(Minghui.org) J'ai été arrêté en juillet de cette année pour avoir distribué des DVD d'information sur le Falun Dafa.

Au poste de police, l'agent de sécurité local a dit que je ferais face à une punition sévère parce que Xi Jinping, le président chinois, était à une conférence dans la ville de Chengdu.

Je n'ai pas été affecté et suis resté calme. Je lui ai dit que le Falun Dafa enseigne aux gens à être bons et que c'est un crime de persécuter le Falun Dafa.

Refuser de coopérer

Les policiers ont fouillé mon sac et ont trouvé les DVD. Ils ont demandé mon nom, que j'ai refusé de donner. Le policier qui m'a arrêté a dit qu'ils ne pouvaient pas libérer un pratiquant de Falun Dafa à moins de connaître son nom.

« Nous allons vous libérer immédiatement », a déclaré le directeur adjoint, « une fois que vous aurez donné votre nom. Sinon, vous serez ici pour toujours ! »

« J'ai un profond remord pour vous avoir arrêté », a déclaré discrètement l'autre policier. « Si vous m'aviez supplié, je vous aurais libéré. Vous ne semblez pas être une mauvaise personne. »

J'ai récité le Fa du Maître dans mon cœur :

« En aucune circonstance on ne doit coopérer aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante » dans Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Comme je refusais de coopérer, plus d'une dizaine de policiers m'ont pressé vers le bas et m'ont mis des chaînes. Ils m'ont menotté les bras dans le dos et m'ont mis un lourd gadget sur la tête pour me torturer. Ensuite, ils m'ont poussé dans une petite cellule sombre.

« Vous commettez un crime », leur ai-je crié, « je n'ai commis aucun crime. Je vais vous poursuivre devant la cour internationale. »

Des lacunes causent l'interférence des forces anciennes

« Ne me persécutez pas », ai-je dit aux forces anciennes. « Je fais la chose la plus juste dans l'univers. J'éveille les êtres. Vous commettez des crimes en interférant avec moi. Je reconnais que j'ai des omissions. Mais vous n'êtes pas les êtres pour me tester. Je suis le chemin que mon Maître a arrangé pour moi. »

J'ai regardé à l'intérieur pour trouver mes lacunes et j'ai trouvé que j'avais de la jalousie et une mentalité à me faire valoir. Cependant, j'étais diligent dans l'étude du Fa, pour émettre la pensée droite et clarifier la vérité à propos de Dafa aux gens face à face.

Cependant, j'avais imposé mes idées aux autres pratiquants et je pensais qu'ils ne clarifiaient pas la vérité aux gens aussi bien que je le faisais. J'étais devenu très arrogant, mais je n'en étais pas conscient. Je m'étais relâché dans la cultivation de mon xinxing.

Le gadget sur ma tête était très lourd et il me couvrait les yeux, le nez et la bouche. Je pouvais à peine respirer. Les menottes coupaient profondément ma chair. J'ai commencé à ressentir des crampes dans les bras et les jambes. J'ai récité le Fa du Maître encore et encore jusqu'à ce que je m'évanouisse.

Le Maître a dit :

« Le xiulian est justement difficile, ce qui est difficile c'est qu'au moment où le ciel s'effondre et la terre s'affaisse, ou la perversité persécute frénétiquement, au moment critique de la vie ou la mort, tu es toujours capable de continuer à marcher fermement sur ton chemin de xiulian, aucune affaire dans la société humain n'arrive à interférer avec tes pas sur le chemin du xiulian. » (Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Refuser de coopérer

Je me suis réveillé quand un policier m'a versé de l'eau froide sur le visage. Le directeur adjoint et un groupe de policier m'encerclaient.

« Quel crime ai-je commis pour que vous me persécutiez comme ça », ai-je dit. « Je n'ai pas commis d'assassinat ou d'incendie criminel, ni n'ai dévalisé ou volé. Je n'ai pas fait de mal à la société. Je ne fais que dire aux gens que le Falun Dafa est bon. Notre Maître est lésé, nous sommes pacifiques, rationnels et non violents. N'avons-nous pas le droit de parler en tant que citoyens ? »

Ils m'ont alors emmené dans un autre endroit où je fus interrogé. J'ai continué d'émettre la pensée droite, de clarifier la vérité pour dissoudre la perversité et de demander au Maître de me renforcer.

Je n'ai pas coopéré pendant l'interrogatoire et j'ai seulement dit : « Falun Dafa est bon. » Quand on m'a demandé de signer un document, j'ai signé « Falun Dafa est bon. »

L'interrogatoire a duré 15 minutes. Alors, je leur ai dit les faits sur Dafa et la vérité sur le Parti communiste chinois (PCC).

J'ai parlé pendant une heure et demie et on m'a dit que je parlais bien. Un policier a reconnu que Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.

« Je trouve que vous êtes remarquable », a dit une policière, « vous avez changé l'esprit des gens. »

Quand mes pensées humaines surgissaient, je refusais de les accepter, je les dissolvais et maintenais une forte pensée droite.

Libéré

On m'a emmené au poste de police le lendemain et le directeur adjoint a dit que je pouvais rentrer à la maison. J'ai senti une pression sans nom après que je sois sorti du poste de police.

Je marchais lentement et j'ai remarqué que trois personnes me suivaient. Quand je me suis mis à marcher rapidement, elles marchaient vite et quand je marchais lentement, elles marchaient lentement. Je suis entré dans un marché. Elles m'ont suivi. Puis je me suis promené sur le marché jusqu'à ce que je voie un taxi. Je me suis couché sur la banquette arrière et les ai vus passer par là. J'ai demandé au chauffeur de partir immédiatement et lui ai dit où aller.

Cette épreuve m'a montré que c'est seulement quand nous suivons les exigences du Maître que nous pouvons échapper aux tribulations et avoir un chemin lumineux.

Traduit de l'anglais au Canada