(Minghui.org) L’un de mes proches, Ayang, qui pratique le Falun Dafa a été arrêté pour sa croyance en avril 2021. Les pratiquants locaux nous ont demandé d’aller au poste de police pour demander sa libération. Ils avaient prévu d’émettre la pensée droite à proximité pour nous. Bai, la femme d’Ayang, s’est rendue au poste de police avec quelques proches. Les policiers leur ont demandé leurs cartes d’identité et ont menacé de les filmer et de les enregistrer. Lorsqu’ils sont revenus, Bai avait trop peur pour rester chez elle.

Nous avons appris qu’Ayang serait détenu dans le centre de détention de la ville pendant quinze jours. Sa femme semblait passive et engourdie par la situation. Un parent et moi sommes allés lui rendre visite au centre de détention le lendemain, mais nous avons manqué l’heure prévue pour les visites. J’ai remarqué de nombreuses voitures de police sur le chemin du retour et ma peur m’a fait penser négativement : la caméra a peut-être enregistré la plaque d’immatriculation de ma voiture ou j’ai peut-être été suivie. Je pouvais sentir les pensées négatives qui essayaient de me contrôler.

Je me suis rappelé que je suis une pratiquante de Falun Dafa et que j’assume la mission de sauver les gens. Si la substance de la peur se trouvait dans mon champ dimensionnel, alors les gens ordinaires auraient peur, seraient désespérés et passifs. J’ai essayé de chasser mes pensées négatives et de ne pas être émue. J’ai encouragé mes proches à renforcer Ayang avec la pensée droite.

Après que la persécution d’Ayang a été exposée sur le site web Minghui, des pratiquants hors de Chine ont commencé à passer des appels téléphoniques au poste de police. Des pratiquants locaux sont venus chez moi, et nous avons analysé la situation. En tant que parente d’Ayang, je me sentais un peu responsable de sa détention. Nous avons réalisé que nous devions élever notre xinxing, clarifier la vérité à la police et considérer cette situation comme une opportunité de les sauver. Plusieurs pratiquants ont partagé avec Bai et l’ont aidée à s’améliorer selon la perspective du Fa, à surmonter la peur et à sortir pour clarifier la vérité. Les pratiquants ne se sont pas plaints et ne l’ont pas blâmée. Elle a finalement accepté de sortir et de faire face à la police. Pourtant, elle n’a pas osé rentrer chez elle. Au lieu de cela, elle s’est installée chez moi.

Nous lisions le Fa et parlions de nos expériences de cultivation tous les jours. Nous avons lu des articles sur le site web Minghui sur la façon dont d’autres pratiquants ont utilisé des moyens légaux pour contrer la persécution. Nous nous encouragions l’une l’autre sans nous plaindre. Lorsque nous avons découvert nos omissions, nous n’avons pas reconnu les soi-disant tests imposés par les forces anciennes. Pendant le processus de sauvetage d’Ayang, je me suis souvent rappelé de laisser tomber mes griefs. J’ai éliminé des pensées comme : « Ayang ne se cultivait pas bien et était toujours harcelé. Nous avons dû prendre un congé du travail pour le sauver. »

Bai a dit que je parlais bien et elle m’a demandé de l’accompagner au Département de police pour demander la notification de détention. J’ai découvert mon attachement à me faire valoir, à me valider et à sauver la face. Je l’ai encouragée : « Crois en Maître. Crois en Dafa. Le Maître nous demande de sauver les êtres. Nous sortons pour sauver les êtres. La police doit également être sauvée, elle n’est pas là pour te persécuter. Avant que tu ne viennes dans ce monde avec le Maître, l’être qui est maintenant un policier t’a dit qu’il allait jouer le rôle de persécuteur des pratiquants de Falun Dafa. Mais tu as accepté de le sauver. Alors aujourd’hui, tu dois remplir ta promesse et le sauver. »

Nous avons contacté d’autres pratiquants pour qu’ils se joignent à nous afin d’émettre la pensée droite. Les agents du Département de police ont écouté pendant que Bai leur expliquait la vérité. Ils lui ont dit que la notification de détention se trouvait au poste de police local. Elle ne voulait pas y aller, car elle avait peur d’être arrêtée. Nous avons continué à l’encourager, à l’aider à se débarrasser de ses pensées négatives et à se souvenir de sa mission de sauver les êtres.

Elle n’a pas dormi cette nuit-là. Elle était très nerveuse et pensait à ce qu’elle allait dire à la police. Le lendemain, elle est allée voir le directeur adjoint du poste de police local avec ses proches. Ils ont raconté à la police quelle bonne personne était Ayang dans la famille, dans son unité de travail et dans la société, et comment Bai avait recouvré la santé en pratiquant le Falun Dafa. Ils ont averti la police que la persécution était sans fondement légal et que l’arrestation de personnes innocentes était illégale. Ils ont demandé qu’Ayang soit libéré immédiatement. Le directeur adjoint a déclaré : « Nous sommes bombardés d’appels téléphoniques. Pourquoi des gens de l’extérieur de la Chine nous appellent-ils ? » Bai a parlé pendant vingt minutes et a dit ce qu’elle voulait dire.

Elle a finalement surmonté sa peur et a fait ce qu’un pratiquant de Dafa doit faire. Elle m’a demandé : « Est-ce que je me suis améliorée ? » Elle et son mari étaient constamment harcelés depuis le début de la persécution. Ils avaient peur d’être persécutés, ne contactaient pas les autres pratiquants et parlaient rarement à leurs voisins. Grâce au Maître, elle a finalement surmonté sa peur. Les mots ne peuvent décrire à quel point elle était heureuse.

J’étais heureuse pour elle et j’ai réalisé l’importance de s’améliorer et de s’élever en tant que groupe. Lorsque Bai a voulu s’en remettre aux autres et éviter la situation, je n’ai pas été poussée à faire les choses pour elle. Au lieu de cela, je l’ai encouragée et aidée à affronter sa peur afin qu’elle puisse s’élever.

J’ai pensé à leur fils. Depuis sa plus tendre enfance, il a été témoin de l’arrestation de ses parents et du saccage de leur maison. À cause de cela, il s’est progressivement éloigné de Dafa. Il nous contactait rarement depuis qu’il avait grandi et se plaignait souvent de ses parents. Je lui ai téléphoné en espérant qu’il reviendrait pour sauver son père. Au téléphone, il a exprimé sa dépression, son ressentiment et son impuissance. Je lui ai expliqué pourquoi il ne devait pas en vouloir à ses parents. Lorsqu’il a appris que ses parents avaient courageusement affronté la police, il a exprimé son soutien et son admiration.

Pendant le processus de sauvetage d’Ayang, nous avons clarifié la vérité aux membres de sa famille qui ont proposé de régler l’affaire avec de l’argent. Les pratiquants locaux leur ont dit que c’était un crime de persécuter les pratiquants, et que si nous leur donnions de l’argent, nous reconnaissions que la persécution était raisonnable. Au lieu de cela, nous devrions contrer la persécution avec dignité et droiture.

Les membres de sa famille ont compris et sont allés au poste de police, au Département de police et au centre de détention avec nous. Ils ont dit à la police qu’il n’était pas légal de persécuter les pratiquants. Leur pensée droite a fait comprendre à la police que la persécution était impopulaire.

La pensée droite de Bai a augmenté. Elle s’est rendue plusieurs fois au Département de police pour demander la libération de son mari, et lui a rendu visite au centre de détention. Chaque fois, elle a saisi l’occasion de clarifier la vérité auprès de la police. Ayang était ferme dans sa cultivation et a clarifié la vérité aux personnes dans le centre de détention. Grâce au renforcement de la pensée droite des pratiquants locaux, il a été libéré après quinze jours.

Les pratiquants ont coopéré comme un seul corps en sauvant Ayang. Tout le monde a regardé à l’intérieur, ne s’est pas plaint, a laissé tomber les attachements et a coopéré. Les pratiquants d’outre-mer ont passé de nombreux appels téléphoniques au poste de police dans les vingt-quatre heures suivant l’annonce de la nouvelle. Les pratiquants locaux ont fabriqué des documents et des affiches collantes avec des informations pour dénoncer la persécution. Certains ont émis la pensée droite. D’autres ont accompagné les membres de sa famille pour demander sa libération. Nous avons senti que le Maître était à nos côtés et nous a aidés.

Après que Bai a clarifié la vérité à la police, celle-ci ne l’a pas menacée et ne lui a pas rendu les choses difficiles. Les membres de la famille d’Ayang ont vu à quel point les pratiquants sont gentils et altruistes et ont été émus. Après la libération d’Ayang, Bai et lui ont parlé avec d’autres pratiquants le lendemain. Ils ont dit avoir découvert leurs nombreuses lacunes et lu des articles sur le site web Minghui.

Harmoniser l’ensemble du corps : Rattraper le processus de la rectification de Fa

Ayang a été arrêté parce qu’on a demandé au poste de police local de participer au soi-disant « maintien de la stabilité ». Ils avaient une liste de pratiquants et nous avons su que huit pratiquants avaient été arrêtés et détenus. La plupart d’entre eux ont été détenus pendant quinze jours. Trois d’entre eux ont été emmenés au centre de détention après quinze jours.

Grâce à cela, nous avons réalisé que de nombreux pratiquants ne comprenaient pas comment contrer la persécution par des moyens légaux. De nombreux pratiquants ne lisaient pas les articles de partage sur le site web Minghui et ne pensaient pas que ces articles les concernaient. Ils faisaient régulièrement les trois choses, mais lorsque la police venait les voir, ils disaient simplement qu’ils n’avaient rien fait de mal. Ils n’utilisaient pas les moyens légaux pour contrer la persécution et restaient passifs lorsque la police les harcelait.

Afin de changer cette situation, nous avons partagé avec les pratiquants et imprimé des articles pertinents du site web Minghui. Nous leur avons donné des documents à lire et avons aidé les pratiquants âgés à comprendre pourquoi ils ne devaient pas accepter passivement la persécution.

Nous avons coopéré les uns avec les autres et nous nous sommes rendus dans les prisons et les centres de détention pour faire la pensée droite à proximité. Nous avons envoyé des lettres à ceux qui étaient impliqués dans la persécution. Nous nous sommes occupés des membres de la famille des pratiquants persécutés, leur avons expliqué la vérité et les avons aidés. Lorsque nous avons vu que des pratiquants avaient été sauvés et que de plus en plus d’êtres dans les départements juridiques avaient appris la vérité et ne s’impliquaient plus dans la persécution, nous avons vraiment ressenti l’encouragement et le renforcement du Maître.

Tout le monde espère être sauvé

Un camarade de classe de l’université de mon père est venu dans notre ville. Ils ne s’étaient pas vus depuis plus de trente ans. Il a cherché mon père pendant deux jours. Il a contacté l’ancien employeur de mon père, puis est venu dans notre quartier résidentiel. Il a demandé à tous les passants des nouvelles de mon père. Il a failli abandonner. C’est alors qu’il est tombé sur une personne qui connaissait mon père et qui a pu lui dire où il vivait.

Lorsque je me suis rendue chez mes parents à 17 heures, j’ai vu un exemplaire des Neuf Commentaires sur le Parti communiste sur le canapé. Je savais que ma mère lui avait clarifié la vérité. Elle m’a dit qu’il n’était pas prêt à démissionner du Parti communiste chinois (PCC).

Après le dîner, nous avons bavardé un moment, puis nous sommes allés à la gare routière pour le raccompagner. Avant l’arrivée du bus, j’ai dissipé mes pensées négatives et lui ai donné un disque de clarification de la vérité. Il n’a pas refusé et l’a mis dans son sac.

Le lendemain, nous sommes allés le voir à l’hôtel avec un cadeau. Ma mère lui a répété qu’elle restait en bonne santé et avait l’air jeune parce qu’elle pratiquait le Falun Dafa. Elle lui a demandé de dire : « Falun Dafa est bon, et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et de démissionner du PCC. Cette fois, il a accepté.

Après être arrivé chez lui, il m’a dit que son voyage s’était déroulé sans encombre et qu’il avait réussi à éviter les inondations à Zhenzhou et le confinement pandémique à Shenyang. « Je dois être béni par quelqu’un », a-t-il dit. Il a dit qu’il regarderait le disque que nous lui avions donné. J’étais heureuse de ne pas avoir été piégée par mes conceptions et de ne pas avoir laissé passer l’occasion de lui clarifier la vérité. J’ai remercié le Maître dans mon cœur.

Cette année, les choses ont beaucoup changé et de nombreuses catastrophes ont eu lieu. En tant que pratiquante, je connais ma mission et je m’efforce de sauver les gens dans ce monde chaotique. Merci Maître d’offrir le salut au monde et de répandre Dafa. Je vais bien me cultiver, mieux coopérer avec l’ensemble du corps et accomplir ma mission.

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Traduit de l’anglais