(Minghui.org) Le coronavirus de Wuhan s’est propagé dans le canton où je vis. La pratiquante de Falun Dafa qui clarifie la vérité sur Dafa avec moi a eu des congés supplémentaires en raison du virus.

Elle et moi nous sommes dits que nous ne pouvions pas nous arrêter de parler de Dafa aux gens. Nous ne devons pas aller travailler, alors c’est le meilleur moment pour nous de sortir tous les jours diffuser la vérité.

Plus tard, une famille de trois personnes dans mon canton a été infectée par le coronavirus. Ils ont contacté de nombreuses personnes autour du Nouvel An lunaire chinois. Des fonctionnaires de mon canton ont commencé à devenir nerveux à partir du 2 février. Les routes étaient fermées – c’était très inquiétant. La plupart des gens se cachaient chez eux.

En distribuant des documents d’information de Dafa, nous avons eu d’assez bons résultats les premiers jours. Mais le 2 février, il y avait significativement moins de gens dans la rue. Nous n’avions distribué que trois dépliants de toute la matinée. Et les gens qui les ont reçus connaissaient déjà la vérité et ils avaient démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. J’ai dit à ma compagne de cultivation que je trouvais vraiment difficile de sauver les gens aujourd’hui.

Une femme âgée veut de nouveaux livres disant la vérité

Alors que nous rentrions à la maison, une femme âgée nous a arrêtées. Je lui ai donné des documents de Dafa. Elle m’a demandé anxieusement : « Y a-t-il quelque chose de nouveau ? Avez-vous le livre épais ? » Je lui ai donné le livre Le but ultime du communisme. Elle m’a dit qu’elle avait déjà démissionné du PCC, elle avait déjà lu le livre et l'avait donné à ses voisins.

Elle a feuilleté tous les documents qu’il y avait dans mon sac et a pris la brochure La Graine d’Or et un dépliant édité par des pratiquants locaux, enseignant aux gens comment se protéger eux-mêmes face à l’épidémie de coronavirus. Elle ne cessait de dire : « Chaque fois que j’ai terminé de les lire, je les donne aux gens autour de moi. Ils aiment les lire. Merci ! »

J’ai dit à ma compagne de cultivation : « J’étais un peu négative aujourd’hui. N’est-ce pas le Maître qui m’a encouragée à travers les mots des gens ordinaires ? Aussi longtemps que nous persévérons chaque jour, même si nous ne distribuons qu’une seule brochure, ce ne sera pas une perte de temps. » Elle a dit : « Exact, nous ne devrions pas être pessimistes et nous laisser guider par la situation actuelle. Nous faisons simplement ce que nous devons faire, car tout est sous le contrôle du Maître. »

Quand je suis rentrée chez moi, j’ai émis la pensée droite et j’ai ajouté la pensée : « Désintégrer tous les arrangements faits par les forces anciennes, spécialement l’utilisation de l’épidémie pour détruire les gens de ce monde. Supprimer les éléments amenant les gens à paniquer. Puisse le Maître laisser les gens ayant l'affinité prédestinée trouver des moyens d’entendre la vérité. »

Un vendeur lève le pouce

Le lendemain, nous marchions dans une ruelle. Il y avait auparavant de nombreux marchands de légumes dans cette rue, mais aujourd’hui, il n’y avait que quelques vendeurs. Un homme et une femme étaient à côté de leur étal.

J’ai demandé s’ils voulaient lire des livres. L’homme a immédiatement demandé si c’était au sujet du Falun Gong, et je lui ai dit que c’était le cas. Il nous a dit que c’était bien que nous continuions à sortir en ce moment.

Je lui ai dit : « Nous voulons simplement dire aux gens comment se protéger pour ne pas être exposés à l'épidémie. »

Il a demandé le livre épais, car il n’avait pas lu celui-là. Je lui ai donc donné le livre Le but ultime du communisme, un journal et un dépliant.

Lui et sa femme avaient déjà démissionné du PCC et de ses organisations pour la jeunesse. Alors, je lui ai remis une amulette et j’ai dit : « Lisez les deux phrases qui y figurent pour empêcher l’épidémie de venir frapper à votre porte. Restons en sécurité ! »

En tenant l’amulette, il a lu à haute voix : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Sa lecture l’a réconforté. Il m’a remercié à plusieurs reprises.

Je lui ai dit de donner les brochures et le livre à ses voisins afin qu’ils puissent rester en sécurité. Il a promis, a levé le pouce et a dit : « Je vous souhaite à tous la paix. »

Il était temps que les gens viennent acheter des légumes. Nous avons toutes les deux distribué des documents de Dafa en sortant dans la rue. Sur le chemin du retour, j'ai dit : « Regarde, le Maître nous encourage encore. La personne ordinaire a levé le pouce. Aussi longtemps que nous sortons de la maison, nous obtiendrons quelque chose. »

« Il est urgent de secourir les gens avant l’épidémie », ai-je dit. « Les gens n’ont pas idée de ce que c’est, mais nous, les disciples de Dafa devrions le savoir. Tout ce qui arrive dans le monde est un test pour les disciples de Dafa pour voir comment nous traitons cela et ce que nous plaçons en premier. Nos disciples de Dafa sont la force motrice, alors comment pouvons-nous être empêchées de passer la porte ? Chaque disciple de Dafa a un champ. Nous ne remplissons pas notre serment si nous arrêtons de faire ce que le Maître nous demande. »

Créer une session d’étude du Fa junior

Nous nous assurons que notre famille fait les choses correctement. Il y a quatre enfants pratiquants au sein de nos deux familles. Ma compagne de cultivation et moi avons créé un groupe d’étude du Fa pour eux depuis que leurs vacances d’hiver ont commencé. Ils se sont très bien comportés, ont bien étudié le Fa, et leur groupe d’étude du Fa n’a pas cessé pendant les vacances de célébration du Nouvel An chinois.

Traduit de l'anglais