(Minghui.org) L’annonce du 5 mars qui appelle à soumettre des propositions pour commémorer la Journée mondiale du Falun Dafa 2020 approche de la date limite. Cependant, de nombreux pratiquants n’ont toujours rien écrit, affirmant qu’ils « ne savent pas écrire ». J’espère que mon expérience en rédigeant un article de partage pourra être utile.

J’ai près de 70 ans et je tape très lentement. Ma première pensée après avoir lu l’annonce a été que des occasions comme celle-ci vont être de moins en moins nombreuses, donc je devrais commencer immédiatement.

Je n’étais pas satisfait de l’article que j’ai écrit, mais je ne pensais pas pouvoir l’améliorer. Je me suis alors demandé pourquoi je l’écrivais.

N’étais-je que simplement en train d’accomplir une tâche ? La réponse était non. Est-ce que je voulais que mon article soit publié ? J’ai regardé à l’intérieur et senti que je participais simplement, que je n’avais aucun attachement à ce qu’il soit publié.

J’ai alors compris que la véritable raison pour laquelle je l’écrivais était de remercier Maître Li et de valider le Fa en témoignant des nombreux incidents auxquels nous avons été rencontré.

Cette pensée a fait affluer dans ma tête les nombreuses fois où le Maître nous avait protégés, Dafa et moi, et montré la majestueuse toute puissance de Dafa. J’ai continué à taper jusqu’à près de minuit, j’ai manqué le repas, mais je n’avais pas faim.

Le lendemain, j’ai modifié l’article plusieurs fois jusqu’à ce que je sois satisfait.

Je suis passé de ne rien avoir à écrire à en avoir trop. Qu’est-ce qui a fait la différence ? La première fois, je pensais à de belles phrases et à une grammaire parfaite. Mon écriture n’avait pas de véritable substance, juste de jolis mots. Dans ma deuxième tentative, j’ai écrit ce que j’avais vécu pour valider le Fa.

Une pratiquante de 60 ans qui n'avait que quelques années d’école primaire et qui avait depuis longtemps oublié son pinyin chinois depuis longtemps oublié a participé à chacun des appels à contributions. Elle a indiqué : « Je fais ce que le Maître m’a dit de faire. » Elle a écrit ses propres histoires. Une autre pratiquante a saisi l’article sur l’ordinateur et l’a soumis au site web Minghui. Elle ne s’y attendait pas, mais l’un de ses articles a été publié.

Compagnons de cultivation, chérissons cette opportunité en écrivant et en partageant les uns avec les autres ce que nous avons vécu – des situations où le Fa a manifesté sa grâce et son pouvoir extraordinaire.

Traduit de l'anglais