(Minghui.org) Je suis une femme âgée de 70 ans qui a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2004. Avant cela, mon immunité était faible, et je souffrais de cholécystite, d’une hypertrophie du foie, de gastroptôse, d’ostéoporose et de vertiges. Je prenais beaucoup de médicaments, mais j’étais toujours très malade. J’ai même tenté de me suicider à plusieurs reprises.

Au moment où je pensais que ma vie touchait à sa fin, j’ai découvert le Falun Dafa. Mon xinxing (caractère moral) s’est élevé, et mon corps a été nettoyé par Maître Li Hongzhi. Toutes mes maladies ont disparu ! Dafa m’a donné une bonne santé ainsi que le bonheur et la paix. J’ai beaucoup de chance !

Il y a eu beaucoup de choses incroyables pendant ma cultivation. J’aimerais parler des histoires liées à mon fils aîné.

Mon fils ne s’oppose plus à ma pratique

Un jour, mon fils a soudain dit d’un ton sérieux : « Maman, tu ne peux plus pratiquer Falun Dafa. » Je lui ai demandé pourquoi ?

« Ne sais-tu pas à quel point le Parti communiste chinois (PCC) peut être impitoyable ? » a-t-il répondu. « De nombreux pratiquants de Dafa ont été arrêtés et même tués. Personne n’a même pu retrouver leurs corps. Vous ne pouvez pas raisonner avec le PCC. » Je lui ai demandé où il avait obtenu cette information. Il m’a dit qu’il avait lu des tracts sur la persécution.

En 2011, j’ai été arrêtée illégalement et condamnée à un an dans un camp de travaux forcés. Mes trois fils ont passé trois mois à chercher le camp de travail dans lequel j’étais détenue et sont venus me voir. Les gardiens ont refusé de les laisser entrer, ce qui a mis mes fils en colère et ils ont commencé à se disputer avec les gardiens. Finalement, ils ont été autorisés à me voir.

Après ma libération, j’ai continué à sortir pour dire la vérité sur le Falun Dafa et aider les gens à démissionner du PCC, afin qu’ils puissent être sauvés. Mes fils étaient effrayés et ont essayé de m’arrêter.

Mon fils aîné est apparu à ma porte, tenant une bouteille de vin. Il était ivre. « Fils, tu as trop bu », lui ai-je dit. « Va te coucher et cuver ton vin. »

Il a dit non. Puis il a désigné mon ordinateur et mon imprimante : « Je suis là pour les casser. »

« Fils, tu ne peux pas faire ça ! »

« Je dois le faire, maman », a-t-il dit. « Tu nous inquiètes tous quand tu les utilises ! » Il s’est ensuite dirigé vers l’ordinateur et l’imprimante.

Je l’ai rapidement bloqué. « Fils, si tu veux les détruire, détruis-moi d’abord ! »

« Je ne te toucherai pas. Tu es ma mère ! »

« Cet équipement vaut plus que la vie de ta mère ! » ai-je dit. « Fils, je ne veux pas que tu abîmes quelque chose qui sert à clarifier la vérité et à sauver des gens. Tu créerais trop de karma et tu devrais le payer ! »

J’ai alors éclaté en sanglots. « Tout cela est de ma faute. Je ne t’ai pas dit clairement à quel point ce que je fais est important et sacré. Quand le jour viendra et que tout sera clair, tu seras si fier de ta mère et tu sauras à quel point tu es chanceux ! »

Il s’est mis à sangloter. La bouteille de vin lui est tombée des mains. Il a pleuré sur le chemin du retour et a dit à sa femme : « Je n’essaierai plus de l’arrêter. »

Sa femme lui a répondu : « C’est une bénédiction que ta mère ait acquis une bonne santé en pratiquant le Falun Dafa ! »

Depuis lors, mon fils n’a pas essayé de m’arrêter. Maintenant, quand il me voit faire des documents de clarification de la vérité, il sourit simplement. Et lorsqu’il me demande de l’aider à aller chercher ses enfants, il dit souvent : « Maman, as-tu le temps ? Je ne veux pas déranger ce que tu fais. »

Sauver les gens en m’occupant de mon fils

J’ai reçu un appel urgent de mon fils aîné : « Maman, je suis tombé. Le médecin a dit que ma jambe est cassée. 

« Fils, n’aie pas peur. Je viens tout de suite à l’hôpital », ai-je dit.

Je me suis précipitée à l’hôpital et j’ai vu que mon fils ne pouvait plus du tout bouger. Sa belle-mère a suggéré que nous engagions deux personnes pour s’occuper de lui. J’ai répondu qu’il n’était pas nécessaire d’engager quelqu’un, que je m’occuperais moi-même de lui.

Elle était hésitante : « Tu as 60 ans. Tu ne peux pas le faire jour et nuit toute seule ! » J’ai fini par la convaincre que je serais capable de rester et de m’occuper de lui sans problème.

Mon fils souffrait constamment. Son ventre enflait et il était incapable de manger. Je lui ai suggéré de réciter « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance, est bon ! »

« Je suis dans un tel état », s’est-il plaint. « Et tu me demandes de dire ces mots ! »

« Surtout à cause de ton état. Tu as besoin de la bénédiction de Dafa, mon fils. »

Il a fermé les yeux et a récité la phrase en silence. J’ai pensé que ce n’était pas accidentel que je sois dans cet hôpital, et qu’il y avait probablement des personnes prédestinées à me rencontrer et à entendre la vérité. J’ai donc essayé de parler à d’autres personnes.

À l’heure du déjeuner, j’ai aidé à distribuer la nourriture aux patients et à nettoyer après. Lorsque la cantine de l’hôpital a préparé des boulettes de pâte, je suis allée aider.

Un homme âgé dans le service de mon fils souffrait d’une hernie discale. Lorsqu’il déféquait, il ne pouvait pas se pencher pour tirer la chasse d’eau. L’odeur se répandait dans le service et tout le monde se couvrait le nez et jetait des regards dégoûtants à cet homme. Je suis allée dans les toilettes et j’ai vu des excréments partout, alors j’ai tout nettoyé. Plus tard, chaque fois qu’il sortait des toilettes, je nettoyais derrière lui.

L’homme âgé était ému aux larmes. Il a dit à mon fils : « Ta mère est la meilleure personne au monde. Quand elle sera vieille, s’il te plaît, traite-la vraiment bien ! »

Le médecin de mon fils était un homme âgé. Un jour, il m’a demandé quel âge j’avais et a été surpris d’apprendre que j’avais 64 ans. « Vous avez l’air en très bonne santé ! Et vous êtes une personne tellement gentille », a dit le médecin. « Il y a trop peu de bonnes personnes de nos jours ! »

« Je suis une pratiquante de Falun Dafa », ai-je répondu. « Le Maître de Dafa nous a enseigné à être des gens bien. » Il était surpris. J’ai alors demandé s’il connaissait le Falun Dafa.

« Un peu. Il y a des gens dans mon village qui le pratiquent, mais je ne les connais pas bien. »

J’ai commencé à lui expliquer que le monde entier sait que le Falun Dafa est bon, mais que le PCC ne l’aime pas et a lancé une persécution brutale.

« Le PCC a arrêté, détenu et envoyé de nombreux pratiquants en prison. Ils tuent même des pratiquants et vendent leurs organes pour en tirer profit ! Les crimes du PCC ne seront pas autorisés par le Ciel. Le Ciel va donc éliminer le PCC.

« Beaucoup de bons Chinois ont été forcés de rejoindre les organisations du PCC. Si quelqu’un est membre du PCC, il sera puni lorsque le PCC sera éliminé. C’est pourquoi nous, pratiquants de Dafa, risquons nos vies et conseillons aux gens de démissionner des organisations du PCC. Ce sera le seul moyen de rester en sécurité. »

« J’ai maintenant compris pourquoi les pratiquants de Falun Dafa ne cessent de dire aux gens de démissionner du PCC », a déclaré le médecin. « Je ne suis pas membre du parti, mais j’étais dans la Ligue de la jeunesse et des Jeunes Pionniers du PCC. S’il vous plaît, aidez-moi à démissionner. »

Quelques jours plus tard, je déjeunais avec une vingtaine de personnes, dont le médecin, ses quatre étudiants et des patients. Le médecin s’est soudain tourné vers moi et a dit à voix haute : « Pourriez-vous s’il vous plaît parler à tout le monde ici du Falun Dafa ? »

Je me suis levée. « Est-ce que quelqu’un sait ce qu’est le Falun Dafa ? » J’ai commencé à expliquer la pratique, la persécution du PCC et pourquoi tout le monde devrait démissionner du Parti. Tout le monde a écouté attentivement. Le jour suivant, j’ai aidé beaucoup d’entre eux à démissionner du PCC, y compris les étudiants du médecin.

À l’hôpital, beaucoup de gens allaient et venaient. J’ai donc profité de chaque occasion pour leur dire la vérité.

Un jour, un nouveau patient s’est installé dans la chambre de mon fils. J’avais prévu de lui dire la vérité lorsque mon fils irait se coucher, car je ne voulais pas qu’il s’inquiète pour ma sécurité. Mais mon fils n’a pas voulu s’endormir ce jour-là. J’ai donc demandé à Maître Li de l’aider à s’endormir et, bientôt, mon fils s’est endormi rapidement.

J’ai commencé à discuter avec le nouveau patient. Je lui ai demandé s’il avait entendu parler de démissionner du PCC afin de rester en sécurité. Il m’a répondu qu’il en avait entendu parler, mais qu’il ne s’était pas retiré.

J’ai expliqué : « Lorsque vous avez rejoint les organisations du PCC, on vous a demandé de faire le serment de donner votre vie entière au PCC. Un serment ne peut pas être fait avec légèreté. Il doit être respecté. Ce n’est qu’en gardant ses distances avec le Parti que l’on peut survivre en cas de catastrophe. Comprenez-vous ce que je veux dire ? »

« Maintenant je comprends », a-t-il dit. « Je n’ai pas adhéré au Parti. Pouvez-vous m’aider à me retirer de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers ? »

J’étais si heureuse pour lui. Il est sorti de l’hôpital quelques jours plus tard.

Le médecin avait prédit que la blessure de mon fils prendrait au moins trois mois pour guérir, mais il a pu marcher en un mois seulement. Après notre retour à la maison, la belle-mère de mon fils a dit : « Le Falun Dafa est vraiment incroyable ! Vous avez été capable de vous occuper de lui jour et nuit pendant un mois ! » Elle a souri : « Je vais pratiquer le Falun Dafa moi aussi ! »

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Traduit de l’anglais