(Minghui.org) Je suis instructeur d’arts martiaux. Le 25 septembre 2008 est un jour que je n’oublierai jamais, car c’est le jour où j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Le temps file comme une flèche. En 2013, je pratiquais depuis cinq ans et les enseignements du Falun Dafa avaient purifié mon corps et mon esprit. Je me sentais renaître et ma vie s’était vraiment élevée. J’avais une compréhension claire du véritable sens de la vie humaine et je ressentais profondément le sens ultime du retour à mon véritable moi.

À la mi-juillet 2013, j’ai soudainement eu mal à l’estomac. Je ne pouvais pas manger, sinon je vomissais. Au début, je n’ai pas pris la chose au sérieux, pensant que j’irais mieux dans quelques jours. Cependant, non seulement je n’allais pas mieux, mais la situation s’est aggravée. Peu importe ce que je mangeais ou buvais, je vomissais. J’ai progressivement perdu du poids.

J’étais physiquement faible, mais mon esprit était clair. J’ai profondément réalisé qu’il s’agissait d’un test du karma de la maladie. La première chose que j’ai faite a été de prendre le Fa comme guide, de me comparer au Fa et de regarder à l’intérieur pour trouver la cause profonde. J’ai senti que, premièrement, j’éliminais le karma et que, deuxièmement, il s’agissait de l’interférence des forces anciennes. J’ai senti que, quelle que soit la cause, ma « maladie » pouvait être éliminée en faisant bien les trois choses.

Je me suis rappelé les enseignements du Maître. J’ai compris que le chemin de la cultivation pour qu’une personne ordinaire devienne supranormale est compliqué, et que ce n’est pas un long fleuve tranquille. Ce n’est qu’en endurant toutes sortes de tribulations et en passant de nombreux tests que l’on peut éliminer les attachements.

Le temps a passé et nous étions à la mi-août. Mon corps a continué à se détériorer. En l’espace de trente jours, je suis passé de 70 à 55 kg et je n’avais plus d’énergie. Je ne pouvais plus faire les exercices debout et je ne pouvais que méditer. Je souffrais toute la nuit. Je serrais les poings et me roulais sans cesse. J’avais l’impression que ma vie était sur le point de s’arrêter.

Bien que ma femme pratique également, elle ne supportait pas de me voir souffrir et m’a incité à aller à l’hôpital ou à prendre des médicaments. J’ai immédiatement répondu : « Je n’ai rien à faire là-bas. »

Je me rappelais sans cesse le Fa que le Maître a enseigné et j’ai réalisé qu’un vrai pratiquant n’a pas de maladie. J’étais plein de confiance, je voyais tout cela comme une illusion et je l’éliminais avec la pensée droite. Je comprends très clairement que les hôpitaux et les médicaments qui sont consommés par les gens ordinaires ne fonctionnent pas pour les vrais pratiquants et, quelle que soit la qualité des médicaments, ne sont-ils pas tous des substances composées de molécules dans cette dimension ?

Les pratiquants disposent de substances de haute énergie dans d’autres dimensions de l’univers. Comment les médicaments fabriqués par l’homme peuvent-ils être comparés à ces substances de haute énergie ? Le Maître a très clairement expliqué les causes des maladies. Je comprends ce que le Maître a dit et je crois fermement que chaque épreuve peut être surmontée.

Lorsque je me suis calmé et que je me suis regardé dans le miroir, j’ai vu que je n’avais pas l’air d’une personne malade. La « maladie » n’était pas réelle. J’ai continué à émettre la pensée droite. Si c’était les forces anciennes qui interféraient, je les nierais et les éliminerais. Le Maître ne reconnaît pas l’interférence des forces anciennes, et moi non plus. Si c’était un test de karma de maladie, je le surmonterais. Même si je souffrais énormément, je croyais fermement en Dafa.

En septembre, bien que j’aie continué à surmonter l’interférence en utilisant la pensée droite, je ne l’avais pas complètement éliminée.

Il m’est arrivé plusieurs fois de ressentir une douleur qui me tuait littéralement alors que je me trouvais dans mon studio d’arts martiaux. Je craignais que mes élèves ne le voient. Je serrais les dents et faisais semblant d’aller bien. Parfois, je disais aux élèves que j’avais quelque chose à faire et je leur demandais de s’entraîner seuls pendant un moment.

J’allais dans le bureau et je fermais la porte. Lorsque la douleur devenait vraiment insupportable, je m’allongeais sur le sol et je serrais les dents et les poings. Je suppliais le Maître de m’aider et je récitais « Lunyu ». Je me rappelais ce que le Maître a dit :

« Je suis enraciné au plus profond de l’univers ; si quelqu’un était capable de s’en prendre à vous, c’est à moi qu’il s’en prendrait et pour le dire carrément, il s’en prendrait à l’univers. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Je me demandais sans cesse : « Es-tu un disciple de Dafa ? » À chaque fois, je répondais avec détermination : « Je suis un véritable disciple de Dafa ! Même si je n’ai pas bien fait les trois choses, rien ne peut ébranler ma ferme détermination à aider le Maître dans la rectification de Fa pour sauver les êtres. »

Chaque fois que je me rappelais le Fa enseigné par le Maître, j’étais rempli de confiance et je savais que je pouvais surmonter le karma de maladie. De cette façon, avec une ferme pensée droite et en suivant les exigences d’un véritable disciple de Dafa, j’ai surmonté une attaque après l’autre, j’ai passé un test après l’autre, et le miracle de Dafa s’est pleinement manifesté en moi.

Lorsque j’ai traversé cette épreuve, les autres pratiquants recueillaient des signatures pour une pétition. Bien que mon corps était en très mauvais état, je sortais quand même avec eux. J’apportais un peu de nourriture. Je ne pouvais pas manger beaucoup, de peur de vomir. Je devais aussi me reposer fréquemment.

Même si je n’allais pas bien, j’ai pu sortir et recueillir des signatures. Ma pensée droite et ma croyance dans le Maître m’ont aidé à accomplir ce que les disciples de Dafa doivent faire.

Après environ cinquante jours, avec l’aide du Maître, le karma de maladie a été surmonté. J’ai pu progressivement manger. J’ai même commencé à reprendre du poids. Pour une raison quelconque, que ce soit parce que les forces anciennes n’étaient pas convaincues ou que le karma de maladie n’avait pas été complètement éliminé, il y a eu un événement inattendu. Un jour, mes jambes se sont couvertes de cercles rouges. Ils étaient de tailles différentes et me démangeaient.

Je me suis dit : « J’ai été sévèrement torturé à plusieurs reprises. Cette démangeaison n’est rien. » Ils ont disparu au bout d’une semaine. Depuis, mon corps s’est progressivement rétabli. Un an plus tard, j’avais retrouvé mon poids d’origine.

En repensant à ces cinquante jours, j’ai eu l’impression que chaque jour qui passait était une année. Après coup, je n’ai cessé de me demander quel aurait été le résultat si j’étais allé à l’hôpital. Sans aucun doute, le résultat aurait été négatif et choquant, et le prix à payer aurait été énorme. J’aurais dépensé beaucoup d’argent en frais d’hospitalisation et je serais peut-être même mort.

J’ai miraculeusement récupéré en croyant fermement en Dafa.

Grâce à cette expérience, j’ai profondément réalisé que le Falun Dafa est miraculeux, extraordinaire et puissant. Si l’on n’a pas fait personnellement l’expérience du karma de maladie, on peut ne pas réaliser à quel point Dafa est extraordinaire.

Je voudrais également rappeler à mes compagnons de cultivation que sur le chemin de la cultivation, si on rencontre du karma de maladie, on doit avoir une foi inébranlable dans le Maître et le Fa, avoir une forte pensée droite, et éliminer tous les doutes. Si on a des doutes, on se conformera aux idées des forces anciennes, et les résultats négatifs s’en suivront. Ce n’est qu’en gardant une pensée droite que l’on obtiendra des résultats positifs, et ce n’est qu’alors que l’on pourra véritablement surmonter le karma de maladie.

J’ai constaté que certains pratiquants, lorsqu’ils traversent des épreuves de karma de maladie, ont tendance à les considérer d’abord comme le ferait une personne ordinaire. Bien que nous comprenions l’enseignement du Fa de Maître, le pratiquant la traite encore comme la maladie d’une personne ordinaire. Comment l’incroyable pouvoir de Dafa pourrait-il se manifester dans leur corps ?

Le Maître a cité un ancien dicton :

« Entendre le Tao le matin, pouvoir mourir le soir. » (« Se fondre dans le Fa », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Nous avons le Fa et le Maître pour nous guider, de quoi devrions-nous avoir peur ? Nous devons croire dans le Maître et le Fa, surtout lorsque nous sommes confrontés à une grave maladie ou à une épreuve de karma. Si vous doutez de Dafa, il vous sera très difficile de vous en sortir et les résultats risquent d’être tragiques. La cultivation et la croyance juste ne peuvent pas être imposées. Tout dépend de la pensée droite du pratiquant, de son cœur et de sa détermination.

Ce n’est qu’en croyant fermement en Dafa que l’on peut surmonter tout karma de maladie et toute interférence, et ce n’est qu’en croyant fermement en Dafa que l’on peut avoir une vie exceptionnelle et grandiose.

Traduit de l’anglais