(Minghui.org) Je travaille dans une agence gouvernementale et j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa (également appelé Falun Gong) en 2006. Au cours de mes années de cultivation, il y a eu les moments heureux où je venais de devenir pratiquante, les moments magiques où je me suis élevée dans ma cultivation et les moments douloureux où je n’ai pas pu surmonter les difficultés. Cependant, grâce à l’aide compatissante et à la protection de Maître Li (le fondateur du Falun Dafa), j’ai pu rester sur le droit chemin.

En raison de ma mauvaise santé, je ne suis pas allée à l’école avant l’âge de 8 ans. Comme je n’y allais que par intermittence, j’ai terminé l’école primaire en n’ayant rien appris. Lorsque j’étais au secondaire, les cours ont été annulés ; à la place, nous devions creuser des abris antiaériens et travailler dans des fermes.

À l’âge de 45 ans, je souffrais de maladies cardiaques, de problèmes d’estomac, de migraines et de problèmes articulaires. Quelques mois après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai guéri de toutes mes maladies. J’étais si heureuse qu’aucun mot ne pouvait exprimer ma gratitude. Dafa est extraordinaire. Je savais que j’avais trouvé une école de cultivation de haut niveau et que je devais chérir cette opportunité.

Auparavant, j’appréciais la bonne nourriture. En outre, je recherchais le confort. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai abandonné ces attachements. J’ai utilisé mon temps libre pour étudier le Fa et clarifier la vérité. J’ai fait des notes adhésives avec des informations sur le Falun Dafa et je les ai laissées partout où j’allais. J’ai parlé aux gens que je rencontrais de la beauté de Dafa, des raisons de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse et que cela leur apporterait des bénédictions. Dans notre agence, tout le monde, des hauts fonctionnaires à mes collègues, à l’exception de trois personnes, s’est retiré des organisations du PCC.

Le jeudi après-midi, les employés doivent étudier des slogans politiques. Une fois que mes collègues étaient installés dans leurs réunions, je retournais à mon bureau pour lire le Fa avec d’autres pratiquants, car mon bureau accueillait régulièrement l’étude du Fa. Sous la protection du Maître, cette routine s’est déroulée paisiblement jusqu’à ce que je prenne ma retraite.

Au plus sévère de la persécution, je n’ai pas eu peur. Je me suis souvenue des paroles du Maître :

« Si tu as peur elle t’attrapera

Quand les pensées sont droites la perversité s’écroule »

(« Qu’y a-t-il à craindre », Hong Yin II)

Je raccompagnais toutes les personnes qui se présentaient à mon bureau pour remplir des formalités administratives. Tout en discutant, je leur disais la vérité sur la persécution du Falun Gong et leur suggérais de se retirer du PCC et de ses organisations affiliées. Parfois, lorsque je rencontrais d’autres pratiquants, ils me rappelaient d’être prudente. Au bout d’un certain temps, j’ai entendu une rumeur selon laquelle j’étais une espionne. J’en ai ri.

Je ne voulais manquer aucune des personnes qui venaient à mon bureau. Il pouvait s’agir de simples passants, de jeunes gens qui obtenaient leur permis de mariage ou de personnes qui venaient pour des pétitions, mais je savais qu’ils venaient tous me voir parce qu’ils voulaient être sauvés.

La date du 8 août 2008 (8-8-2008) est une combinaison de chiffres porte-bonheur pour les Chinois. C’est un excellent jour pour demander un permis de mariage. Lorsque je suis arrivée au travail à 7 h, il y avait déjà une file d’attente. Je les ai invités à entrer dans mon bureau climatisé pour se rafraîchir et j’ai commencé à leur dire la vérité sur le PCC, y compris sa persécution du Falun Dafa.

À 8 h, mon bureau, le couloir et l’entrée étaient remplis de monde. Les employés de bureau étaient débordés. Je me suis précipitée pour les aider. Je n’avais plus de voix. Le bureau central a été informé qu’il devait envoyer plus de personnel pour aider à maintenir l’ordre. En courant pour aller aux toilettes, j’ai supplié le Maître en silence : Que faire ? Beaucoup de gens vont rater leur chance d’être sauvés. Aidez-moi, s’il vous plaît.

Lorsque je suis retournée au bureau, un couple m’attendait. Ils voulaient savoir s’il y avait autre chose à faire après avoir obtenu leur permis de mariage. Je les ai invités à entrer. J’ai noté leurs noms et leur ai expliqué l’importance de renoncer à leur adhésion aux organisations du PCC. Ils ont accepté ma recommandation et sont partis heureux.

C’est alors qu’un miracle s’est produit. Ceux qui venaient de recevoir leur permis de mariage ont formé une file d’attente devant mon bureau et attendaient en silence. Je savais que le Maître m’aidait. J’avais les larmes aux yeux. Six personnes à la fois étaient autorisées à entrer dans mon bureau. Si les parents des jeunes couples étaient avec eux, je les laissais entrer aussi, car ils étaient aussi là pour être sauvés. Je parlais et ils écoutaient comme si nous étions dans une salle de classe.

Tout d’abord, je les félicitais. Je notais leurs noms et leur expliquais l’importance de se retirer des organisations du PCC. Je leur rappelais qu’étant donné que la plupart d’entre eux étaient fils uniques, leur santé et leur sécurité concernaient leurs parents. Je leur disais que j’espérais qu’ils feraient ce qui est vraiment bon pour eux, et qu’ils effaceraient le serment qu’ils ont fait lorsqu’ils ont rejoint les organisations du PCC. En se retirant du PCC, ils renonçaient à l’athéisme. Lorsque la catastrophe arrivera, les athées ne seront pas protégés par le ciel, mais s’ils renonçaient au PCC, ils s’échapperaient et seraient en sécurité. Je leur ai demandé de se souvenir des mots : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, Falun Dafa est bon ». Je leur ai dit que j’espérais que les nouveaux couples s’efforceraient d’être de bonnes personnes, qu’ils seraient gentils avec leurs parents, qu’ils s’aimeraient et qu’ils auraient un mariage heureux.

Ils étaient émus et heureux. Ils me remerciaient et notaient les organisations du PCC qu’ils avaient rejointes. Je leur remettais leur permis de mariage. La scène se déroulait comme le Maître l’avait décrite :

« La lumière de Bouddha illumine tout,

Bienséance et loyauté rayonnent parfaitement. »

(« En harmonie avec la Loi », Hong Yin)

Je savais que le Maître m’avait donné cette plateforme pour clarifier la vérité et aider les gens. J’étais assise dans mon bureau et j’attendais que les gens viennent me voir. Une femme âgée m’a appelée plusieurs fois après avoir écouté la vérité. Une fois, elle a appelé alors que j’étais occupée à parler à quelqu’un. Mon collègue a dit : « Un appel téléphonique pour vous, à la recherche d’une pratiquante de Falun Dafa. » J’ai décroché le combiné et j’ai entendu la femme s’exclamer bruyamment : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, Falun Dafa est bon ! » J’étais vraiment heureuse pour elle.

Alors que j’étais en train de sauver des gens à toute vitesse, j’ai reçu la notification qu’il était temps pour moi de prendre ma retraite. J’ai pleuré. Il m’était difficile de quitter ce bureau qui était devenu un petit centre où les gens démissionnaient du PCC ! Ma sœur, qui est également pratiquante de Falun Dafa, m’a réconfortée et m’a rappelé que j’aurais d’autres occasions d’accomplir notre mission et de sauver des gens.

Je suis reconnaissante pour tout ce que le Maître m’a donné. Je dois cultiver avec diligence, bien faire les trois choses et retourner à mon foyer céleste avec le Maître.

Traduit de l’anglais