois jours !

Tout à coup j'ai compris : c'était le Maître de Dafa qui m'avait sauvé !

J'avais pu renverser ma maladie physique ces deux fois, parce que je croyais dans le Maître de Dafa et j'avais dit sans cesse : « Falun Dafa Hao, Zhen-Shan-Ren Hao » [Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !]

Maintenant, pour la troisième fois, j'étais confronté à une autre épreuve de vie et de mort, sans échappatoire, avec aucun moyen de battre en retraite. Quel serait le résultat cette fois ? En sortirais-je indemne comme avant ? Que devrais-je faire ? Comment devrais-je aller de l'avant ?

J'en ai conclu que tout m'indiquait la même direction : je devais marcher sur le chemin d'un pratiquant de Falun Dafa !

J'ai dit à mon épouse : « Je veux pratiquer le Falun Gong ! »

Alors, j'ai dit à mes médecins d'un air décidé : « Je ne vais pas subir une chimiothérapie. Je ne vais plus prendre de médicaments. Je veux mon congé et être renvoyé à la maison. » Le médecin traitant m'a rappelé les graves conséquences d'un refus de la chimiothérapie, mais je l'ai informé fermement : « Je vais prendre l'entière responsabilité du résultat et de toutes les conséquences ! »

Voici comment j'ai renouvelé ma vie en tant que pratiquant de Falun Gong.

J'ai tout de suite commencé à lire systématiquement les livres et les écrits du Falun Dafa. Dix jours plus tard, j'ai commencé à apprendre et à faire les exercices.

Étudier le Fa m'a permis d'acquérir de plus en plus de compréhension sur le Falun Gong. Faire les exercices m'a aidé à vivre un miracle de Dafa après l'autre.

La première fois que j'ai fait les exercices, j'ai dormi toute la nuit. C'était une bonne nuit de sommeil, comme je n'en avais pas apprécié d'aussi loin que je me souvienne. Le deuxième jour que je faisais les exercices, j'ai senti une douleur atroce dans mes chevilles. C'était comme si la plante de mes pieds avaient une ouverture d'où l'air froid s'est échappé avec un son « sifflant ». Le troisième jour, mes genoux ont soudainement gonflé jusqu'à la taille d'un bol de riz. Ensuite, le gonflement s'est déplacé vers les mollets et mes deux pieds ont énormément transpiré.

Puis mon larynx, qui ne pouvait pas émettre le moindre son audible après la chirurgie, a soudainement émis une parole haute et forte. Je sentais des roues du Fa dans ma région abdominale. J'avais continuellement des gaz. Mon corps a commencé à se réchauffer. Mes pieds ont gagné de la force et je pouvais marcher avec un pas léger. En un mois, mon poids est passé de 60 à 80 kilos.

Parce que j'avais lu les livres et les écrits de Dafa, j'ai compris que toutes ces choses étaient de bonnes choses. Peu importe la manifestation, c'était le Maître qui nettoyait mon corps. J'ai une ferme confiance dans le Maître et Dafa. Je supportais toute la douleur. J'ai surmonté toutes les épreuves et les tribulations, une par une.

Je sais que la pratique du Falun Dafa est sérieuse. En tant que pratiquant, élever le xinxing est le plus important. Simplement faire les exercices n'est pas la vraie cultivation et ne va pas guérir les maladies mais pourrait au contraire tôt ou tard conduire à des problèmes et avoir un impact négatif sur Dafa. Par conséquent, chaque fois que j'étudie le Fa, je m'assure d'appliquer ce que j'ai appris aux problèmes que je rencontre, afin de penser et d'agir dans les exigences et les critères du Fa.

Après l'opération, j'ai dû avoir un sac de stomie installé pour aider à l'élimination des selles. Le sac se remplissait constamment de l'énergie de la maladie. Il était si gonflé, comme proche de l'éclatement. Cela devenait plutôt gênant.

Je croyais fermement que le Maître avait déjà purifié mon corps tout entier. Alors environ un mois après l'opération, je suis allé d'un hôpital à l'autre pour que le sac de stomie soit retiré. Ils ont tous rejeté ma demande, en disant : « Ce serait impossible parce que vous ne pouvez pas avoir récupéré d'une chirurgie du cancer du côlon si tôt. Si nous vous ouvrons, nous allons trouver des cellules cancéreuses. Nous ne pouvons pas prendre ce genre de responsabilité. » Ils ont tenu bon malgré ma garantie répété que je prendrais l'entière responsabilité de toutes les conséquences.

Il n'y avait pas moyen que je puisse faire quoi que ce soit moi-même, je n'avais donc pas d'autre choix que de continuer à porter le sac de stomie.

Après deux mois, j'ai eu une pensée. J'ai demandé au Maître de bien vouloir m'aider. Je suis allé de nouveau dans les hôpitaux pour obtenir une opération afin d'enlever le sac de stomie. Un des médecins a finalement accepté. Les examens préopératoires ont pris une semaine. Chaque test a indiqué que tout était normal. Le médecin a enfin effectué l'opération.

Pour une personne de plus de 60 ans, un patient avec des cellules cancéreuses déjà répandues du côlon au foie et dans les ganglions lymphatiques, pas tout à fait trois mois après une première intervention chirurgicale qui a nécessité une incision du ventre de près d'un pied de long, de subir une deuxième intervention chirurgicale et trois jours après le cathéter a été retiré, quatre jours après le sac de stomie a été retiré et cinq jours après quitter l'hôpital – les médecins étaient incrédules. Ils ne pouvaient que répéter encore et encore : « Si tôt ! La guérison est trop hâtive ! »

J'avais l'intention de clarifier la vérité à mon chirurgien mais je n'arrivais pas à trouver le bon moment, alors je ne l'ai jamais fait. Je me rends compte que c'est parce que ma cultivation n'était pas tout à fait à la hauteur à ce moment-là.

Je savais que c'était Dafa qui m'a donné une seconde chance dans la vie. Le Maître a porté beaucoup pour moi et m'a beaucoup donné, tellement qu'il n'y a aucune façon que je ne pourrais jamais lui rembourser. Chaque fois que je pense à ça, mes larmes coulent de façon incontrôlable.

J'ai fait une promesse solennelle que j'allais suivre chaque mot du Maître, pratiquer avec diligence, faire les trois choses avec la diligence voulue et utiliser mon expérience personnelle pour sauver plus de gens.

J'ai immédiatement fait une liste de personnes à qui clarifier la vérité, j'ai élaboré un plan d'action, discuté de la décision avec mon épouse et j'ai commencé à mettre mon plan en action. « Par coïncidence », au cours des jours suivants, j'ai rencontré les personnes sur ma liste. Ma femme m'a dit que c'était l'arrangement du Maître. De savoir que j'ai enfin le Maître pour me guider et veiller sur moi m'a fait sentir de la chaleur et heureux.

Je serai éternellement reconnaissant au Maître de m'avoir accordé le salut !

Traduit de l'anglais au Canada