(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa durant l’été 1998. J’avais 22 ans et je venais d’obtenir mon diplôme universitaire. En 1999, le Parti communiste chinois (PCC) a commencé la persécution. J’ai été déboussolée pendant deux ans, mais au fond de moi, je n’ai jamais abandonné le Falun Dafa ni la cultivation. En 2001, alors que je préparais l’examen d’entrée au second cycle universitaire, une grave maladie m’a réveillée.

Xiaoxia, ma camarade de lycée, était étudiante dans une université et j’ai séjourné dans son dortoir pendant que je préparais les examens d’entrée pour le second cycle universitaire. Quand les autres allaient en cours, je lisais le Fa. J’avais peur, alors je cachais le Zhuan Falun dans les fissures de l’armoire. Je cachais le livre dès que j’entendais le moindre bruit.

Le Maître a dit :

« C’est parce que nous avons une influence positive, les élèves nettoient le lieu et lorsque c’est après une chute de neige, ils enlèvent même la neige de la cour. Comme nous nous conduisons si bien partout où nous sommes, c’est tout naturellement que les gens nous fournissent des conditions favorables. » (« Enseignements du Fa à Guangzhou pour une partie des responsables des points d’assistance dans tout le pays », Falun Dafa Yijie, Explication sur le sens intérieur du Falun Dafa)

Après avoir étudié le Fa, je nettoyais le dortoir et je travaillais à la préparation de mes examens les après-midis. Chaque jour, l’inspection du service d’hygiène donnait à notre dortoir la note « excellente » et les camarades de chambre étaient impressionnées. Elles ont progressivement compris que le Falun Dafa était injustement persécuté, en particulier Xiaoju, qui a demandé à lire le Zhuan Falun.

J’ai fini par abandonner ma peur et j’ai commencé à clarifier la vérité. J’ai fait des copies de documents clarifiant la vérité et je les ai distribuées sur le campus. Dafa m’a donné de la sagesse, et j’ai été admise au programme d’études supérieures d’une autre université. Xiaoxia m’a dit : « Mes camarades de classe ont une très bonne impression de toi et tes notes sont excellentes. » Tout cela les a aidés à comprendre que le Falun Dafa est bon.

Lorsque j’étais à l’université, j’ai surmonté ma peur et j’ai clarifié la vérité à mes professeurs et à mes camarades de classe. Certains ont pris cela très au sérieux et m’ont demandé si les dieux existaient vraiment. Certains ont dit : « La destruction des croyances par le Parti communiste chinois (PCC) est très néfaste pour la société, et si les gens ne croient pas en Dieu, la moralité de la société sera vraiment corrompue. »

Lorsque j’ai réalisé qu’ils jetaient les documents clarifiant la vérité après les avoir lus, j’ai dit : « Si vous ne voulez pas les garder, rendez-les-moi et je les donnerai à quelqu’un d’autre. » Certains camarades de classe ont gardé le livre des Neuf commentaires sur le Parti communiste et l’ont lu souvent. L’un d’eux a démissionné du Parti, a transmis les Neuf commentaires à d’autres et a convaincu un étudiant de second cycle et un professeur de démissionner du Parti. Il a également expliqué à ses parents les faits concernant le Falun Gong.

La première fois que j’ai parlé de Dafa à mes camarades de chambre, elles pensaient que le Falun Dafa tuait les gens comme le prétendait la propagande du PCC à la télévision. Elles avaient trop peur pour démissionner du Parti. L’une d’entre elles s’est ensuite rendu compte que le Falun Dafa enseignait aux gens à être bons. Après avoir observé ma façon de parler et mon comportement, elles ont compris que j’étais une bonne personne. Elles se confiaient à moi et m’ont demandé de servir de médiateur lors de conflits.

Au début, comme ma surveillante n’appréciait pas le Falun Dafa, elle s’est mise en colère dès que je lui ai dit que Dafa était injustement persécuté. J’ai silencieusement émis la pensée droite. Lorsqu’elle s’est calmée, je lui ai reparlé. Comme je suis toujours les principes de Dafa, elle m’a dit avec émotion : « Parmi toutes les étudiantes que j’ai eues, tes notes ne sont pas les meilleures, mais tu es ma préférée. » Son mari était un haut fonctionnaire et savait que le PCC était mauvais. Plus tard, elle a démissionné du Parti et a aidé son mari à le faire.

J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai expliqué la vérité à une autre enseignante, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle se plaigne de moi à ma surveillante. Je lui ai reparlé plus tard et elle est devenue très favorable à Dafa. Lorsque j’ai obtenu mon Master, de nombreuses personnes sont venues me dire au revoir et certaines m’ont dit de faire attention à ma sécurité. Quelqu’un m’a envoyé un message : « Tu es quelqu’un de bien, et les gens bien sont récompensés. »

Le président de l’entreprise comprend la vérité

J’ai obtenu mon diplôme en 2005 et je suis allée travailler dans l’entreprise C. Le président du conseil d’administration était un Canadien d’origine chinoise. Il m’a souvent félicitée publiquement pour mon bon travail et m’a dit qu’il me nommerait à un poste de chef de service. J’étais heureuse. À cause de ma façon de me mettre en valeur et de mon exaltation, mon chef de service m’a signalée au président en raison de ma pratique du Falun Dafa, et j’ai été licenciée.

J’ai demandé à rencontrer le président et je lui ai expliqué la vérité. Il m’a dit : « Je vais organiser une réunion du conseil d’administration et voir si je peux vous garder en tant qu’intérimaire et vous payer normalement. » Mais les directeurs avaient peur du PCC, alors je n’ai pas eu d’autre choix que de démissionner. Cependant, le président a posé des questions sur la cultivation. Il a dit : « Mélanger la politique et la religion comme le fait le PCC est tout à fait inacceptable. »

Lorsque le président du conseil d’administration avait dit aux autres qu’il voulait que je sois chef de service, je n’avais pas pensé à ce que pouvait ressentir l’actuel chef de service ni à l’humiliation qu’il avait dû ressentir. Je me rendais compte qu’il n’y avait rien de mal à ce que les pratiquants fassent du bon travail, mais je n’aurais pas dû me mettre en valeur pour que les gens pensent que j’étais quelqu’un de bien. J’aurais dû prendre en compte les sentiments du chef de service et l’aider, au lieu de me mettre en avant. Plus tard, lorsque je lui ai parlé de la persécution, il a compris et s’est senti gêné de m’avoir signalée.

Au début de l’année 2006, le Maître a arrangé un travail spécialement pour moi. Je travaillais pour deux entreprises, D et E, et j’ai expliqué la vérité au personnel des deux entreprises. Un homme de la société D était introverti et m’ignorait toujours lorsque je lui expliquais la vérité. J’ai senti que son esprit principal m’appelait : « Tu dois me sauver. »

La fois suivante où je lui ai parlé, il est resté silencieux. Un jour, le vice-président l’a contacté. En revenant de son rendez-vous, il m’a dit : « Le vice-président pourrait bientôt vous parler de votre pratique de Falun Dafa. Soyez prête. » Il m’avait prévenue et j’ai été très émue. Son cœur s’est ouvert et il a commencé à protéger les disciples de Dafa.

Le vice-président m’a dit : « Après trois mois d’essai, je constate que vous n’êtes pas apte à occuper ce poste. » Grâce à la mise en garde du collègue, j’ai dit : « Ce n’est pas la vraie raison, n’est-ce pas ? C’est parce que je pratique le Falun Dafa, n’est-ce pas ? » Je lui ai parlé de la pratique et du fait que le bien et le mal reçoivent une juste rétribution. Il a dit d’un ton sévère : « J’ai déjà vécu trop de choses. » Je lui ai dit avec douceur : « Cela n’a rien à voir avec des expériences passées. Tout le monde a le choix. L’avenir d’une personne dépend de sa capacité à défendre la justice ou ses intérêts personnels. Des gens ont été bénis pour avoir soutenu Dafa, mais certains ont nui aux pratiquants de Falun Dafa afin de protéger leurs intérêts personnels. Par la suite, leurs affaires ont subi des pertes. »

Il a été pris de court. Je savais qu’il ne pensait qu’à lui-même. Ce vice-président était à l’origine le patron de la société E, mais en raison de la persécution du Falun Dafa par le PCC, il avait licencié deux pratiquants. Par la suite, la société E avait subi des pertes financières.

En sortant du bureau du vice-président, je suis allée directement voir le PDG de l’entreprise D. Il a dit qu’il pratiquait le bouddhisme et qu’il croyait en la cultivation. Pendant notre conversation, il a refusé tous les appels téléphoniques, disant : « Je suis en train de parler d’un sujet important. Je vous rappellerai plus tard. »

Les pratiquants doivent se cultiver eux-mêmes et faire preuve de compassion

En 2006, je suis allée travailler à l’institut de recherche de l’entreprise F.

Le Maître a dit :

« Donc autrement dit, quel que soit le domaine où vous vous trouvez, lorsque vous réussissez à améliorer vos aptitudes, c’est le reflet de votre élévation continuelle de niveau. À travers votre comportement, on peut voir que vous essayez d’être une bonne personne qui cultive son cœur et son esprit. Du point de vue des êtres humains, vous devenez une bonne personne. Suite à l’étude de la Loi et à votre cultivation intérieure, vous faites de mieux en mieux et les divinités vous donnent la sagesse que vous méritez et vous donnent l’inspiration, pour vous permettre de comprendre davantage tandis que vous étudiez, de produire de meilleures créations, d’améliorer votre technique et de vous surpasser. » (Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à la ville de Los Angeles)

J’écoutais les enseignements du Maître, je travaillais avec diligence et je regardais à l’intérieur à chaque fois que des problèmes se posaient. Chaque année, je créais des millions de yuans de bénéfices pour l’entreprise, et le patron était très satisfait de mon travail. J’ai saisi toutes les occasions pour parler du Falun Dafa à mes collègues. L’un d’entre eux a démissionné du Parti. Mais Xiaohong, avec qui je m’entendais très bien, m’a signalée et m’a même dénoncée au Département provincial de la sécurité d’État. Quelques jours plus tard, on lui a diagnostiqué un lymphome avancé, et Xiaohong est décédée peu après. Ce qui est arrivé à Xiaohong m’a rendue très triste, et m’a aussi fait comprendre à quel point le Falun Dafa est sacré !

Le patron m’a parlé, et après que je lui ai parlé de la persécution du Falun Dafa par le PCC, il m’a dit avec émotion : « Vous êtes incroyable ! Vous osez dénoncer le PCC alors que vous êtes si jeune. Je ferai de mon mieux pour vous protéger. Mais le PCC est très mauvais. Je ne suis qu’un entrepreneur et le PCC ne me prendra pas au sérieux. » Les autres chefs d’entreprise ont dit : « Le Falun Dafa est vraiment incroyable. Elle ose dénoncer le PCC de manière digne et honnête. »

Le patron a ensuite expliqué que lorsqu’il était étudiant, il avait participé au mouvement démocratique des étudiants en juin 1989 sur la place Tiananmen, qui avait été brutalement réprimé par le PCC. Il a vu de nombreux camarades de classe être écrasés par des chars ; ils gisaient en sang et mouraient. Après avoir vu cela, il avait complètement perdu toute confiance dans le PCC. Il a dit qu’il n’y aurait pas d’espoir pour la Chine tant que le PCC était au pouvoir. « Si quelqu’un a la capacité de le renverser, je suis prêt à lui donner tout mon argent », s’est-il exclamé.

Le patron m’a félicitée : « Quelle grande “révolutionnaire” vous êtes ! » Ses paroles m’ont fait comprendre que je faisais quelque chose de mal. Le Maître nous a demandé de dire la vérité et de sauver les gens. Comment étais-je devenue une « révolutionnaire » ? Est-ce pour cela que j’ai été persécutée à plusieurs reprises ? Les pratiquants devraient se cultiver en silence et en même temps sauver les êtres avec compassion.

Plus tard, en raison du harcèlement répété du Département provincial de la sécurité d’État et parce qu’il avait reçu l’ordre de me livrer, le patron a accepté ma demande de démission afin de me protéger. Il m’a rappelé de ne pas prendre mon téléphone portable d’origine, car j’avais été surveillée.

En 2007, je suis allée travailler pour l’entreprise G. Mon supérieur hiérarchique avait un niveau universitaire inférieur au mien et il craignait que son poste soit menacé, il m’a donc exclue. Je savais que je devais mettre mes intérêts de côté et l’aider. Je l’ai donc aidé à vérifier des informations, j’ai résolu des conflits au travail pour lui, et je n’ai pas cherché de reconnaissance. Le travail de mon supérieur s’est simplifié. Lorsque je suis arrivée dans l’entreprise, il ne m’écoutait pas lorsque j’essayais de clarifier la vérité, mais il a peu à peu compris.

Un an plus tard, le patron a voulu que je le remplace en tant que responsable, mais entre-temps, nous étions devenus amis. Il m’a fait part de ses griefs et je l’ai écouté sans rien dire. Plus tard, j’ai appris qu’il était devenu vice-président d’une autre entreprise.

Lian pratiquait également le Falun Dafa. Lorsqu’il y a eu une grève, les employés ont engagé des membres de gangs. Le patron a appelé la police. Les deux parties se sont affrontées et l’entreprise a connu le chaos. Lian et moi avons clarifié la vérité au cours du processus de résolution du problème. Tous les deux, nous avons fait le va-et-vient entre les syndicats et la direction. Nous avons expliqué aux employés combien il était difficile pour le patron de faire fonctionner l’entreprise sous la répression du PCC. La grève a rapidement pris fin et de nombreuses personnes ont compris que la cause première des problèmes et des conflits en Chine était le PCC.

Depuis lors, l’environnement de clarification de la vérité s’est amélioré. J’expliquais la vérité à un groupe de collègues, puis un autre groupe arrivait. Lorsqu’une personne me remettait en question, une personne qui comprenait la vérité l’interrompait « Tais-toi ! Ne dis pas de bêtises ! » Un jour, pendant la pause déjeuner, un collègue nous a demandé de lui enseigner les exercices, et tout le monde les a appris.

Plus tard, j’ai été arrêtée et le patron a fait de son mieux pour me sauver. Pendant ce temps, Lian n’a cessé de clarifier la vérité. Lorsque je suis revenue, mes collègues étaient très heureux. Plus tard, je suis tombée enceinte et je n’ai donc pas travaillé pendant plusieurs années.

Les disciples de Dafa ne doivent pas être séparés de la société ordinaire

En 2015, j’ai travaillé à l’usine H en tant que comptable et j’aidais mon patron dans la gestion. Les ouvrières aimaient les commérages. L’une d’elles a dit : « Celles qui pratiquent le Falun Dafa n’ont rien de mieux à faire. Elles ne travaillent pas, au lieu de ça elles parlent aux gens… » Je me suis sentie très mal à l’aise en entendant cela. Je suis restée silencieuse, réfléchissant à la manière dont je pourrais dissiper ces malentendus.

Les travailleuses étaient payées à la pièce, je me suis donc chargée de toutes leurs tâches fastidieuses et j’ai amélioré leur efficacité au travail. Parfois, elles me criaient après. J’en riais et continuais à les aider. Elles m’ont peu à peu appréciée et ont unanimement demandé au patron d’augmenter mon salaire. Elles m’ont demandé pourquoi j’avais un si bon caractère. J’ai répondu que je pratiquais le Falun Dafa et que je cherchais en moi mes propres défauts chaque fois qu’il y avait des problèmes. Elles ont été surprises : « Tu pratiques le Falun Dafa ? » Même les personnes qui critiquaient férocement Dafa savaient que le Falun Dafa était bon. Elles ont démissionné du Parti et certaines m’ont demandé de leur enseigner les exercices.

Un jour, mon patron s’est assis en face de moi et a dit tout bas : « Avant, je croyais ce que j’entendais à la télévision, mais maintenant il semble que le Falun Dafa est vraiment bon ! » Lui et son épouse ont démissionné du Parti. J’ai convaincu beaucoup de mes collègues de démissionner. J’ai réalisé que les pratiquants doivent faire partie de la société des gens ordinaires, sinon ils ne nous comprendront pas.

Le Maître a dit :

« Vous n’avez qu’à vivre normalement, vous cultiver et pratiquer normalement, en même temps vous faites ce qu’un disciple de Dafa doit faire, maintenant c’est comme ça. Dans la société des gens ordinaires, à part faire ce qu’un disciple de Dafa doit faire, pour la forme il n’y a aucune différence, en apparence vous ne vous différenciez pas de la société des gens ordinaires, mais vous êtes un pratiquant, voilà. Ce que vous faites aujourd’hui est créé pour le futur, ce chemin vous devez le tracer ainsi. C’est le chemin le plus droit, les pratiquants du futur vont le prendre comme référence, donc aucune chose que vous faites ne doit être excessive ni aller à l’extrême, sinon vous pourriez vous créer artificiellement à vous-mêmes des obstacles et des ennuis. Aucune façon de penser extrême n’est ce que je vous ai demandé, tout cela peut être une sorte d’attachement, peut créer des ennuis, nous avons déjà beaucoup vécu de ces expériences. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Loi de la région ouest des États-Unis en 2004 », Enseignement du Fa dans les conférences V)

J’ai pris conscience que nous devions avoir des emplois dans la société ordinaire. La société ordinaire est une grande cuve de teinture et un creuset. Les conflits révèlent nos attachements cachés et les conceptions des gens ordinaires, de sorte que nous pouvons les reconnaître et les éliminer. Lorsque nous assimilerons notre comportement aux domaines supérieurs du Fa, les gens s’identifieront à Dafa du fond de leur cœur et seront ainsi sauvés.

Passer de dénoncer des pratiquants à comprendre la vérité

En 2019, je travaillais pour l’entreprise I, une entreprise familiale. Mon patron me connaissait. La première chose qu’il m’a dite a été : « Pratiquez-vous toujours le Falun Dafa ? » Lorsque j’ai répondu que le Falun Dafa était bon, il est resté silencieux. Je voyais bien qu’il n’y croyait pas. La plupart de mes collègues étaient impolis parce que je pratiquais le Falun Dafa. J’ai pensé : « Puisque je suis ici, je ne peux pas partir ; je dois sauver tous les êtres ici. »

Le patron m’a confié les tests, ce qui était compliqué et fatigant. Mon supérieur me donnait sans cesse des ordres et ne manquait pas de dire haut et fort à chaque fois que je commettais une erreur. J’essayais d’être aussi attentive que possible. Cela m’a aidée à éliminer de nombreux attachements et la façon dont mes collègues me regardaient a également changé.

Xiao Liu, un collègue, m’a dit : « Tu ressembles un peu à un pratiquant. » C’était l’affirmation du Maître par la bouche de Xiao Liu. C’était mon ancien collègue. J’avais été renvoyée de cette entreprise parce qu’il m’avait signalée. Lorsque nous nous sommes revus, il m’a regardé bizarrement, mais je savais qu’il avait un grand lien avec Dafa.

Il a observé mes performances dans l’entreprise et l’impression qu’il avait de moi a progressivement changé. Un jour, je lui ai demandé : « Penses-tu que le Falun Dafa est comme le PCC le dit à la télévision ? » Il a répondu avec force : « Je ne dis pas que le Falun Dafa est mauvais ! » Il a également déclaré : « Le Parti communiste est une secte. » Je lui ai donné un logiciel permettant de briser le blocus Internet du PCC. Mais lorsqu’il l’a utilisé, il a été démasqué par le PCC et emmené au poste de police. La police lui a demandé d’où venait le logiciel. Il a insisté sur le fait qu’il avait vu un site web sur une affiche dans la rue et qu’il l’avait téléchargé lui-même. Il a essayé de me protéger. Il a également démissionné du Parti. Il lui a fallu neuf ans pour passer de me dénoncer à comprendre la vérité.

Se cultiver soi-même

Au cours de l’hiver 2019, en rentrant du travail, je suis tombée et je me suis fait une fracture comminutive à la jambe droite. Pour que mon lieu de travail prenne en charge les frais d’hospitalisation, mon patron m’a dit de déclarer que je m’étais blessée dans l’entreprise. Je lui ai dit : « Je pratique Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je ne peux pas mentir. Je ne veux pas que l’entreprise paie pour cette blessure. » Par la suite, le patron s’est confié à moi et m’a dit : « Vous êtes quelqu’un de droit. » Comme ma jambe a rapidement guéri, mes collègues ont vu à quel point le Falun Dafa est extraordinaire.

Au cours de l’hiver 2020, l’usine a commencé à utiliser de nouveaux équipements, ce qui était un gaspillage. L’usine perdait des millions de dollars chaque mois. Le patron était très inquiet. Je l’ai aidé à faire des recherches et à tenter des expériences. Je suis également partie en voyage d’affaires avec des collègues pour effectuer des recherches dans d’autres provinces. Le problème a finalement été résolu et les moqueries de mes collègues à mon égard se sont transformées en admiration. Mais je savais que ce n’était pas dû à mes capacités ; le Maître m’a aidée à créer un environnement propice pour sauver des gens.

Dans le passé, le patron disait que les pratiquants de Falun Dafa étaient fous, mais finalement, lui et sa famille ont appris la vérité et ont démissionné du Parti. Les directeurs et de nombreux employés ont également démissionné du Parti. Plus tard, j’ai déménagé avec mon mari dans une autre ville. Le patron m’a envoyé un SMS : « Si vous revenez, s’il vous plaît, travaillez pour moi. »

Au cours de l’été 2022, je suis allée travailler dans l’entreprise J, dans la capitale provinciale. Quelques jours après mon arrivée, le directeur s’est incliné devant moi et m’a dit : « Nous comptons sur vous. » Les collègues de la capitale provinciale étaient jeunes, mais fortement influencés par la culture du PCC, l’athéisme et les concepts modernes. Il m’était très difficile de leur parler de Dafa. À mon arrivée, j’ai eu des symptômes de maladie cardiaque. J’ai dû faire des heures supplémentaires tous les jours pendant la période d’essai. Il n’y avait aucun compagnon de cultivation autour de moi. Je ne pouvais pas rentrer chez moi en raison du confinement de la pandémie, et je ne pouvais donc pas voir les pratiquants de ma ville natale. Mais en regardant ces gens autour de moi, je savais que je devais rester là jusqu’à ce que je les sauve. La fausse apparence de la maladie a disparu petit à petit.

Lorsque le confinement de la pandémie a été levé l’année dernière, la plupart de mes collègues étaient infectés et j’avais quelques symptômes. Je me suis dit : « Si j’ai l’air malade, comment puis-je sauver les gens ? C’est discréditer Dafa et interférer avec le salut des êtres ! » J’ai émis la pensée droite pour éliminer cette interférence, et mes symptômes ont disparu. J’ai travaillé avec énergie et mes collègues ont été témoins de la puissance du Falun Dafa. Plusieurs d’entre eux ont démissionné du Parti après avoir appris la vérité. J’ai travaillé dur, et l’assistant de mon patron a dit : « Le patron aime vraiment votre travail. » Dans les petites choses, je peux progressivement découvrir mon attachement.

Le Maître a dit :

« … de hautes aspirations occupent son esprit et son cœur tout en prêtant attention aux petits détails… » (« Le Saint », Points essentiels pour avancer avec diligence)

J’ai découvert que lorsque les détails sont bien faits, ils peuvent toucher le cœur des gens.

En plus de vingt ans de cultivation, j’ai fait beaucoup d’erreurs, et certaines d’entre elles étaient graves.

Le Maître a dit :

« En tant que Maître, je ne tiens pas compte de ce que vous avez fait comme erreurs pendant votre cultivation et pratique, je ne retiens que ce que vous faites de bon et ce que vous avez accompli… » (« Sortir d’une passe mortelle », Points essentiels pour avancer avec diligence III)

« Bien faire consiste en tout ce que vous avez prouvé et compris par votre sens de l’éveil, bien trier, éliminer les déchets, l’essence restante sera votre chemin de réussite. » (« Enseignement du Fa au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 »)

Pour le Fahui de Minghui de cette année, j’ai parlé de ce que j’ai bien réussi à faire en clarifiant la vérité dans mon environnement de travail, et je l’ai écrit.

Merci de votre compassion, Maître, de toujours nous donner l’occasion de réparer nos erreurs. J’espère me cultiver, bien faire les trois choses, sauver tous les êtres que le Maître a arrangés pour moi, et être digne de la compassion et de la souffrance du Maître !

Traduit de l’anglais