(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa, depuis 1998. Depuis lors, j'ai été témoin de nombreux incidents miraculeux sur mon chemin de cultivation. En voici quelques-uns.

Gérer des blagues salaces avec dignité

Peu de temps après avoir commencé à pratiquer, je suis sorti pour dîner avec des collègues de travail et des superviseurs. L'un d'eux m'a raconté une blague salace. J'étais mécontent mais je ne savais quoi faire. Après un moment, je me suis rappelé ce qui suit tiré de : « Abstinences pour les pratiquants » de Points essentiels pour un avancement diligent et j'ai commencé à le réciter :

« S'attacher à la luxure ne diffère pas du vice, en récitant les écrits ils lancent des regards de voyeurs, ils sont très loin du Dao, ce sont des hommes ordinaires pervers. »

Étonnamment, mon corps avachi sur la chaise a été soudainement soutenu par une force douce et puissante. Avec cela, je me suis assis bien droit et confortablement, avec dignité.

Réciter le Fa

Pendant un certain temps, j'ai travaillé à un endroit, dans une région nouvellement développée, où le transport en commun était très limité. Un soir, après avoir terminé le travail, vers 20h00 environ, j'ai dû marcher jusque chez moi, parce qu'il n'y avait ni autobus ni taxis. Cela m'a pris plus d'une heure.

Après avoir travaillé toute la journée, j'étais très fatigué. Alors que je marchais, j'ai récité la préparation à quelques d'exercices du Falun Dafa de La Grande Voie de l'Accomplissement :

« Se tenir debout naturellement. Les pieds sont écartés de la largeur des épaules. Les genoux sont légèrement fléchis. Gardez les genoux et les hanches détendus. Tout le corps reste détendu, mais pas relâché. Rentrez un peu le menton. Le bout de la langue touche le palais. Laissez une petite ouverture entre les dents. Les lèvres sont closes. »

Alors que je récitais les articles du Maître en marchant, il m'a semblé que plus je marchais, plus vite je marchais. Je me suis senti si léger, c'était comme si mes pieds ne touchaient même pas le sol.

Quand j'étais près de chez moi, j'ai senti soudainement les canaux autour de mes hanches s'ouvrir. Avec tous les canaux d'énergie ouverts, je ne me suis plus senti fatigué et je me suis senti très à l'aise.

Torturé avec de l'eau froide

Je suis de nouveau allé à Beijing en mars 2000 faire appel pour le droit de pratiquer le Falun Dafa. J'ai été arrêté et placé dans un centre de détention local pendant un mois. La première chose que les détenus ont fait a été de me verser de l'eau froide dessus, une torture appelée « la douche d'eau froide ».

Il fait encore très froid en mars, dans le Nord de la Chine. Quand ils me versaient de l'eau glacée dessus, un seau après l'autre, j'ai commencé à réciter les articles du Maître. Je savais que tout allait bien se passer puisque j'étais un pratiquant de Falun Dafa. J'ai commencé à ressentir une chaude et douce énergie naître à l'intérieur de mon corps, laquelle a continué de s'étendre à l'extérieur jusqu'à atteindre la surface de mon corps. Comme les détenus continuaient de me verser de l'eau dessus, il n'y avait que ma peau qui était légèrement froide mais à l'intérieur je ressentais autant de chaleur qu'en temps normal.

Ceci s'est poursuivi pendant une demi-heure avant que les détenus n'arrêtent. En me regardant avec respect, le chef de la cellule des détenus a dit : « Vous êtes très loyal envers le Falun Dafa. Pouvez-vous nous montrer comment faire les exercices ? »

Battu dans un camp de travaux forcés

Tous les deux, ma femme et moi, avons été arrêtés en octobre 2000, pour avoir parlé aux gens de la persécution du Falun Dafa. Nous avons été envoyés dans un camp de travaux forcés pour un terme de trois ans.

La première semaine après être arrivés, de nombreux détenus insultaient le Falun Dafa devant nous. Quand plusieurs d'entre nous se sont levés pour clarifier les faits, les gardes et les détenus se sont précipités sur nous et nous ont battus brutalement. Des pratiquants ont immédiatement perdu connaissance.

J'étais très calme et je n'étais pas apeuré du tout. Dans mon esprit, je n'avais qu'une seule pensée : « Un pratiquant de Falun Dafa a besoin de sauvegarder le Fa. » Bien que les gardes et les détenus me battaient constamment, je ne ressentais aucune douleur, comme si mon corps était composé d'une substance très dense qui n'était pas affectée par les coups du tout.

Comme de plus en plus de pratiquants se risquaient à nous soutenir, les coups ont bientôt arrêté. Au lieu de nous punir davantage, les autorités nous ont donné un bon déjeuner ce jour-là.

Suite à cela, j'ai eu une meilleure compréhension des mots du Maître de « Également en deux mots » :

« L'article intitulé 'une bonne personne' a expliqué en peu de phrases un principe. La pensée droite indestructible envers la vérité de l'Univers forme le corps de diamant solide comme le roc des bienveillants disciples de Dafa, qui effraie toute perversité, la lumière de la vérité qui émane fait se désagréger les facteurs conduisant à une pensée déviée chez toutes les vies. Autant la puissance de la pensée droite, autant de force majestueuse. Les disciples de Dafa sont en train de sortir réellement de l'homme ordinaire. »

La gale

Quand j'ai été détenu dans un camp de travaux forcés au début de l'année 2001, nous avions entendu parlé de la mise en scène de l'incident des auto-immolations Place TianAnMen qui diffamait le Falun Dafa. Bien que nous n'avions pas accès à l'information à l'extérieur, nous savions que le suicide était contre les enseignements du Falun Dafa et nous suspections que cet incident était fabriqué. En réponse, nous avons fait une grève de la faim pendant cinq jours.

Après avoir été battus et nourris de force, des pratiquants sont morts. D'autres pratiquants, incluant moi-même, avons été transférés dans un autre camp de travaux forcés.

À cause des mauvaises conditions de cet endroit, j'avais la gale sur de nombreux endroits de mon corps. Un jour, après être arrivé dans ce nouveau camp de travaux forcés, le chef des détenus a demandé si nous allions continuer de pratiquer le Falun Dafa. Quand je lui ai dit que j'aillais le faire, il a dit à de nombreux détenus de me torturer. Ils m'ont enlevé mes vêtements, m'ont maintenu sur un lit et ils m'ont frappé avec des chaussures en plastique, spécifiquement aux endroits où j'avais la gale.

C'était très douloureux. Alors je me suis rappelé les mots du Maître, dans le Zhuan Falun :

« C'est difficile à endurer, mais on peut l'endurer, c'est difficile à faire, mais on peut le faire. »

Comme les détenus ont continué à me battre, j'ai continué à réciter ces mots.

Étonnamment, la douleur est partie. Je sentais seulement un petit engourdissement quand les détenus me battaient. D'autre part, le chef des détenus qui avait commencé cette agression n'a pas pu lever son bras pendant trois jours.

Traduit de l'anglais au Canada