(Minghui.org) Je sors d'habitude tous les jours pour clarifier la vérité directement face-à-face et distribuer des documents de clarification de la vérité. Quand le coronavirus a commencé à se répandre, mon sens de l'urgence a augmenté. Je savais que la vie des gens était en jeu et je ne pouvais pas rester assis chez moi.

Au moment du réveillon du Nouvel An chinois et du premier jour du Nouvel An, la situation ne paraissait pas encore désespérée. Je pouvais encore persuader quotidiennement environ 20 personnes de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. Le lendemain du Nouvel An, cependant, les responsables du gouvernement ont commencé à fermer les routes du village. Je parcourais anxieusement les rues vides. Quand je finissais par rencontrer quelqu'un, je leur parlais très patiemment. La plupart des gens à qui j'ai parlé ont accepté de démissionner du PCC. J'ai essayé de laisser ceux qui n'ont pas démissionné avec de bonnes pensées, en espérant qu'ils auraient encore une chance d'être sauvés.

Bien que je n'avais pas peur de tomber malade, je portais tout de même un masque. De cette manière, les gens n'allaient pas penser que j'étais bizarre. Un jour, j'ai rencontré un homme qui ne portait pas de masque et qui refusait de m'écouter. Je lui ai dit finalement : « Vous devriez porter un masque. Vous devriez faire attention à votre sécurité. » Alors son attitude a complètement changé et il a regardé mes dépliants et en a pris un.

Un autre homme venait juste de finir de travailler et son front était couvert de sueur. Quand j'ai essayé de lui clarifier la vérité des faits, il a refusé d'écouter ou de regarder les documents. Il est monté sur sa moto et allait partir. Je lui ai dit d'essuyer la sueur de son front, sinon il allait attraper froid. Il s'est alors détendu. Après que nous ayons parlé, je l'ai aidé à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées et je lui ai souhaité la paix et une bonne santé.

Aujourd'hui, j'ai rencontré deux hommes qui avaient tous deux l'air méchants. Je me suis vite avancé vers eux pour leur expliquer la vérité des faits. L'un d'eux a sorti son téléphone et allait appeler le poste de police. Il a dit : « Savez-vous quel est notre travail ? » Je leur ai calmement répondu que je leur souhaitais ce qu'il y avait de mieux. Je leur ai dit que de nombreuses personnes étaient en train de mourir et que je voulais les aider à éviter un désastre et à mener une vie paisible. L'autre homme a dit : « Faites-moi voir. » Je lui ai alors proposé un CD avec de l'information et des documents de clarification de la vérité qui concernent l'épidémie du coronavirus. Je leur ai dit qu'ils devraient tous les deux lire attentivement cette information.

Comme ils avaient commencé par avoir un regard hostile, le pratiquant avec qui j'étais ne voulait pas leur parler, mais j'ai dit que nous les avions rencontrés pour une raison. En raison de cette épidémie, les gens ont de moins en moins de chance d'être sauvés, donc nous ne pouvons pas manquer une seule personne. De plus, le Maître veille toujours sur nous, donc nous n'avons pas besoin d'avoir peur.

Mettre la peur de côté

L'attachement à la peur ne peut pas être utilisé comme excuse pour éviter de sortir pour clarifier la vérité. Nous tous, pratiquants de Dafa, savons que notre mission est de sauver les gens. Comment ne pouvons-nous pas remplir notre promesse simplement à cause de la peur ? Nous devrions sortir ouvertement et avec dignité et parler aux gens. Nous ne devrions pas rester chez nous à nous inquiéter de notre propre sécurité. Notre seule inquiétude devrait être de sauver le plus de gens possible. Quand nos motivations et nos points de vue changent, nos peurs s'affaiblissent graduellement jusqu'à ce qu'elles disparaissent.

Quand je rencontre un policier en uniforme, je lui explique les faits. Comme il n'y a que peu de gens dehors en ce moment, j'informe aussi les gardes de sécurité des immeubles. J'explique aussi les faits sur le Falun Gong aux gardes des entrées des petits districts et villages qui portent les insignes du PCC. Je ressens que tout le monde doit être sauvé. Avec l'urgence de cette grande épidémie, peu importe qui ils sont, tout le monde doit être sauvé.

Dans le processus d'expliquer la vérité, j'ai découvert que mes pensées et mes inquiétudes à mon sujet diminuent graduellement. Un bon nombre de mes attachements sont aussi en train de s'affaiblir. Mon cœur de compassion émerge graduellement et je ressens que je ne suis pas seulement en train d'utiliser ma bouche pour clarifier la vérité ; au lieu de cela, je parle avec mon cœur. Je suis aussi capable de réfléchir aux choses de la perspective des autres personnes. Je sais que tout ceci n'est possible qu'avec l'aide du Maître.

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Clarifier la vérité est une très bonne opportunité de cultivation. Tant que nous avons le cœur pour sauver les gens, le Maître va arranger que les gens viennent à nous pour entendre la vérité. Tant que nous lâchons les inquiétudes égoïstes pour notre propre sécurité, les gens vont être sauvés ! Face à cette épidémie, chérir ces opportunités et le temps supplémentaire que le Maître nous donne revient à nous chérir nous-mêmes.

Chaque jour de la rectification du Fa ne reviendra pas une fois passé ! Pendant cette vie, je suis très honoré d'être un pratiquant de Dafa ! Merci Maître pour vos efforts bienveillants et de traverser tant de difficultés pour nous sauver ! Je vais garder les enseignements du Maître dans mon cœur et bien me cultiver moi-même et sauver plus d'êtres !

Ce sont simplement quelques-unes de mes compréhensions à mon niveau actuel. Merci d'avoir la bonté de me corriger s'il y a besoin d'amélioration.

Traduit de l'anglais