Des agents de police impliqués dans la campagne « Frapper aux portes » viennent chercher de l'aide

(Minghui.org) J'ai reçu un appel d'un agent du poste de police de ma résidence déclarée en août de cette année. Il a dit qu'il était à l'extérieur de chez moi et voulait parler du Falun Gong.

« Les marionnettes de Jiang Zemin ont persécuté le Falun Gong pendant 18 ans », ai-je dit. « En tant qu'acteur de première ligne de la persécution, vous êtes bien conscients que nous suivons le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Vos dirigeants, Zhou Yongkang et Li Dongsheng, ont été emprisonnés. Pourquoi nous harcelez-vous encore ? »

Comme d'habitude, la réponse était qu'ils suivaient les ordres.

Je lui ai dit : « J'ai déménagé. Même si vous venez me voir, tout ce que je peux vous dire, c'est que ''Falun Dafa est bon''. Je n'écouterai aucune de vos demandes et je ne signerai rien. Pensez-vous toujours qu'une rencontre est nécessaire ? »

Il voulait toujours me voir et m'entendre dire que le Falun Dafa est bon, alors je lui ai donné mon adresse.

Une visite cordiale de la police

J'ai brûlé de l'encens devant la photo du Maître et je lui ai demandé de renforcer mes pensées droites. J'ai demandé son aide pour bien faire les choses et ne pas rater cette occasion de leur clarifier les faits sur le Falun Gong. J'ai envoyé la pensée droite pendant longtemps pour éliminer ma peur, ainsi que le ressentiment et le dégoût que j'avais développé envers eux au fil du temps.

Il y avait trois policiers. Je leur ai serré la main chaleureusement. Ensuite, j'ai vu que l'un des policiers filmait. J'ai rapidement arrêté de sourire et j'ai dit : « Je vous accueille chez moi en tant qu'invités. Pourquoi fais-tu ça ? C'est illégal. Pourquoi ne l'éteins-tu pas ? » Il a obéi et nous sommes montés à l'étage.

Après leur avoir offert du thé, je leur ai dit que l'arrestation de Zhou Yongkang était une punition du ciel pour sa persécution du Falun Gong et que Jiang Zemin recevrait bientôt sa punition aussi. C'est la loi de récolter ce que l'on sème.

Ils ont écouté et souligné à nouveau qu'ils ne faisaient que suivre les ordres.

Je leur ai dit que j'avais été soldat. Obéir aux ordres était alors naturel pour moi. Cependant, il faut être en mesure de savoir si les ordres sont légitimes. Si quelqu'un exécute une commande illégale, il doit en assumer la responsabilité. Particulièrement en ce moment, le gouvernement a une politique de responsabilité à vie concernant les questions importantes.

Je leur ai dit qu'ils avaient beaucoup changé depuis la dernière fois et qu'ils n'étaient plus agressifs. Cela signifiait qu'ils avaient appris la vérité et qu'ils traiteraient bien les pratiquants. J'étais donc heureux de répondre à leurs questions.

Un interrogatoire

Ils voulaient savoir pourquoi je pratiquais le Falun Gong.

J'ai dit : « J'ai servi dans l'armée avant d'être transféré dans une société civile en tant que gestionnaire. J'ai étudié dans une académie militaire quand j'étais jeune. J'avais un futur prometteur. Mais j'ai développé de graves problèmes cardiaques qui m'ont forcé à partir. J'ai soigné mes maladies pendant de nombreuses années sans résultat. »

J'ai continué : « J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998 et j'ai guéri de toutes mes maladies sans aucun traitement. Je n'ai pas pris de médicaments ni reçu d'injections au cours des 20 dernières années. »

Un agent m'a interrogé de façon détournée au sujet de la persécution initiée par Jiang Zemin.

J'ai répondu : « Vous faites référence à la persécution du Falun Gong par Jiang Zemin, les pratiquants vous disent que le ciel va détruire le Parti communiste chinois (PCC), et que démissionner du PCC vous sauvera. La vérité complète est que la destruction du PCC par le ciel est inévitable. »

Un agent a ri et a dit qu'il ne croyait pas aux divinités. Je l'ai exhorté à changer d'avis, à croire en la vérité expliquée par les pratiquants, et à démissionner du PCC.

Ils m'ont ensuite demandé d'exprimer mon point de vue sur les dirigeants actuels et le 19^e Congrès national du Parti communiste.

J'ai répondu : « Les dirigeants et le régime actuels n'ont pas persécuté le Falun Gong. Ils ne veulent pas persécuter le Falun Gong. La persécution en cours est le travail des forces résiduelles de Jiang Zemin et de Zhou Yongkang. Quant à Xi Jinping et Li Keqiang (président et premier ministre actuels), non seulement ils n'ont pas persécuté le Falun Gong, mais ils ont aussi arrêté Zhou Yongkang et Li Dongsheng. Je les applaudis sur cet aspect », ai-je dit. « Quant au 19^e Congrès national, il n'a rien à voir avec nous, car les pratiquants ne s'impliquent pas dans la politique. »

J'ai continué : « Bien que nous ne nous impliquions pas en politique, je sais très bien de quoi parle le Parti, puisque mon travail était en lien avec la politique quand j'étais dans l'armée. J'ai étudié le marxisme et le léninisme. J'espère donc que vous serez clair d'esprit et ne suivrez pas les pas des marionnettes de Jiang. »

« Le Falun Gong n'a pas été déclaré secte par le ministère de la Sécurité publique. Cela signifie que la persécution du Falun Gong au cours des 18 dernières années n'a aucun fondement légal. C'est contre la loi. » Je leur ai montré la publication du ministère de la Sécurité publique. Ils ont été surpris. J'ai suggéré qu'ils en lisent davantage en ligne.

La dernière question qu'ils ont posée était de savoir comment ma famille percevait ma pratique du Falun Gong.

« Laissez-moi répondre à cela », est intervenue ma femme. « Premièrement, la pratique du Falun Gong a amélioré sa santé. Deuxièmement, il n'a plus mauvais caractère. Ces deux points à eux seuls suffisent à montrer que le Falun Dafa est bon. »

Les trois agents de police ont souri, se sont levés et sont partis après m'avoir serré la main.

Traduit de l'anglais au Canada