(Minghui.org) Cela fait trente ans que le Falun Dafa a été présenté au monde, et cela fait vingt-huit ans que j’ai commencé à pratiquer Dafa.

Il y a vingt-huit ans, j’ai assisté à trois séries d’enseignements du Fa et à deux stages d’introduction au Falun Dafa par le Maître en Chine. J’ai eu la chance d’écouter les conférences du Maître en personne.

Malgré la persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois, ma croyance n’a jamais faibli au fil des ans. Dafa est profondément enraciné dans mon cœur et rien ne peut changer cela.

(Suite de la 1re partie)

Assister à la 2e série d’enseignements du Fa dans la ville de Tianjin

Des exemples pour nous

En mars 1994, j’ai assisté à la 2e série de Conférences du Maître sur le Fa à Tianjin. Un groupe de pratiquants (dont je faisais partie) qui avait assisté aux conférences précédentes à Pékin avait commandé les billets ensemble. Nous avons bénéficié d’une réduction sur les billets en tant que nouveaux étudiants, et nous n’avons payé que 25 yuans le billet. Bien que nous ayons commandé nos billets à l’avance, nous ne les avons reçus que lorsque la date du début des conférences était proche. Nous avons été déçus de constater que les billets se trouvaient dans les dernières rangées.

Certains pratiquants ont demandé pourquoi nous n’avions pas de places dans les premières rangées puisque nous avions commandé les billets les premiers. J’ai eu la même pensée, mais j’ai ensuite réalisé que je ne devais pas penser ainsi. J’avais déjà assisté à une conférence, pourquoi devrais-je me préoccuper d’une place en avant ou en arrière ? N’importe quelle place serait bien pour écouter la conférence du Maître. J’ai choisi la dernière rangée du deuxième étage.

Vers la fin des sessions, nous avons appris le cinquième exercice. J’ai fermé les yeux. Puis j’ai entendu des chuchotements. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu que le Maître était monté au deuxième étage et se tenait près de nous, nous souriant. J’étais tellement enthousiasmée. C’était vraiment une heureuse surprise après avoir abandonné l’attachement à être dans les premières rangées.

Le Maître a organisé les sessions de conférences en semaine le soir et celles du week-end le jour. Plus tard, un compagnon de cultivation a raconté dans un article que le Maître avait fait cela pour faciliter la vie des étudiants qui devaient travailler le jour.

Les membres du personnel de la conférence se sont arrangés pour que les pratiquants puissent prendre des photos avec le Maître le dimanche avant le début de la conférence. Nous sommes arrivés plus tôt dans la cour à l’extérieur de l’auditorium. Peu de temps après, le Maître et plusieurs membres du personnel sont arrivés. Je n’étais qu’à quelques mètres du Maître.

Alors que les pratiquants commençaient à entourer le Maître pour prendre des photos, j’ai entendu certains membres du personnel parler entre eux et dire que le Maître avait travaillé très dur et qu’il avait eu peu de temps pour se reposer. J’ai pensé qu’il serait très fatigant pour le Maître de prendre des photos avec autant de personnes. J’ai donc décidé de ne pas prendre de photos pour éviter d’alourdir le fardeau du Maître. Je me demandais aussi si je verrais le Maître au ciel. Soudain, une force m’a poussée en arrière. J’ai regardé le Maître, et il était en train d’écouter les pratiquants parler.

Plus tard, le Maître nous a dit dans le cours que son gong (énergie) peut être envoyé sans qu’il nous regarde et que l’énergie positive peut pousser les gens en arrière. J’ai compris que la force qui m’avait poussée en arrière était le gong du Maître.

Ma mère suivait le même cours que moi. Je lui ai aussi dit de ne pas prendre de photos avec le Maître. Elle a écouté mon conseil mais, dans son cœur, elle voulait toujours avoir une photo avec le Maître. Un autre jour, quand je suis venue au cours, elle m’a dit, avec enthousiasme, que le Maître avait pris une photo avec quelques-uns d’entre eux.

Elle m’a raconté qu’un jour, après le cours, elle et une autre pratiquante sont allées dans les coulisses pour voir si le Maître était parti. Le Maître s’est présenté devant elles et a proposé de prendre une photo avec elles. Le photographe a pris plusieurs photos. La haute stature du Maître me rappelait les statues de Bouddha dans les temples. Ma mère et l’autre pratiquante souriaient joyeusement à côté du Maître. Peut-être était-ce ce que le Maître a dit : « […] obtenir naturellement sans le rechercher. » (Enseignement du Fa au Fahui de Sydney)

Interférence durant le stage

Certains d’entre nous, de Pékin, ont loué un bus pour aller à Tianjin tous les jours. Pendant quelques jours, le bus est tombé en panne sur le chemin du retour et le chauffeur a mis beaucoup de temps à le réparer ; puis nous sommes rentrés chez nous après minuit. Un autre jour, le bus s’est arrêté sur le chemin de Tianjin, ce qui nous a mis en retard pour le stage.

Certains pratiquants ont dit que le bus avait des problèmes, d’autres que le chauffeur était suspect, et un autre a dit que le bus aurait pu transporter quelqu’un qui ne devait pas assister au cours. Je ne savais pas comment interpréter cela.

Un jour, pendant la conférence du Maître, un cri étrange a soudain éclaté, suivi de grands cris. Le Maître a arrêté sa conférence et a demandé au membre du personnel de faire sortir la femme qui faisait ce bruit. Elle était venue avec nous dans le même bus. Le Maître a alors dit à l'assistance : « Étudiants de Pékin, pourquoi votre bus s’est-il brisé sur la route et vous a-t-il mis en retard ? Vous devriez y réfléchir. C’est une interférence. » C’était la première fois que je comprenais ce qu’était une interférence perverse.

J’ai lu un court article d’un journal qui critiquait le Falun Gong. L’auteur disait qu’il avait assisté au cours du Maître et que le Falun Gong n’était pas conforme à la science. S’agissait-il d’une interférence dans la diffusion du Fa par le Maître ? J’ai apporté l’article aux responsables de la conférence et j’ai suggéré de ne plus laisser cet auteur assister aux cours.

L’enseignement du Maître m’a aussi aidée à comprendre un problème de mathématiques que notre professeur de mathématiques du lycée nous a enseigné : Pour un bâton d’un pied de long, si vous en coupez la moitié chaque jour, vous pouvez continuer à le couper pour toujours, sans fin. Auparavant, je ne pouvais pas comprendre pourquoi. Mais, après la conférence du Maître, j’ai compris.

Des gens de l’Institut de physique et de l’Académie chinoise des sciences sont venus tester l’énergie du Maître le dernier jour. Ils ont écrit une note au Maître disant que l’équipement qu’ils avaient placé sur la scène avait détecté toutes sortes de matières dans le gong du Maître. J’ai soudain eu le sentiment qu’il n’est vraiment pas facile pour le Maître d’enseigner le Fa au monde entier.

Miracles lors de la 2e série d’enseignements du Fa dans la ville de Jinan, province du Shandong

En mai 1994, j’ai assisté à la session de démonstration du gong du Maître dans l’auditorium du ministère de la Sécurité publique à Pékin. Certaines vidéos prises là-bas ont été incluses dans la vidéo d’enseignement des exercices du Falun Gong.

Après cela, j’ai assisté à la 2e série d’enseignements du Fa du Maître à Jinan à partir du 21 juin 1994. J’étais si heureuse de revoir le Maître et d’écouter à nouveau son enseignement.

L’été chaud devient frais

La Conférence de Jinan s’est tenue au stade Huangting. Plus de 4000 personnes sont venues.

Il faisait très chaud à l’époque et le stade n’avait pas l’air conditionné. Je me suis assise tout au fond. Au début, j’écoutais attentivement le Maître, mais peu à peu, j’ai été distraite par les gens qui s’éventaient et j’ai commencé à réfléchir : Les éventails ne sont pas appropriés lors d’une réunion de gens ordinaires, comment quelqu’un peut-il le faire ici ? Quelle impolitesse envers le Maître !

Le Maître a alors dit à l’assistance que ceux qui tenaient des éventails à la main pourraient vouloir les poser. La chaleur n’est-elle pas une bonne chose (pour réduire le karma des gens) ?

Ma mère, assise à ma gauche, a cessé de s’éventer, mais la femme à ma droite continuait de s’éventer. Peu de temps après, j’ai senti que le côté de ma mère était devenu beaucoup plus frais, mais que mon côté droit restait chaud.

La nuit, l’endroit où nous habitions était chaud et certaines personnes n’arrivaient pas à s’endormir. J’ai eu une idée : Le Maître pourrait-il apporter de la pluie à Jinan pour rafraîchir la température ? (En fait, cette pensée manquait de respect envers le Maître.) Le lendemain, j’ai entendu le tonnerre et la pluie pendant la conférence. Lorsque nous sommes sortis du stade, il bruinait. La ville de Jinan s’était vraiment rafraîchie et elle est restée fraîche ainsi jusqu’à la fin du cours.

L’attachement à l’exaltation

J’étais très enthousiaste après avoir appris Dafa. Cependant, je ne comprenais pas complètement le Fa et je ne savais pas comment m’intégrer dans la société des gens ordinaires. J’avais l’habitude de faire très attention à mon apparence. Mais après avoir appris le Dafa, j’ai commencé à imiter certaines figures taoïstes dans la littérature, sans me soucier de l’apparence. J’ai aussi commencé à parler de choses supranormales. Mes collègues ont senti que j’étais devenue une personne étrange et n’aimaient plus parler avec moi. Certains m’ont même dit : « Tu devrais tout juste entrer au temple. »

J’en ai parlé à des compagnons de cultivation que j’ai rencontrés à Jinan. Puis j’ai entendu ce que le Maître nous a enseigné dans sa conférence :

« La joie de cette personne provoque une exaltation superflue qui entraîne certains comportements anormaux dans sa façon d’agir, dans ses relations sociales avec les gens ordinaires, ou dans le cadre de la société humaine ordinaire ; je dis que ça ne va pas. » (Huitième Leçon, Zhuan Falun)

Le Maître a aussi dit :

« Dans les autres aspects de la cultivation et de la pratique, et tout au long de ce processus, on doit également veiller à ne pas développer l’exaltation, car cet attachement peut très facilement être exploité par des démons. » (Huitième Leçon, Zhuan Falun)

Ma compréhension

Une question revenait sans cesse dans mon esprit quand j’étais à Jinan : Qui est le Maître ? Le Maître nous a dit pendant sa conférence :

« Je ne suis en aucun cas le Bouddha Shakyamuni ». (« Réponses aux questions lors de l’enseignement du Fa à Guangzhou », Zhuan Falun Fajie)

J’ai entendu une histoire bouddhiste selon laquelle le futur Bouddha Maitreya descendra pour prêcher le Fa et sauver les gens. Le Maître est-il le futur Bouddha Maitreya ?

Plus tard, le mot « Sauveur » est apparu dans ma tête. À part le Maître, qui d’autre peut faire des choses aussi grandioses ?

Une fois, pendant la pause conférence, je me suis approchée de la scène. J’ai entendu le Maître demander à un membre du personnel : « Avez-vous enregistré la conférence ? »

« 0ui. »

Le Maître a dit que, avec l’enregistrement, les gens peuvent l’écouter par la suite.

J’étais très proche du Maître à ce moment-là, mais mon esprit était vide, comme s’il était absent. J’ai oublié de faire Heshi au Maître. Je voulais poser des questions au Maître, mais je ne savais pas quoi demander. Tout ce que je pouvais faire était de regarder le Maître. Le Maître a souri et il est parti.

Après mon retour à Pékin, j’ai cherché l’enregistrement de la conférence du Maître. Plus tard, j’ai obtenu une série des enregistrements à Jinan. J’étais tellement enthousiasmée !

Ce que j’ai compris du Fa, c’est que le Maître nous a donné des vies toutes nouvelles et des choses précieuses. Je chéris et respecte Dafa et je le considère plus important que ma propre vie, car Dafa a tout créé, moi y compris. Je n’existerais pas sans Dafa, tout comme la vie ne peut exister sans respirer de l’air.

À la fin de la session, le Maître a fait un signe de la main en faisant tourner le grand Falun autour de tout le stade. Mon œil céleste était fermé, je ne pouvais donc pas voir cette scène sacrée dans les autres dimensions. Mais j’étais tellement enthousiasmée et je continuais à applaudir. Mon cœur était dans l’air, le Maître nous menait vraiment à de hauts niveaux ! J’ai eu une pensée : Je n’abandonnerais jamais Dafa pour autre chose, même si c’était pour le monde entier.

Je ne voulais pas que la session se termine. Je voulais rester avec le Maître pour toujours.

J’avais déjà assisté à trois séries de conférences du Maître. Chaque fois, le Maître nous a demandé d’écrire notre compréhension et nos expériences. Je ne l’ai pas fait pendant les deux premières séries, car je sentais que je n’avais pas beaucoup de choses intéressantes à partager. J’ai alors décidé que je devais écrire pour la session de Jinan. 

J’ai commencé par parler des difficultés que j’avais rencontrées dans mon enfance. Si tout ce que j’ai enduré était pour que j’obtienne Dafa, je suis parfaitement heureuse de le faire. C’est le Maître qui nous a purifiés, nous a donné le Falun doré et brillant, et nous a expliqué le Fa. Le Maître nous a donné une échelle pour monter au Ciel ! Je sentais que le Maître était le Sauveur pour sortir les gens de la souffrance. J’espérais que de plus en plus de personnes au grand cœur pourraient cultiver et pratiquer Dafa.

La série de conférences de Jinan a été la dernière fois où j’ai vu le Maître.

Devenir un être qui vit pour aider les autres

Le 20 juillet 1999, Jiang Zemin, alors chef du Parti communiste chinois (PCC), a lancé une campagne nationale contre le Falun Dafa et le Maître.

L’expérience de ma propre famille avec le PCC m’a rendue dégoûtée du régime. Mon arrière-grand-père était une personne riche avec une forte croyance spirituelle. Après son arrivée au pouvoir en 1949, le PCC a confisqué ses biens. Le PCC a arrêté et détenu mes grands-pères maternels et paternels parce qu’ils avaient servi le gouvernement du Kuomintang, le gouvernement officiel avant que le PCC ne vole le pouvoir. Certains cousins de mes parents ont été torturés à mort ou envoyés dans des régions éloignées pour y vivre. J’ai aussi vu que les soldats du PCC tiraient sur les étudiants et les citoyens lors du massacre de Tiananmen en 1989. Je voulais simplement rester à l’écart du PCC.

Cependant, après avoir pratiqué le Falun Dafa, j’ai mis de côté mon propre dégoût du PCC. Comme d’autres pratiquants, j’ai parlé aux autorités avec un cœur pur, en essayant de les aider à comprendre la vérité sur le Falun Dafa, afin qu’elles puissent arrêter la persécution et rendre justice à Dafa.

J’étais assez triste à ce moment-là, et le Maître me manquait beaucoup, car le Maître n’a rien dit pendant un certain temps. Je m’inquiétais pour le Maître.

Mon lieu de travail a envoyé plusieurs personnes pour essayer de me dissuader de cultiver Dafa. Ils m’ont montré les vidéos des ambassades et des consulats de nombreux pays dénonçant le Falun Dafa, créant l’illusion que le monde entier était contre nous. Je leur ai dit : « Même si tous les gens dans le monde arrêtent de pratiquer Dafa, je continuerai à le pratiquer ! »

Ils ont vu que je sortais souvent et m’ont demandé ce que je voulais. Je leur ai dit que je voulais dire la vérité de Dafa aux autorités. Ils ont dit qu’ils pouvaient la transmettre pour moi, mon lieu de travail était une organisation au niveau ministériel. Je leur ai alors raconté comment Dafa avait rendu la santé à ses pratiquants et apporté des bienfaits au pays. Ils ont effectivement transmis mon message à l’un des hauts dirigeants et m’ont rapporté la réponse suivante : « Les hauts dirigeants savent ce que vous avez mentionné. Mais la Chine ne permet pas l’existence d’un bouddha vivant. » J’étais naïve et je n’ai pas compris l’intention vicieuse de tuer qui se cachait derrière la phrase « ne pas permettre à un bouddha vivant d’exister. »

Le PCC a organisé une grande exposition de photos intitulée « Respecter la science et s’opposer à la superstition » au Musée militaire de Pékin en mars 2000. L’exposition attaquait le Maître et Dafa. J’ai décidé d’aller au musée pour dire la vérité aux gens.

Une autre pratiquante a dit qu’elle aussi irait au musée. Quand je suis arrivée au musée, je ne l’ai pas trouvée. « Que dois-je faire ? Dois y aller toute seule ? », me suis-je demandé.

Je me suis dit : « Je dois y aller, le Maître est diffamé, comment puis-je regarder cela sans agir ? Même s’il y a une montagne de couteaux ou une mer de feu devant moi, j’irai. Ce serait bien même si je ne pouvais réduire qu’une petite partie de la diffamation contre le Maître. »

Je suis entrée dans le musée. Toute l’exposition était sombre. Je ne voulais pas regarder les mensonges du PCC, alors j’ai cherché la personne responsable. Un membre du personnel est apparu devant moi. Je l’ai suivi de l’autre côté de la salle. J’ai vu une installation temporaire d’un « centre de commande ». Je suis entrée à l’intérieur.

Plusieurs hommes étaient assis là, fumant et jouant aux cartes. Une femme se tenait à côté d’eux. J’ai vu le titre de « commandant adjoint » sur son badge. Je lui ai expliqué que le Falun Dafa pouvait apporter la santé aux gens et que le musée avait peut-être créé cette exposition par ignorance ; en fait, le Falun Dafa n’a pas fait de mal, mais a seulement apporté des bienfaits au pays et aux gens. Je leur ai ensuite dit que j’avais écrit une lettre et que je souhaitais qu’ils la lisent. Toutes les personnes présentes n’ont pas réagi une fois que j’ai fini de parler, sauf la femme qui m’a fait signe de laisser la lettre sur le bureau. Lorsque je suis sortie, une rangée de policiers se tenait devant moi. Allaient-ils m’arrêter ? Je suis passée à côté d’eux, ils étaient tous immobiles.

J’ai vu une grande télévision montrant le Maître faisant un signe de la main pour guérir les maladies des pratiquants lors de l’enseignement du Fa. Dans ce geste de la main, combien de vies ont été libérées de la souffrance ! Si notre corps humain est un petit univers, combien de choses à l’intérieur de l’univers et combien d’univers le Maître avait-il nettoyés !

Cependant, le PCC utilisait des mots vicieux pour attaquer le Maître à la télévision. Malheureusement, certaines personnes, jeunes et moins jeunes, sont restées devant la télévision à regarder. Le Fa de l’Authenticité, de la Bienveillance et de la Tolérance est le fondement de toute vie. Si ces personnes innocentes croyaient aux mensonges du PCC, où iraient-elles à la fin ?

Je ne pouvais pas me rappeler comment j’étais sortie du musée militaire. Mais je savais que sans l’aide du Maître, je n’aurais pas pu sortir facilement.

Mes larmes ne cessaient de couler quand j’étais dans le bus du retour. J’ai ressenti la compassion illimitée de Dafa, devenir un être pour aider les autres. Je voulais juste dire à tout le monde « Falun Dafa est bon ! » Une fois qu’une personne sait que Dafa est bon, sa vie est sauvée !

Je pratique Dafa depuis vingt-huit ans. J’ai été emprisonnée pendant plus de dix ans. J’avais l’impression d’avoir laissé tomber le Maître et de ne pas avoir bien fait pour Dafa, alors je n’osais pas partager mes expériences. 

Maintenant, je me rends compte que je suis passée d’un être égoïste à un disciple de Dafa qui pense aux autres ; ce changement a été apporté par la compassion illimitée du Maître et l’énorme grâce de Dafa. Je suis finalement sortie de l’interférence et j’ai écrit cet article, pour témoigner du changement que Dafa apporte aux êtres.

Je ne peux pas décrire toute ma gratitude envers le Maître ! À l’occasion du 30e anniversaire de la présentation du Falun Dafa au public, ici, je présente mon engagement envers le Maître à être diligente dans ma cultivation et ma pratique !

Bon anniversaire Maître !

(Fin)

Traduit de l’anglais