(Minghui.org) Le 24 août 2014, les pratiquants ont organisé une « Grande Muraille de la vérité », en tenant des banderoles debout côte-à-côte le long des trottoirs, avec un événement de campagne de signatures, à Campsie, une ville réputée pour sa concentration d'immeubles de bureaux et de centres commerciaux, au sud-ouest de Sydney. Les gens ont exprimé leur soutien au Falun Gong et plus de 50 Chinois ont rejoint le mouvement de démission du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées au cours de l'événement.

Un habitant de Campsie signe la pétition pour demander la fin du prélèvement forcé systématique d'organes à vif sur des pratiquants de Falun Gong par le PCC et il a demandé au pratiquant comment il pouvait les aider.

La pratiquante de Falun Gong, Mme Xiu Qin (à droite), aide une Chinoise à démissionner du PCC et de ses organismes affiliés.

Un habitant de Campsie signe la pétition pour demander la fin du prélèvement forcé systématique d'organes à vif sur des pratiquants de Falun Gong par le PCC.

De nombreux habitants qui ont vu les tableaux d'affichage et les banderoles ont trouvé cela incroyablement cruel et ont signé la pétition demandant la fin du prélèvement forcé systématique d'organes à vif sur des pratiquants de Falun Gong par le PCC. Certains ont demandé ce qu’ils pourraient faire pour aider le Falun Gong.

Un homme avec une chemise à carreaux rouge a signé la pétition, pris un journal de l’édition spéciale avec une série de rapports concernant la persécution contre le Falun Gong en Chine et a parlé du Falun Gong avec plusieurs pratiquants. Il a dit qu'il connaissait la persécution depuis de nombreuses années, car il a vu les pratiquants de Falun Gong manifester près du consulat chinois. Il a salué les efforts des pratiquants pour atteindre le public et dit que davantage de gens devraient en savoir plus sur la persécution et aider à y mettre fin aussi vite que possible.

Plus de 50 Chinois ont enregistré leur démission du PCC et de ses organismes affiliés pendant l'évènement de trois heures. D’autres Chinois ont dit qu'ils l'avaient déjà fait grâce au centre d’aide pour démissionner du PCC, localement ou dans les villes voisines.

Il y a aussi quelques Chinois qui ont tout d'abord nié être des membres du Parti communiste ou de ses organismes affiliés, mais ils ont décidé ensuite de démissionner du PCC après avoir appris les faits sur la persécution. Une Chinoise en visite chez son fils à Sydney était l'une d'entre eux.

Elle a marché devant une banderole et s'est arrêtée pour regarder de plus près. Mme Xiuqing, une pratiquante de Falun Gong tenant la banderole, lui a demandé : « Avez-vous démissionné du PCC et de ses organismes affiliés ? »

« Je ne suis membre d'aucun d'entre eux », a-t-elle répondu.

Xiuqin lui a raconté l'histoire de la femme sur la photo de la banderole, Mme Gao Rongrong, dont le visage a été défiguré par la torture avec des matraques électriques dans une prison chinoise et elle est morte plus tard sous la garde de la police.

Apparaissant profondément émue, la femme a posé des questions à Xiuqin sur « l’incident de l’auto-immolation sur la place Tiananmen » et sur le prélèvement d'organes des pratiquants du Falun Gong vivants.

Xiuqin lui a montré des photos sur une autre banderole, qui expliquait que la soi-disant « auto-immolation » était simplement un coup de propagande massive, mis en scène par le PCC pour diaboliser le Falun Gong.

Xiuqin lui a dit que tout le monde doit choisir un côté entre le juste et le mal quant au fait que les pratiquants de Falun Gong sont arrêtés, torturés et même ont leurs organes prélevés alors qu'ils sont encore en vie, simplement parce qu'ils maintiennent leur croyance en Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

La femme a accepté et décidé de démissionner des Jeunes Pionniers (affiliés au Parti communiste chinois) à l'aide d'un pseudonyme. Elle a ensuite pris un dépliant d'information et commencé à le lire.

Traduit de l’anglais au Canada