(Minghui.org) De nombreux articles ont été publiés sur le site web Minghui sur la façon d’aider les pratiquants de Falun Dafa à surmonter les tribulations du karma de maladie. Beaucoup d’entre nous ont pris l’initiative d’émettre la pensée droite pour les pratiquants confrontés au karma de maladie, et ont partagé avec eux comment regarder à l’intérieur afin qu’ils puissent rapidement faire une percée dans leurs tribulations, en espérant s’élever comme un seul corps basé sur l’éveil juste vers le Fa.

Au cours des deux dernières années, les pratiquants de Dafa ont semblé avoir des illusions de karma de maladie à grande échelle. Certains pratiquants ont même perdu la vie au milieu de leurs tribulations, ce qui a causé une grande perte pour aider Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) à sauver les êtres.

Voici quelques exemples de comment j’ai aidé des pratiquants à faire des percées lorsqu’ils étaient confrontés aux tribulations du karma de maladie.

Guérison en trois jours après avoir été cloué au lit pendant plus de six mois

Au début de l’été 2004, je me suis rendue sur un marché pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa et j’ai rencontré Mme Liu de ma ville natale. Nous ne nous étions pas vues depuis quelques années, alors je lui ai demandé comment allaient les pratiquants de notre village, et s’ils pratiquaient toujours le Falun Dafa. Elle m’a dit que depuis le début de la persécution le 20 juillet 1999, sur les dizaines de pratiquants de la région, presque personne ne faisait encore la pratique. Certains ont déménagé dans d’autres villes, d’autres sont décédés. « Seule Mme Ming (pseudonyme) et moi pratiquons encore, mais elle ne cultive que par intermittence. »

Elle m’a raconté que Mme Ming était alitée depuis plus de six mois, et que son mari s’occupait d’elle. Mme Liu allait étudier le Fa avec elle de temps en temps. J’étais très inquiète pour Mme Ming et j’ai décidé de l’inviter chez moi afin de l’aider à faire une percée dans son épreuve.

Je me suis rendue chez elle le lendemain. J’ai parlé à son mari, et il a accepté qu’elle vienne chez moi. Son gendre nous a pris dans sa voiture, a porté Mme Ming à l’étage et l’a mise au lit.

Ma maison est un lieu d’étude collective du Fa pour plus de 20 pratiquants. Mme Ming a étudié le Fa, partagé sa compréhension du Fa et émis la pensée droite avec quelques pratiquants. Après avoir terminé, je devais travailler de nuit, j’ai donc demandé à Mme Li de rester et de tenir compagnie à Mme Ming.

Mme Ming voulait aller aux toilettes et a demandé à Mme Li de l’y emmener en la portant sur son dos. J’ai dit à Mme Li : « Vous ne pouvez pas faire ça. Laissez-la se débrouiller pour y aller toute seule. »

Mme Ming a dit qu’elle ne pouvait pas marcher, alors j’ai répondu : « Qui ne peut pas ? Êtes-vous toujours une pratiquante ? » Elle a dit que oui, alors j’ai poursuivi : « Si vous l’êtes, alors pourquoi ne pouvez-vous pas marcher ? Qui vous empêche de marcher ? Allez-y et marchez. N’êtes-vous pas responsable de votre corps ? Vous n’avez qu’à marcher. Le Maître va vous aider. »

Elle est sortie du lit et s’est déplacée petit à petit jusqu’aux toilettes, à une distance de trois mètres, en s’appuyant sur le canapé et le mur. Elle est revenue plus de 30 minutes plus tard. Avant de partir au travail, j’ai répété à Mme Li : « Lorsqu’elle utilise les toilettes, peu importe le temps qu’elle met pour s’y rendre, ne la traitez pas comme une personne malade. Émettez seulement la pensée droite pour lui donner de la force, afin que nous puissions vraiment nier la persécution des forces anciennes. »

Lorsque je suis rentrée du travail le lendemain matin, il était temps de manger. Mme Ming m’a dit qu’elle ne pouvait pas utiliser de baguettes, seulement une cuillère. J’ai répondu : « Je n’ai pas de cuillère, seulement des baguettes. »

« Ok ! Je ne peux pas manger le riz, je ne mangerai que du congee (gruau de riz) », a-t-elle répondu.

J'ai dit : « Qu'est-ce que les pratiquants ne peuvent pas manger ? Comment pouvons-nous être pointilleux ? Au fait, pourriez-vous s'il vous plaît préparer le déjeuner aujourd'hui ? J'ai besoin de manger dès que je rentre du travail. Vous pouvez faire cuire du riz et des haricots. S'il vous plaît, faites en sorte que la nourriture soit prête à temps, car il y aura des gens qui viendront étudier le Fa cet après-midi. » Elle m'a regardée sans rien dire, puis je suis partie.

Quand je suis rentrée à la maison à midi, j’ai vu que le déjeuner était prêt et déjà sur la table. Je n’ai pas demandé comment elle l’avait préparé et lui ai simplement dit : « Désormais, chaque fois que je vais travailler, c’est à vous de cuisiner. Je reviendrai à midi pour manger, puis je rejoindrai l’étude du Fa l’après-midi. »

Le quatrième jour, Mme Ming s’est assise sur le lit dans la position du lotus pour étudier le Fa. Elle a ensuite pratiqué la méditation assise pendant trois heures et demie d’affilée. Lorsqu’elle s’est levée du lit pour aller aux toilettes, elle a miraculeusement pu marcher toute seule. Elle était si enthousiaste qu’elle m’a serrée dans ses bras et a pleuré. Elle n’arrêtait pas de dire : « Merci ! »

Je lui ai dit de ne pas me remercier, mais de remercier le Maître. Elle s’est prosternée trois fois devant le portrait du Maître. Elle est restée avec moi trois jours de plus et est rentrée chez elle le septième jour.

Rapidement remis de l’illusion d’une attaque cérébrale

Le mari de Mme Hua (pseudonyme) est venu me parler en juin 2020. Sa femme était alitée depuis deux jours. Son pied et sa main gauche étaient hors d’usage. Il a dit : « Il semble qu’elle a eu un accident vasculaire cérébral, mais elle refuse d’aller à l’hôpital. Pouvez-vous s’il vous plaît lui parler ? »

Mme Hua fronçait les sourcils avec une expression douloureuse. J’ai dit : « Regardez-vous, vous ne mangez pas et ne buvez pas par cette journée chaude et vous restez juste allongée, comme ça. »

« Je ne peux pas me lever », a-t-elle répondu d’une voix fragile. « Dès que j’ouvre les yeux, j’ai des vertiges et j’ai envie de vomir ».

Je lui ai dit : « Si vous ne pensez pas que vous allez bien, alors allez à l’hôpital, pour que votre mari n’ait pas à s’inquiéter pour vous. » Elle m’a répondu qu’elle n’était pas malade et que c’était parce que son xinxing avait chuté. J’ai poursuivi : « Puisque vous n’êtes pas malade, pourquoi restez-vous allongée ? S’il vous plaît, levez-vous. »

Elle s’est effectivement levée et a émis la pensée droite pendant une heure. J’ai ensuite partagé avec elle, en citant des exemples tirés d’articles sur le site web Minghui, la façon dont les pratiquants ont fait des percées dans leurs tribulations du karma de maladie en regardant efficacement vers l’intérieur. Une pensée m’est venue à l’esprit : faire les exercices est le meilleur remède. J’ai donc dit : « Faisons les exercices. »

Mme Hua s’est traînée jusqu’aux toilettes en se tenant au mur. Après son retour, nous avons commencé à faire les exercices. Ses mouvements étaient décalés, alors je lui ai rappelé de faire les exercices correctement. Lorsque nous avons fait la première position du deuxième exercice, position debout du Falun, dès qu’elle a levé le bras gauche, elle l’a baissé. Je lui ai dit de le lever à nouveau, alors elle l’a levé et baissé plusieurs fois.

Lorsque nous sommes passés à la troisième position, dès qu’elle levait son bras gauche, elle le baissait à nouveau. Voyant que cette position était un peu difficile pour elle, je me suis approchée d’elle et j’ai utilisé mon bras pour soutenir le sien, afin qu’elle puisse terminer l’exercice. Lorsque nous avons effectué la dernière position, elle a également baissé son bras gauche à plusieurs reprises. J’ai dû lui dire de le lever chaque fois qu’elle le posait, jusqu’à ce que nous ayons terminé une heure de position debout du Falun.

Nous avons ensuite fait les troisième et quatrième exercices, et je lui ai encore rappelé de faire les mouvements correctement. Après cela, nous avons fait la méditation assise pendant une heure. Lorsque nous avons terminé, elle a dit : « Je tenais la roue au-dessus de ma tête, et lorsque votre bras a touché le mien, un courant chaud a pénétré dans tout mon corps. J’ai senti que j’étais bénie par une puissance bienveillante, ce qui m’a fait monter les larmes aux yeux. »

Nous avons étudié une leçon du Zhuan Falun et émis la pensée droite à minuit. Avant de partir, je lui ai dit : « Quand vous vous levez le matin, faites tout comme d’habitude. Quand votre mari et votre fille vous demandent comment ça va, vous leur dites que vous allez bien. Pourquoi dire cela ? Premièrement, pour qu’ils ne s’inquiètent pas pour vous, car nous, pratiquants, pensons toujours aux autres en premier. Deuxièmement, si vous dites que vous allez bien, vous irez vraiment bien. »

Le lendemain, Mme Hua est venue chez moi à 6 heures du matin. Je l’ai félicitée en lui disant qu’elle était géniale. Elle a dit : « Vous ne savez pas combien il était difficile de marcher jusqu’ici. Dans mon for intérieur, je n’ai cessé de supplier le Maître de me renforcer pour que je ne tombe pas. » Nous avons émis la pensée droite pendant une heure et étudié un chapitre du Zhuan Falun, puis nous avons fait les exercices.

Je lui ai rappelé de faire les mouvements correctement. En faisant la position debout du Falun, elle pouvait lever le bras gauche un peu plus longtemps, mais devait ensuite le baisser. Elle a continué à le lever et à le baisser jusqu’à la fin de l’exercice. Pendant la méditation assise, alors qu’une demi-heure venait de s’écouler, elle ne pouvait plus supporter la douleur et voulait poser les jambes. Mais j’ai insisté pour qu’elle garde la position. Elle avait tellement mal qu’elle ne cessait de crier. Je lui ai demandé : « Vous pouviez vous asseoir pendant une heure hier, comment se fait-il que vous ne puissiez pas tenir aujourd’hui ? »

Elle m’a répondu que ses jambes étaient engourdies hier, mais qu’elle pouvait littéralement sentir la douleur cette fois-ci. Je lui ai répondu : « N’est-ce pas une bonne chose ? Alors vous devriez vraiment tenir jusqu’au bout. »

Le lendemain soir, nous avons étudié un chapitre du Zhuan Falun, fait les cinq séries d’exercices et émis la pensée droite à minuit. J’ai dit : « Demain, c’est le jour de notre marché local. Voulez-vous venir avec moi pour aller clarifier la vérité ? »

Nous nous sommes dirigées vers le marché à 8 h 30. Mme Hua a marché en me tenant le bras. Elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas encore marcher de façon régulière et qu’elle se sentait plus en sécurité en me tenant le bras. Après avoir terminé, elle avait acheté 11 livres de graines de soja. Je lui ai demandé si je pouvais les porter pour elle, mais elle a refusé et a marché avec, tout le long du chemin du marché à sa maison, ce qui faisait d’un peu plus de 800 mètres.

Depuis lors, nous sommes sorties tous les jours pour clarifier les faits. Au début, Mme Hua ne savait pas quoi dire, alors elle émettait la pensée droite. Petit à petit, elle a pris la main et est devenue assez courageuse pour parler aux gens.

Maintenant, elle est vraiment douée pour cela. Elle étudie et mémorise le Fa, regarde à l’intérieur et aide les autres à faire face aux tribulations du karma de maladie.

Du seuil de la mort à un état normal en cinq heures

Mme Wu (pseudonyme) est venue me voir après 17 heures le 21 novembre 2021. Elle m’a dit que sa belle-sœur, Mme Jing (pseudonyme), n’avait pas mangé depuis plusieurs jours. Elle était terriblement faible et ne pouvait pas sortir du lit. Mme Wu m’a demandé si je pouvais venir la voir. Elle craignait que si elle allait voir Mme Jing toute seule, la mère de cette dernière ne l’agresse verbalement et ne la laisse pas entrer.

Le frère de Mme Jing (le mari de Mme Wu) a été licencié de son travail pour s’être rendu à Pékin afin de valider le Fa, et sa mère en a voulu à Mme Wu. Ainsi, chaque fois qu’elle voyait Mme Wu, elle l’injuriait et ne la laissait pas entrer dans la maison.

Lorsque nous avons frappé à la porte, il n’y a eu aucune réponse. Nous avons donc ouvert la porte avec la clé que le neveu de Mme Jing lui avait donnée.

Mme Jing était recroquevillée dans son lit, les pommettes saillantes, les yeux profondément enfoncés et de larges cernes sous ses yeux étroitement fermés. Elle était sans expression. Je lui ai parlé, mais elle n’a pas répondu. J’ai alors crié : « Mme Jing ! Je suis ici pour vous emmener chez moi. Le Maître ne veut pas vous abandonner. Que vous vouliez ou non retourner chez vous avec le Maître, c’est votre dernière chance. Si quelque chose de mal vous arrivait, que penserait votre famille de Dafa ? Êtes-vous venue ici pour aider le Maître à rectifier le Fa, ou pour discréditer Dafa ? Pouvez-vous assumer la responsabilité des conséquences ? Levez-vous vite et venez avec moi ! »

Elle a tendu la main. Elle était très froide, une peau noire violacée enveloppait ses os. Je l’ai aidée à se redresser et Mme Wu l’a aidée à s’habiller. Mme Jing a dit d’une voix faible : « Je n’ai pas mangé. Je ne peux pas marcher. »

J’ai dit : « Allons manger chez moi. J’ai cuisiné du poisson aujourd’hui. »

Mme Jing semblait satisfaite, mais sa mère m’a demandé, le visage renfrogné : « Vous voulez l’emmener chez vous, mais pouvez-vous la faire guérir ? »

« Je ne peux pas la guérir », ai-je répondu, « mais du moment qu’elle le veut, notre Maître peut l’aider. »

Après un moment, son père a demandé : « Est-ce que vous tous, les pratiquants de Falun Gong, vous ne mangez pas ? »

J’ai répondu : « Si je ne mangeais pas, comment pourrais-je réussir à venir ici pour la chercher ? Seulement elle et son mari sont comme ça. Il y a des choses dans le Fa qu’ils ne comprennent pas. »

Alors que nous étions sur le point de partir, Mme Hua est arrivée. Elle et Mme Wu ont aidé Mme Jing à descendre dans la rue. Nous avons essayé de héler quatre taxis, mais aucun n’a voulu nous emmener. Il faisait venteux et froid, alors Mme Hua a porté Mme Jing sur son dos et a marché jusque chez moi.

Mme Jing s’est allongée sur un lit pendant que nous émettions la pensée droite pour elle. Nous avons ensuite mis les conférences vidéo du Maître à la ville de Guangzhou, et les avons regardées ensemble. Une heure plus tard, j’ai fait de la soupe et Mme Jing en a mangé cinq bols. Elle a ensuite mangé des aliments solides. Elle semblait beaucoup mieux au moment où Mme Hua et Mme Wu ont décidé de rentrer chez elles.

Après être allée aux toilettes vers 23 heures, Mme Jing s’est assise pour manger encore du poisson que j’avais préparé. Lorsque j’ai appelé ses parents et que je leur ai parlé des changements positifs qu’elle avait subis ainsi que de la quantité de nourriture qu’elle avait pris, son père était très enthousiaste et n’arrêtait pas de dire « Merci ! »

Nous nous sommes levés à 3 h 10 du matin le lendemain pour faire les exercices et émettre la pensée droite. Mme Wu et Mme Hua sont revenues après 8 heures du matin et nous avons fini de regarder les conférences du Maître.

J’étais occupé avec mes enfants pendant le week-end, alors Mme Jing est restée chez Mme Hua. Elle y est restée quelques jours de plus, car Mme Hua et son mari l’ont beaucoup aidée. Elle est rentrée chez elle le septième jour.

Aujourd’hui, Mme Jing participe à l’étude collective du Fa trois fois par semaine, elle sort pour coller des autocollants clarifiant la vérité et distribue des brochures. Elle a trouvé la cause profonde de son problème qui l’a fait trébucher cette fois-ci, et a dit qu’elle allait bien se cultiver, faire les trois choses efficacement, et suivre le Maître à la maison.

Problèmes communs aux pratiquants confrontés au karma de maladie

Grâce à mon expérience d’assistance aux pratiquants qui traversent les tribulations du karma de maladie, j’ai observé les problèmes suivants.

Ces pratiquants sont normalement à la traîne dans l’étude du Fa, et ne font qu’étudier le Zhuan Falun de façon routinière. Ils étudiaient un chapitre par jour et seulement s’ils avaient le temps. Ils lisaient aussi rarement les nouveaux articles du Maître et accordaient peu d’attention à l’émission de la pensée droite et au nettoyage de leur propre champ dimensionnel. En ce qui concerne l’exécution des mouvements des exercices, ils n’arrivaient pas non plus les faire correctement et faisaient les exercices par intermittence. Ils ne pouvaient pas non plus se défaire de leur sentimentalité envers leurs enfants. En conséquence, ils étaient tellement pris par les tâches ménagères qu’ils ne pouvaient pas consacrer de temps à la clarification de la vérité.

Par conséquent, lorsque nous avons aidé les pratiquants à annuler les arrangements des forces anciennes, les lacunes susmentionnées devaient être corrigées. Ces pratiquants devaient également étudier davantage le Fa, émettre la pensée droite pendant un temps prolongé et faire les exercices plus souvent.

Lorsque les pratiquants commencent à sortir de leur état anormal, ils peuvent sortir avec d’autres pratiquants pour clarifier les faits. Tout en regardant à l’intérieur, ils doivent également lire les nouvelles conférences du Maître. Je leur suggère également d’apprendre à mémoriser et à réciter le Fa. Au cours du processus d’étude du Fa et de clarification des faits, ils trouvent naturellement les raisons pour lesquelles ils ont trébuché. À ce moment-là, si nous partageons avec eux ce que nous avons observé en ce qui concerne leurs failles, ils devraient être très disposés à l’accepter.

Faire attention à ne pas développer l’attachement à la dépendance

Pour qu’un pratiquant puisse aider un autre pratiquant en proie à un karma de maladie, il doit posséder un état d’esprit pur, sans recherche. Il doit agir uniquement dans l’intérêt des autres. En même temps, il faut veiller à ce que le pratiquant ne développe pas l’attachement à la dépendance aux autres.

De plus, il est préférable de ne pas avoir trop de pratiquants en même temps qui aident le pratiquant. Un ou deux suffiront, afin d’éviter les conflits dus à des opinions divergentes, car le pratiquant en proie à un karma de maladie pourrait alors être désemparé ou subir une forte pression.

Nous ne pouvons que guider le pratiquant pour qu’il fasse une percée dans sa tribulation, et bien que nos conseils soient très importants, en fait, tout est fait par le Maître.

Traduit de l’anglais