(Minhui.org) Mme Wang, une pratiquante, ne pouvait pas croire l'annonce des autorités du Parti communiste chinois (PCC), lorsque son mari lui a dit que la zone résidentielle où ils vivaient ne serait plus en quarantaine. Le virus du PCC n'avait pas encore disparu et elle ne pouvait pas imaginer ce qui pourrait se passer par la suite.

Elle a lu quatre fois les 20 premières pages de la Première Leçon du Zhuan Falun.

Le Maître a dit :

« Ayant chuté jusque-là, ces entités vivantes, du point de vue des pouvoirs de gong ou aux yeux des grands Éveillés, auraient dû être détruites. Or les grands Éveillés, par compassion, ont voulu leur donner encore une chance, ils ont donc construit cet environnement particulier et cet espace particulier. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Les cinq mots « leur donner encore une chance » ont quelque part rejoint sa pensée. Elle a réalisé qu'elle devait faire ce que le Maître demande aux pratiquants. Que la ville soit confinée ou non, elle sortirait et clarifierait la vérité au sujet de Dafa, peu importe ce qui était annoncé.

Pour moi, il était évident que je clarifiais la vérité aux gens tous les jours. Si chaque pratiquant voit l'urgence d'éveiller la conscience des gens, de parler du Falun Dafa, de poser des affiches, de distribuer des documents d'information sur Dafa, de passer des coups de téléphone et de faire de son mieux, c'est ce que veut le Maître.

J'ai deux exemplaires du Zhuan Falun. Quand j'ai ouvert un livre en voyant la photo du Maître, j'ai vu du sang et des larmes dans les yeux de Maître. Le Maître s'inquiétait du fait que les pratiquants n'abandonnaient pas leurs attachements, n'atteignaient pas le critère fixé par le Maître, que trop peu de personnes étaient sauvées, que certains pratiquants n'accomplissaient pas leurs vœux et ne pouvaient donc pas retourner dans leurs foyers d'origine.

Un des exemplaires du Zhuan Falun m'a été donné par M. Zhang, qui cultive et pratique par intermittence. Je me suis rendu compte que je devais partager avec lui, et le laisser revenir à la cultivation et pratique. Nous avons peu de temps à perdre.

Se rappeler l'urgence d'éveiller la conscience des gens

Le Maître a dit :

« Je peux vous le dire clairement, dans les premiers arrangements du Maître, la persécution devait se terminer cette année, en comptant avant et après cela fait vingt ans. Bien que les forces anciennes soient intervenues à la fin et aient modifié certaines choses, il ne reste presque plus de charbon dans le four, le feu ne brûle plus assez fort, cette affaire est donc bientôt terminée, alors vous devez d'autant plus bien faire. » (« Enseignement du Fa au Fahui de New York 2019 »)

Même si je suis ma routine tous les jours, je ne ressentais pas l'urgence d'éveiller la conscience des gens.

En rentrant chez moi un jour, j'ai vu une jeune fille à l'arrêt du bus. J'étais un peu fatiguée et je ne voulais pas lui parler. Quand j'ai traversé la route, cette phrase m'est venue à l'esprit : « Tu n'as pas eu de compassion. » Je me suis excusée dans mon cœur auprès du Maître et j'ai traversé la route pour lui parler. Elle m'a écoutée attentivement et m'a ensuite remerciée encore et encore.

Puis je suis allée un peu plus loin pour clarifier la vérité à un jeune couple. Ils ont accepté de démissionner du PCC. J'ai clarifié la vérité à trois personnes grâce au rappel du Maître. Ma paresse, ma peur de l'adversité et ma recherche du confort m'ont empêchée d'être diligente et de tenter d'éveiller la conscience des gens.

Parfois, je n'étais pas capable de parler aux gens face à face. Cependant, j'ai demandé au Maître de m'envoyer des personnes prédestinées.

Un jour neigeux, j'ai vu deux personnes promener leurs chiens. Je ne leur ai pas clarifié la vérité, car je pensais qu'on leur avait déjà dit la vérité. Je les ai vus promener les chiens tous les jours. J'ai glissé sur la glace, et je suis tombée. J'ai réalisé que je n'avais pas accompli mes voeux.

J'avais prévu de rester chez moi pour écrire cet article de partage d'expériences. Mais en y réfléchissant, je pouvais écrire l'article le soir. Si je manquais ce moment, alors je raterais l'occasion de sauver des êtres. J'ai éteint mon ordinateur à 15 heures, je suis sortie et je ne suis pas rentrée avant 17 heures. Grâce au Maître qui m'a renforcée, j'ai pu aider quinze personnes à démissionner du PCC.

J'ai vu une jeune femme prendre une photo de l'affiche sur le mur qui disait : « Un bon remède anti-pandémie – réciter Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle allait le poster sur les médias sociaux. Des êtres attendaient d'être sauvés.

Deux pratiquants octogénaires, un mari et sa femme ont fait preuve d'une grande diligence pour clarifier la vérité. Ils sont entrés dans des bâtiments pour distribuer des dépliants clarifiant la vérité. L'un d'entre eux commençait par le haut en descendant les escaliers, tandis que l'autre commençait par le bas. Les bâtiments avaient entre six et huit étages. Ils sont allés d'un bâtiment à l'autre, et les difficultés ne les ont pas dissuadés. Ils distribuaient des dépliants pendant trois heures par jour. Lorsqu'ils tombaient sur des caméras de surveillance, comme le pratiquant était grand, il pouvait bloquer les caméras avec son corps, tandis que la pratiquante plaçait des affiches avec des informations de Dafa sur le mur. Ils ont très bien coopéré.

Le changement soudain de la situation en 2020 a fait que tout le monde s'est senti perdu. Les pratiquants de Dafa doivent rester attentifs et s'examiner pour voir où nous avons échoué et où nous n'avons pas encore atteint le critère du Fa et nous améliorer le plus vite possible. Nous avons encore le temps de nous rattraper et de faire de notre mieux pour ne pas laisser derrière nous des regrets.

Traduit de l'anglais